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OBJECTIVES: Persistent functional impairment is common in bipolar disorder (BD) and is influenced by a number of demographic, clinical, and cognitive features. The goal of this project was to estimate and compare the influence of key factors on community function in multiple cohorts of well-characterized samples of individuals with BD. METHODS: Thirteen cohorts from 7 countries included n = 5882 individuals with BD across multiple sites. The statistical approach consisted of a systematic uniform application of analyses across sites. Each site performed a logistic regression analysis with empirically derived higher versus lower function as the dependent variable and selected clinical and demographic variables as predictors. RESULTS: We found high rates of functional impairment, ranging from 41 to 75%. Lower community functioning was associated with depressive symptoms in 10 of 12 of the cohorts that included this variable in the analysis. Lower levels of education, a greater number of prior mood episodes, the presence of a comorbid substance use disorder, and a greater total number of psychotropic medications were also associated with low functioning. CONCLUSIONS: The bipolar clinical research community is poised to work together to characterize the multi-dimensional contributors to impairment and address the barriers that impede patients complete recovery. We must also identify the core features which enable many to thrive and live successfully with BD. A large-scale, worldwide, prospective longitudinal study focused squarely on BD and its heterogeneous presentations will serve as a platform for discovery and promote major advances toward optimizing outcomes for every individual with this illness.

La dépression est une maladie fréquente qui va toucher entre 5 et 12 % des hommes et entre 10 et 25 % des femmes. La dépression est également la première cause des suicides en France. Pourtant des solutions existent. Ce livre s’adresse en première ligne aux patients et à leur entourage, c’est-à-dire aux premiers concernés et intéressés par la maladie. Il est écrit par des psychiatres, chercheurs et professeurs de psychiatrie qui leur proposent de faire le tour de cette pathologie. Ce livre ne se veut pas pour autant savant. Il s’agit tout simplement de se mettre à la portée des premiers intéressés et de leur donner les moyens de savoir pour guérir. Car savoir, c’est refuser de continuer à subir et devenir acteur dans un processus qui doit mener la personne souffrant de dépression vers sa guérison. C’est redevenir peu à peu maître de son avenir.

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Stéphanie Bourion-Bédès,1–3 Raymund Schwan,2 Paolo Di Patrizio,2 Guillaume Vlamynck,2 Sarah Viennet,2 Maxime Schvartz,2 Anne Gaunard,2 Alex Bédès,4 Isabelle Clerc-Urmès,5 Cédric Baumann3,5 1Regional Medical and Psychological Service (SMPR), 2CSAPA (Healthcare Center of Accompaniment and Prevention in Addictology), University Hospital of Nancy, 3EA4360 APEMAC, University of Lorraine, Nancy, 4ANPAA 15-CSAPA (Healthcare Center of Accompaniment and Prevention in Addictology), Saint-Flour, Cantal, 5Platform of Clinical Research Facility PARC, Unit MDS, University Hospital of Nancy, Nancy, France Background: Although patient perceptions of health care have increasingly been explored in the literature, little is known about care satisfaction among individuals with substance dependence. This exploratory study assessed the relationships between patient and physician characteristics and early outpatient satisfaction with care for alcohol and opioid dependence. Methods: Satisfaction was assessed using a multidimensional, self-administered and validated questionnaire during the early care process among a prospective outpatient cohort. In addition to measuring satisfaction and obtaining sociodemographic and clinical data, this study collected data on the self-reported health status and physician characteristics at inclusion. Cross-sectional analysis with multiple linear regression was performed to identify the variables associated with satisfaction level. Results: A total of 249 outpatients were included, and 63.8% completed the satisfaction questionnaire. Patients without a history of previous care for substance dependence were more satisfied with the appointment-making process (β=7.2; P=0.029) and with the doctor consultation (β=10.3; P=0.003) than those who had received care previously. Neither sociodemographic characteristics nor self-reported health status was associated

Pierre Poloméni,1 Raymund Schwan2,3 1Department of Addictology, Paris Seine Saint Denis University Hospital, AP-HP, Site René Muret Sevran, France; 2Care Center for the Treatment and Prevention of Addictions (CSAPA), Nancy University Hospital, 3General Psychiatric Division for the Greater Nancy Urban Community, Psychotherapeutic Center of Nancy, Laxou, France Abstract: The way in which opioid addiction is managed in France is unique, as it is based on the prescription of buprenorphine by general practitioners and is dispensed by retail pharmacies. This policy has had a direct, positive impact on the number of deaths caused by heroin overdose, which was reduced by four-fifths between 1994 and 2002. In addition, certain associated comorbidities, such as infection with the human immunodeficiency virus, have also been reduced; the incidence of acquired immune deficiency syndrome in intravenous drug users fell from 25% in the mid-1990s to 6% in 2010. Since the implementation of this French model of opioid management, major scientific progress has been made, leading to a better understanding of the pathophysiologic mechanisms of addiction and of the management modalities required for its treatment. However, despite notable advances in scientific knowledge and in the implementation of devices, opioid addiction remains a major public health care issue in France, with 275,000–360,000 "problem drug users" being reported in 2011. The situation is still particularly worrying due to psychoactive substance use and misuse of opioid substitution treatments. Since 2003, there has been a persistent increase in the number of deaths and comorbidities related to opioid addiction, principally hepatitis C virus infection, which affects up to 40% of intravenous drug users. In France, the direct involvement of general practitioners in the management of opioid addiction is indisputable. Nevertheless, management could be optimized through bett

Studies have shown that patients with schizophrenia exhibit visual processing impairments, particularly regarding the processing of spatial frequencies. In a previous work, we found that, compared to healthy volunteers, patients were biased toward low spatial frequencies (LSF) to identify facial expression at a glance. Given the ubiquity of faces in visual perception, it remains an open question whether the LSF bias is face specific or also occurs with other visual objects. Here, 15 patients with schizophrenia and 11 healthy control adults performed a categorization task with hybrid stimuli. These stimuli were single images consisting of two different objects, a fruit and an animal, each in a specific spatial frequency range, either low (LSF) or high (HSF). Observers were asked to report if they saw an animal or a fruit. The reported category demonstrated which spatial scale was preferentially perceived in each trial. In a control experiment, participants performed the same task but with images of only a single object, either a LSF or HSF filtered animal or fruit, to verify that participants could perceive both HSF or LSF when presented in isolation. The results on the categorization task showed that patients chose more frequently LSF with hybrid stimuli compared to healthy controls. However, both populations performed equally well with HSF and LSF filtered pictures in the control experiment, demonstrating that the LSF preference found with hybrid stimuli in patients was not due to an inability to perceive HSF. The LSF preference found in schizophrenia confirms our previous study conducted with faces, and shows that this LSF bias generalizes to other categories of objects. When a broad range of spatial frequencies are present in the image, as in normal conditions of viewing, patients preferentially rely on coarse visual information contained in LSF. This result may be interpreted as a dysfunction of the guidance of HSF processing by LSF processing.