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Undernutrition, overweight and obesity are noted among elderly people, but African data were scattered, and no structured synthesis has yet been performed to review studies on nutritional status (NS) of this population. The aim of this study was to assess NS using Body Mass Index (BMI), among elderly living in communities in Africa.

BackgroundMalnutrition and weight loss are negative prognostic factors for survival in patients with amyotrophic lateral sclerosis (ALS). However, energy expenditure at rest (REE) is still not included in clinical practice, and no data are available concerning hypometabolic state in ALS.ObjectiveTo evaluate in a referral cohort of patients with ALS the prevalence of hypometabolic state as compared with normometabolic and hypermetabolic states, and to correlate it with clinical phenotype, rate of progression and survival.DesignWe conducted a retrospective study examining REE measured by indirect calorimetry in patients with ALS referred to Milan, Limoges and Tours referral centres between January 2011 and December 2017. Hypometabolism and hypermetabolism states were defined when REE difference between measured and predictive values was ≤−10% and ≥10%, respectively. We evaluated the relationship between these metabolic alterations and measures of body composition, clinical characteristics and survival.ResultsEight hundred forty-seven patients with ALS were recruited. The median age at onset was 63.79 years (IQR 55.00–71.17). The male/female ratio was 1.26 (M/F: 472/375). Ten per cent of patients with ALS were hypometabolic whereas 40% were hypermetabolic. Hypometabolism was significantly associated with later need for gastrostomy, non-invasive ventilation and tracheostomy placement. Furthermore, hypometabolic patients with ALS significantly outlived normometabolic (HR=1.901 (95% CI 1.080 to 3.345), p=0.0259) and hypermetabolic (HR=2.138 (95% CI 1.154 to 3.958), p=0.0157) patients.ConclusionHypometabolism in ALS is not uncommon and is associated with slower disease progression and better survival than normometabolic and hypermetabolic subjects. Indirect calorimetry should be performed at least at time of diagnosis because alterations in metabolism are correlated with prognosis.

Les médecins généralistes (MG) sont au centre de la prise en charge (PEC) des patients en excès de poids (EP), mais sont gênés par une insuffisance de formation sur cette thématique. L’objectif de l’étude était d’évaluer l’impact de nouveaux outils d’autoformation (diaporamas et fiches sur 8 thèmes différents) destinés aux MG et portant sur l’EP. À partir d’enquêtes auprès des MG du territoire du Limousin, des outils d’autoformation ont été réalisés et diffusés par Internet et en format papier. Après diffusion, un questionnaire d’impact sur les connaissances et pratiques a été envoyé par la poste aux 1189 MG du Limousin. Deux cent trente-trois questionnaires ont été reçus (19,6 % des envois). Les MG femmes (p=0,006 vs les MG hommes) et les MG déjà « formés » en nutrition (p=0,02 vs les MG « non formés ») étaient les plus intéressés par la prise en charge des patients en EP. Seulement 2,7 % des MG ont déclaré que les outils ne leur ont rien apporté. Le thème considéré comme étant le plus pertinent était le parcours de soin. Les MG femmes (p=0,03) et les MG « non formés » (p=0,02 à 0,04 selon les critères) étaient particulièrement bénéficiaires. Au total, 71,7 % des MG ont déclaré avoir l’intention de diffuser les fiches auprès de leurs patients. Malgré un taux de réponse modeste, l’enquête suggère que les outils ont intéressé les MG et sont utiles pour la PEC.

En France, au moins 15 % des personnes de plus de 15ans sont obèses. La prise en charge (PEC) de l’obésité par le médecin généraliste (MG) est fondamentale, mais difficile. On dispose de peu de données concernant le ressenti du MG face à l’obésité. L’enquête avait pour buts de faire le point sur les difficultés rencontrées par les MG, sur leurs propositions d’amélioration, et sur leur opinion globale face à l’obésité.

L’homéostasie énergétique est la balance entre les apports caloriques alimentaires et les dépenses liées à l’activité physique et le métabolisme basal. Cette homéostasie est altérée au cours de la Sclérose latérale amyotrophique (SLA), objectivée par une perte de poids. L’objectif de cette présentation est d’en expliciter les causes possibles et les conséquences.