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The profusion of literature on Muḥammad ʿAlī's Egypt (1805–1849) makes the Bāshā's epoch significantly well-documented; however, one facet is perceptibly brushed out or rather overlooked. Published in 1945, Gaston Wiet's Mohammed Ali et Les Beaux-Arts has been the only book deliberating the visual and artistic aspects of Muḥammad ʿAlī's reign, and while it offers an extended survey of the Ottoman governor's iconography and visual relics, the book wants the rudiments of critical analysis. The trivial number of works covering this facet of the Bāshā's sovereignty has made it barely examined, rendering the research field with a significant epistemological gap, namely regarding art and historiography　patronage for political triggers. Embarking from where Wiet's work has halted, this book attempts to critically analyze the artistic component of Muḥammad ʿAlī's reign by dealing with the pictorial crops of the nineteenth century's orientalist-travelers, assessing their role within the context of contemporaneous trends in Ottoman and European diplomacy and tracing Muḥammad ʿAlī's early attempts for using pictorial propaganda and historiography in order to claim political legitimacy and to attain European recognition. The book conducts an in-depth analysis of the Bāshā's historiographic making process with a focus on how text worked art and visual politics. The book takes an innovative and interdisciplinary approach, which commingles tools of visual analysis and contextual investigation, in its consideration of the aspects of Muḥammad ʿAlī Bāshā's foreign policy, this book closely examines topics associated with cultural systems, modernization, traditionalism, and changeability in Egypt of the nineteenth century, while assessing the impact of global connectedness not only on Muslim cultures and societies but also on European public opinion through highlighting how Muslim rulers had adapted appealing themes and employed cultural magnets in their visual propaganda to fit within the pervasive international diplomatic trends.

Je dois la vie à un officier de la Wehrmacht homosexuel qui en 1942 aida mon père et quatre autres jeunes juifs à échapper à la mort pendant l'occupation allemande en Tunisie.À l'arrivée des Alliés, il trouve refuge chez mes grands-parents qui l'adoptent comme leur fils. Un présent offert par ma grand-mère le sauvera à son tour. Qu'est-ce qui fait un héros? Ce projet d'écriture, mûri de longue date, est un hommage à mon « oncle » allemand, Richard Abel, « Juste parmi les nations », qui vécut caché dans ma famille à Tunis avant d'être prisonnier à son tour, au Maroc, aux États-Unis, puis en Angleterre. C'est une histoire peu banale de « Banalité du Bien », une aventure pleine de péripéties et de rebondissements, tissée des mémoires de ses protagonistes.C'est à Richard que je fis la promesse d'écrire sa vie il y a plus de dix ans déjà, mais, par la magie de l'écriture, c'est aussi la vraie figure de mon père qui se révèle.Une génération plus tard, ce « Mensch » allemand, humain très humain, homme ordinaire mais très singulier, m'offre en héritage un peu de son audace, et je prends la liberté d'écrire.

La romance sombre qui a embrasé l'Italie, la France et Netflix débarque enfin au Québec! Pour Nica, dix-sept ans, l'heure est venue de tirer un trait sur le passé. Son rêve est sur le point de se réaliser : un couple est enfin venu l'adopter. Adieu l'orphelinat, son ignoble directrice et, surtout, la terrifiante légende du fabricant de larmes. Toutefois, dans sa nouvelle maison, Nica ne sera malheureusement pas seule ; Rigel, l'orphelin agité et mystérieux avec qui elle a grandi, a été adopté par la même famille. Et il compte bien faire de la nouvelle vie de Nica un enfer. Pour Nica et Rigel, la guerre est déclarée, nourrie par la haine mutuelle qu'ils se vouent depuis des années… ou par des sentiments inattendus et dérangeants qu'ils n'oseront jamais s'avouer?