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Increased pressures from human activities may cause cumulative ecological effects on marine ecosystems. Increasingly, the study of ecosystem services is applied in the marine environment to assess the full effects of human activities on the ecosystem and on the benefits it provides. However, in the marine environment, such integrated studies have yet to move from qualitative and scorebased to fully quantitative assessments. To bridge this gap, this study proposed a 4-tiered method for summarizing available knowledge and modelling tools to aid in quantitative assessments of ecosystem services supply. First, the ecosystem functioning mechanisms underlying the supply of services are conceptually mapped. Second, the impacts of the human activity of interest are summarized and linked to the first conceptual model in a case-specific model of ecosystem services supply. Third, indicators are selected that would best represent changes in the most important parameters of the conceptual model in a quantitative manner. Fourth, the knowledge gained in the previous steps is used to select models that are most useful to quantify changes in ecosystem services supply under the human pressure of interest. This approach was applied to the case study of offshore wind energy in the Belgian part of the North Sea, which is one of the most rapidly expanding industries in the marine environment globally. This study provides a useful tool to proceed towards quantification of marine ecosystem services, highlighting the need for a fully integrated approach to developing environmental impact assessment tools.

Le silicium (Si) sous forme dissoute (DSi) est indispensable à la croissance des diatomées, (microalgues) qui sont un élément clé des réseaux trophiques aquatiques terrestres et océaniques et qui jouent un rôle majeur dans le cycle global du carbone.La construction d’un modèle global du cycle de Si le long du continuum aquatique continent-océan a permis de mettre en évidence l’importance de la zone de transition fleuve-mer pour le transfert du silicium continental vers les océans. Ce transfert est influencé par les diatomées planctoniques qui fixent le DSi et, en sédimentant, retiennent une partie du silicium continental dans les sédiments des estuaires.Les modifications des flux de Si continentaux par les diatomées planctoniques dans les estuaires ont été clarifiées par :1) des expériences sur l’écophysiologie d’une diatomée d’eau douce euryhaline (Cyclotella meneghiniana) particulièrement peu affectée par l’augmentation de salinité subi par le plancton lors de son transport des fleuves à la mer,2) l’étude de la dissolution de la silice biogénique (bSiO2) qui constitue la coque externe des diatomées, et notamment l’effet de la salinité et des bactéries sur ce processus de recyclage du DSi,3) la reconstitution du mélange des eaux et des diatomées dans un estuaire par l’expérimentation (3 espèces de diatomées dans un gradient salin artificiel) et par la construction et l’utilisation d’un modèle de Si dans la zone de mélange estuarienne.Les résultats soulignent notamment l’importance des variations de salinité, de la turbidité de l’eau, de la nature des diatomées de rivière (sténohalines versus euryhalines) et de la viabilité des cellules sur les transformations et la rétention du silicium dans la zone de transition fleuve-mer., Doctorat en Sciences, info:eu-repo/semantics/nonPublished