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This is young Palestinian author Shada Mustafa's debut novel – a free-flowing narrative that interrogates, in short, direct sentences, the memories of growing up, falling in love, that keep forcing themselves out to be reckoned with. Through ceaseless questioning, and the seemingly random revisiting of each of the four “things” she has left behind, the narrator redeems her life from the inexplicable pain and tragic anguish that was her childhood in an occupied and divided land and family. In so doing, Mustafa creates a unique writing style while at the same time allowing the narrative its original, cathartic function, liberating herself from her past, and finding her true self. Why was she always having to cross the Qalandia checkpoint to see her dad or her mom? Why did they divorce? Why was her mom angry? How could she make her happy? Why was her dad a different man when he came out of the occupier's prison? What was more important, the cause or the people? The questions become more urgent when she becomes a student and falls in love. This short novel, original in its subject as much as its narrative technique, has been singled out from the start by being shortlisted for the 2021 Sheikh Zayed Book Award for Young Authors.

Los cien fragmentos de los que se compone este breve y poderoso diario, son aproximaciones o lo experiencia del dolor que María Luisa Puga narra a partir de su lucha personal contra lo artritis reumatoide. Aquí, el cuerpo vulnerable recurre a la escritura y convierte al propio Dolor en personaje y destinatario, o fin de restablecer el vínculo con el yo, que el sufrimiento tiende o desgarrar. Lo autora se desnuda de todo artificio literario para confrontar o su dolor desde la experiencia corporal más íntima, en todo su aterradora cotidianidad, y lo hace con el arrojo de quien confío por completo en el lenguaje. Sin embargo, como refiere en su prólogo Brenda Navarro, este Diario del dolor'no es solo un diario sobre cuerpo y escritura, sino un testimonio de un curso de vida que probablemente pudo ser distinto si lo salud pública no diera por hecho que puede decidir el destino de los enfermos,[...] y escuchara y tuviera lo voluntad de entender el proceso vital por el que todos pasaremos'.

Narkis nous conte la force de l'amour d'une mère que rien n'arrête pour permettre le bonheur de sa fille, même à ses propres dépensDans l'air du temps, entre champagne et hôpital psychiatrique, Adrianna, le personnage principal de ce roman, nous raconte avec humour et féminité une tragédie grecque moderne : la sienne.Sous le soleil du Brésil et la bruine parisienne, Narkis construit un ouvrage au parfum savoureux, l'odeur du scandale exhale. Entre le monde de la luxure et celui du divin, il n'y a qu'un pas et il est franchi : le ciel et l'enfer s'embrassent sous les talons aiguilles.Mais c'est aussi et surtout l'histoire d'une femme et son combat. Le lecteur lira, derrière ces mots espiègles, la douleur de la mère et l'ambition d'être femme, deux amours, Hannah et Chris. Deux idéaux parfois antinomiques, inséparables pourtant.« La justice écoute aux portes de la beauté. » A. CésaireUn récit troublant à trois voix sur le besoin d'amour et de paraîtreEXTRAITAlors que je reprenais un deuxième verre de cet excellent Chablis, entourée de quelques amis proches, le téléphone sonna. Je réponds, on me passe ma fille.C'est le service de psychiatrie de l'hôpital Henri Ey dans le 13e arrondissement de Paris.Il s'agit, si l'on veut bien le prendre comme ça, de la nouvelle demeure de ma fille Hannah… moins luxueuse j'en conviens, mais plus adaptée à son tempérament aujourd'hui plus qu'inadapté face à la vie et à ses proches. Elle y est soignée pour une dépression nerveuse depuis plus de six mois, mais en réalité cela fait des années qu'elle perd pied sans que moi, sa mère, celle qui l'a vu grandir, je m'en aperçoive. Et cette sonnerie de téléphone, comme un cri que l'on m'enfonce à nouveau dans le cœur à chaque appel, me confronte encore à cette dure réalité : ma fille va mal. Elle est malade. Et ce doux breuvage que j'absorbe avec délectation ne saurait me la faire oublier.

La plaie éternelle n'est pas une métaphore. Elle est réellement vécue par les ânes. Dès leur jeune âge, on les blesse à la croupe et on continue à les piquer à la même place, toute leur vie. Pour les inciter à travailler! pense-t-on hypocritement. C'est dire toute la cruauté et la cupidité de l'homme, lui le plus paresseux des êtres vivants, ne réalisant pas que les ânes savent aussi vivre en société, être sensibles, sincères et intelligents. Et surtout vivre le vrai amour...Car ce roman est aussi une histoire d'amour entre une ânesse et un âne.

Le commissaire n'a jamais vécu pareille souffrance...En vingt ans de carrière, le commissaire Calderon n'avait jamais vécu pareil stress, pareille souffrance. Bien sûr, il avait connu la douleur physique. Celle des balles plantées dans le corps, de leurs séquelles éternelles. Bien sûr, il s'était retrouvé dans des situations dangereuses dans lesquelles sa vie ne tenait plus qu'à un fil. Mais là, ce n'était pas de lui dont il était question. C'était l'amour de sa vie, son île, que ce psychopathe menaçait. Et Alessandro connaissait l'issue de cette confrontation par webcam interposée. Fatale. Horrible. Le dénouement était inévitable. Lui, ou bien son épouse, Mallory, n'en sortirait pas en vie.Découvrez une nouvelle enquête de l'inspecteur Calderon, confronté à un psychopathe voulant s'en prendre à son épouse Mallory.EXTRAITLes yeux d'Alessandro Calderon commençaient à piquer sérieusement. Les paupières lourdes, il avait du mal à les garder ouverts. Il alluma une Marlboro, puisqu'on l'avait autorisé à fumer. À fumer, mais pas à bouger de son siège. Il ne restait plus que quatre cigarettes dans son paquet. Positionné devant son ordinateur. Face à sa webcam, depuis 28 heures, il rêvait de dormir. De se laisser enfin sombrer. Mais le pire et le plus réel des cauchemars le maintenait en éveil. Sur l'écran, son épouse, assise sur une chaise en bois, bâillonnée, le visage tuméfié. À côté d'elle, debout, se tenait un homme vêtu d'une tenue de camouflage noire, une cagoule vissée sur la tête. Il ressemblait à ces terroristes qui avaient pris pour habitude de décapiter des innocents devant les caméras. Il ne leur ressemblait pas seulement ; il portait en lui la même haine, la même cruauté. La même détermination, aussi. Sa rage s'exprimait, parfois, au détour d'une phrase qu'il hurlait, s'amusant de l'épuisement de sa proie.— Ne vous endormez pas, Commissaire! Sinon, je la massacre!À PROPOS DE L'AUTEURPassionné de littérature policière, Frédéric Coudron ébauche ses premiers textes après la lecture de la Ligne noire et du Serment des Limbes de Jean-Christophe Grangé. Il est l‘auteur de la série à succès Les Chroniques de l'inspecteur Calderon (L'affaire du Croisé-Laroche, Stabat Mater, Requiems, R.I.P, 616, Le Masque de Janus, Cavale, Le crime est servi).Son style unique, à la croisée du roman et du scénario, transforme chacun de ses romans en véritable clip « coup de poing ».