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This scoping review was conducted to identify the outcomes and measurement tools used in IC intervention studies, as first step towards the development of a core outcome set (COS) for IC trials. PRISMA-ScR and COS-STAD were followed. The review considered randomized controlled trials targeting IC published in Medline, Scopus, Embase, Cochrane Central Register of Controlled Trials, and clinicaltrials.gov, until June 2023. Of 699 references, 534 studies were screened once duplicates were removed, 15 were assessed for eligibility, and 7 (4 articles and 3 protocols) met eligibility criteria. Twenty-eight outcomes were identified (19 related to IC and its domains and 9 unrelated). The most reported primary outcome was the change in IC levels postintervention (5 over 7 studies) and the most reported outcomes (either as primary and/or secondary) were the changes in physical performance and in depressive symptoms (6 over 7 studies). Fifty-five tools used to construct the domains’ z-scores and/or assess the effect of interventions were identified (47 related to IC and its domains and 8 unrelated). The most reported tool was an IC Z-score, calculated by 4 domains’ z-scores: locomotor, vitality, cognitive, and psychological (5 over 7 studies). The tools differed among studies (10 locomotor related, 6 vitality related, 16 cognitive related, 8 psychological related, 6 sensorial related, 8 unrelated tools). The vast heterogeneity (28 outcomes and 55 tools within 7 studies) highlighted the need of a COS. These outcomes and tools will be presented to experts in a future step, to select the ones that should be taken into consideration in IC trials., SCOPUS: re.j, info:eu-repo/semantics/published

L'ostéoporose est un problème majeur de santé publique. Plus de 200 millions de personnes dans le monde ont un risque accru de fractures de fragilité. Une femme sur trois dans les «pays développés» présentera une fracture ostéoporotique après la ménopause, si elle n'est pas traitée. Les fractures liées à l'ostéoporose peuvent entraîner une mort prématurée ou une diminution de la qualité de vie en raison de la douleur aiguë, de la longue souffrance et de l'invalidité. Il en résulte également une lourde charge sociale et financière. Les traitements pharmacologiques réduisent l'incidence des fractures de 30 à 70% et le taux de mortalité post-fracture de 10%. Cependant, malgré l'efficacité des médicaments disponibles, seulement 20 à 30% des femmes sont traitées après une première fracture de fragilité.Historiquement, l'ostéoporose a été diagnostiquée par densitométrie (DXA) avec un T-score pour la densité minérale osseuse (DMO) inférieur ou égal à -2.5, mais plus de la moitié des femmes âgées de ≥ 50 ans présentant une fracture de fragilité ne sont pas ostéoporotiques selon une évaluation par DXA. La nature multifactorielle de la fracture nécessite la prise en compte des valeurs de la DMO et du profil complet des facteurs de risque d'un individu.D'autres études ont montré que la précision de la prédiction du risque de fractures de la hanche et de fractures ostéoporotiques majeures (MOFs) est en effet plus élevée si les facteurs de risque cliniques (CRFs) sont pris en compte en plus de la DMO. Des modèles comprenant des CRFs validés ont ainsi été développés pour la prédiction du risque de fracture.Les outils les mieux étudiés sont le Fracture Risk Assessment Tool (FRAX) comprenant 12 facteurs de risque, à savoir la DMO du col fémoral, les facteurs anthropométriques, les facteurs liés au mode de vie et les comorbidités, et le Garvan Fracture Risk Calculator (Garvan) qui n'utilise que 5 facteurs de risque, à savoir l'âge, le sexe, la DMO du col fémoral, les antécédents d, Doctorat en Sciences médicales (Médecine), info:eu-repo/semantics/nonPublished

L'ostéoporose est une maladie chronique complexe caractérisée par une fragilité osseuse et un risque accru de fracture. Le risque de fractures récidivantes est maximal pendant les deux premières années après une fracture de fragilité (période dite de « fracture imminente »). Notre travail personnel visait principalement à développer des modèles de prédiction des fractures imminentes ainsi que d’identifier quels traitements seraient les plus efficaces pour éviter ces fractures secondaires à court terme mais aussi de déterminer si un traitement est effectivement entamé après une fracture de fragilité. Pour toutes les études, nous avons utilisé les données de la cohorte FRISBEE qui comprend 3560 femmes ménopausées suivies chaque année depuis leur inclusion, particulièrement pour la survenue de fractures de fragilité.Nous avons montré que la densité minérale osseuse, une fracture récente, l'âge, les comorbidités, les chutes et une fracture centrale comme fracture incidente sont des prédicteurs du risque pour une fracture imminente. En combinant ces facteurs de risque, nous avons créé trois modèles de prédiction d'une fracture imminente, selon le site de la fracture index (pour toutes les fractures, les fractures dites majeures et les fractures centrales) avec une bonne précision (scores Brier ≤ 0,1) et une bonne discrimination (AUC entre 0,6 et 0,8). Nous avons également effectué une validation interne en utilisant l'approche « bootstrap » pour chaque modèle. Par rapport au modèle FRAX® ajusté pour une fracture récente, dans notre modèle, moins de sujets ayant subi une fracture majeure n'auraient pas été sélectionnés pour entamer untraitement. Outre ces travaux originaux, nous avons déterminé quels sont les traitements optimaux pour prévenir une fracture imminente. Nous avons montré que chez les sujets à haut risque de fracture, un traitement par des agents anti-résorptifs puissants (zolédronate et dénosumab) ou des agents anabolisants semble le plus approprié pour rédu, Doctorat en Sciences médicales (Médecine), info:eu-repo/semantics/nonPublished

Les personnes âgées atteintes d’un cancer, quel qu’il soit, expérimentent fréquemment une perte non intentionnelle de poids corporel, qui se caractérise par une perte de masse musculaire, et parfois de masse adipeuse. Outre la sarcopénie primaire, qui est définie par une perte de masse musculaire liée au vieillissement physiologique, les patients âgés cancéreux souffrent également fréquemment de dénutrition protéino-calorique, d’anorexie et de cachexie, induites par leur fragilité gériatrique, la tumeur en elle-même, mais aussi les traitements anti-cancéreux, et qui vont aggraver cette atrophie musculaire. La sarcopénie fait l’objet d’un intérêt croissant au cours des dernières années, et notamment dans le cancer. Les concepts de sarcopénie, de dénutrition, et de cachexie ont fait l’objet de définitions de consensus, qui partagent des caractéristiques cliniques communes, ce qui ne permet pas de les distinguer l’un de l’autre et ainsi d’obtenir une approche thérapeutique ciblée. Or, il est à présent bien démontré que la sarcopénie augmente significativement le risque de complications post-opératoires, la toxicité à la chimiothérapie, et péjore la survie.Notre objectif primaire était de mettre en évidence par une analyse exploratoire les caractéristiques, cliniques ou biologiques, qui permettraient de différencier sarcopénie, dénutrition et cachexie cancéreuse chez des patients âgés. Nous avons également étudié comme objectifs secondaires les facteurs prédictifs de la mortalité, et l’évolution de la définition de la sarcopénie au cours d’un an de suivi.Nous avons exploré les caractéristiques musculaires, nutritionnelles et biologiques (hormonaux et inflammatoires) de 99 patients âgés de 70 ans et plus, présentant un cancer solide, avant l’initiation d’un traitement, dans deux centres universitaires, l’hôpital Erasme et à l’UZ Brussel. Quoique la masse musculaire médiane était normale, 10% étaient dénutris, 34% présentaient une cachexie, et 68% un stade avancé (III ou, Doctorat en Sciences médicales (Médecine), info:eu-repo/semantics/nonPublished

INTRODUCTION: Malnutrition and nutrition-related diseases are associated with hospital admissions, disability, institutionalization, and mortality in older people. Specialists in Geriatric Medicine and nutrition evaluate nutritional status as part of the comprehensive geriatric assessment; however, malnutrition still remains under-recognized and under-managed. Our survey explored nutrition assessment approaches used in daily clinical practice by geriatricians across Europe. METHODS: A 19-item survey on methods and instruments for malnutrition assessment in geriatric settings, and details of any national guidelines, was sent to 40 postgraduate fellows of the European Academy of Medicine of Aging (EAMA, 2017-2019 class). RESULTS: Thirty-six of the 40 eligible EAMA participants, representing 14 European countries, responded. In clinical practice, MNA and MNA-SF were most frequently used for screening (44.1%, 52.9%, respectively) and diagnosing (45.7%, 40.0%) malnutrition. Weight loss (n = 36, 100%), body mass index (n = 30, 85.7%), and low energy/food intake (n = 27, 77.1%) were the most frequent clinical variables considered. The absolute and relative amount of weight loss, and over what time period, varied widely. These routinely considered clinical factors contribute to validated GLIM, ASPEN-AND and ESPEN criteria for diagnosis of malnutrition, but these criteria were seldom used (GLIM = 0%, ASPEN = 0%; n = 9, ESPEN = 25.7%). National guidelines were available in 9 of the 14 countries, and generally recommended MNA and MNA-SF for community-dwelling and hospitalized older patients. Albumin was often suggested as a nutritional marker. CONCLUSIONS: Nutritional assessment is systematically performed in geriatrics; but differs widely among geriatricians and countries. Harmonizing guidelines with the new international consensus might provide best-evidence care for older people across Europe.

Areal bone mineral density (aBMD) has a low sensitivity to identify women at high fracture risk. The FRAX algorithm, by combining several clinical risk factors, might improve fracture prediction compared to aBMD alone. Several micro-architectural and biomechanical parameters which can be measured by high-resolution peripheral quantitative computed tomography (HR-pQCT) are associated with fracture risk. HR-pQCT in combination or not with finite element analysis (FEA) may be used to improve bone strength prediction. Our aim was to assess whether HR-pQCT measurements (densities, cortical and trabecular microarchitecture, biomechanical proprieties assessed by FEA) had an added value in predicting fractures in a subgroup of women belonging to the Belgian FRISBEE cohort. One hundred nineteen women who sustained a fracture (aged 60 to 85 years) during the initial follow-up of our cohort had a radius and tibia examination by HR-pQCT and were compared with controls matched for their FRAX score at baseline. We found that low distal radius total (OR = 1.41 [1.07–1.86] per SD, p < 0.05) and trabecular densities (OR = 1.45 [1.10–1.90], p < 0.01), trabecular number (OR = 1.32 [1.01–1.72], p < 0.05), intra individual distribution of separation (OR = 0.73 [0.54–0.99], p < 0.05) as several FEA parameters were significantly associated with fractures. At the distal tibia, impaired cortical density (OR = 1.32 [1.03–1.70] per SD, p < 0.05) and thickness (OR = 1.29 [1.01–1.63], p < 0.05) and apparent modulus (OR = 1.30 [1.01–1.66], p < 0.05) were significantly correlated with fractures. A low ultra distal radial aBMD (UDR) measured at the time of HR-pQCT was significantly associated with fractures (OR = 1.67 [1.22–2.28], p < 0.01). Women from both groups were followed further after the realization of the HR-pQCT and 46 new fractures were registered. In this second part of the study, low UDR aBMD (OR = 1.66 [1.18–2.35], p < 0.01), total (OR = 1.48 [1.08–2.03], p < 0.05), cortical (OR = 1., SCOPUS: ar.j, info:eu-repo/semantics/published