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Nous rapportons le cas d’un homme présentant un tableau atypique de narcolepsie de type 1 (NT1) du fait d’une latence moyenne d’endormissement aux tests itératifs de latence d’endormissement (TILE) normale de 15minutes. Contrastant avec le résultat des TILE, les autres éléments de son histoire sont caractéristiques de la NT1. En effet, il présente une somnolence diurne excessive associée à des attaques de sommeil et des cataplexies ainsi qu’un taux d’hypocrétine indosable dans le liquide céphalo-rachidien. Il a bénéficié d’un bilan de somnolence comportant un polysomnographie de longue durée puis une seconde polysomnographie suivie de TILE. Si la latence moyenne d’endormissement lors des TILE était normale, deux endormissements en sommeil paradoxal ont pu être mis en évidence. À partir de la description de ce cas, nous discutons l’apport diagnostique des différents examens (TILE, dosage de l’hypocrétine dans le LCR) dans la narcolepsie de type 1.

Étudier les variations de l’activité du système nerveux autonome (SNA) de patients atteints d’un syndrome d’apnée obstructif du sommeil (SAOS) en sommeil lent (SL) et en sommeil paradoxal (SP) par rapport à des sujets sains.

Notre objectif est de décrire des patients dont les parasomnies sont aggravés par le SAS et l’impact sur les parasomnies du traitement du SAS.

Les troubles du sommeil sont fréquents chez les candidats à la transplantation pulmonaire (LTX), mais sont sous-diagnostiqués, résultant en un défaut de prise en charge. Le but de ce travail était d’évaluer prospectivement le sommeil et les troubles respiratoires du sommeil dans une cohorte monocentrique française de candidats à la transplantation.

La dysautonomie pure (DP) est une pathologie rare (ORPHA441), synucléopathie ne concernant que le système nerveux périphérique, caractérisée par une hypotension orthostatique invalidante. Fréquents dans les autres synucléopathies (Parkinson, atrophie multisystématisée), les troubles du sommeil sont peu décrits dans la DP. Les buts de cette étude sont :

Les parasomnies sont des comportements ou expériences indésirables survenant pendant le sommeil. Les réveils confusionnels concernent 1,8 % de la population générale au moins une fois par semaine. Elles semblent favorisées par des éléments venant perturber le sommeil, parmi lesquels le syndrome d’apnée du sommeil (SAS). Notre objectif était de décrire des patients dont les parasomnies sont aggravés par le SAS et l’impact sur les parasomnies du traitement du SAS.

Un sommeil de mauvaise qualité est souvent rapporté par les patients en attente ou déjà greffés pulmonaires (LTX), lié aux traitement et comorbidités. Néanmoins les troubles du sommeil restent sous-diagnostiqués, y compris les syndromes d’apnées du sommeil. Le but de ce travail a été de d’évaluer de façon prospective le sommeil et les troubles respiratoires du sommeil d’une cohorte française monocentrique de candidats LTX.

L’adhérence et l’observance au traitement par pression positive continue (PPC) pour le syndrome d’apnées du sommeil (SAS) restent problématique. Les causes d’intolérance peuvent être des effets indésirables de type sécheresse naso-buccales ou de rhinite, que l’humidification peut améliorer.

L’adhérence et l’observance au traitement par pression positive continue (PPC) pour le syndrome d’apnées du sommeil (SAS) reste problématiques. Les causes d’intolérance peuvent être des effets indésirables de type sécheresse naso-bucales ou de rhinite, que l’humidification peut améliorer.