1. Overview of age constraints for gold mineralization in central and western Newfoundland and new 40Ar/39Ar ages for muscovite from selected auriferous zones
- Author
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Sandeman, Hamish A.I., Honsberger, Ian W., and Camacho, Alfredo
- Abstract
This contribution presents new 40Ar/39Ar laser step-heating data for muscovite associated with four significant orogenic gold-mineralized zones in central and western Newfoundland to build upon existing geochronological constraints for orogenic gold mineralization across much of the Newfoundland Appalachians. Additionally, we provide the first 40Ar/39Ar laser step-heating data for detrital muscovite from gold-mineralized sandstone of the Wigwam Formation (Botwood Group) at the Moosehead gold prospect. Most known gold zones on the isIand occur in proximity to reactivated crustal-scale faults and related structures, and are commonly localized within competent, rigid lithological units (e.g., granitoid rocks); although, some vein systems cut less competent, clastic sedimentary rock sequences. Host rocks range in age from Neoproterozoic to Devonian and may extend into the Carboniferous. Robust Pragian to Emsian (ca. 410–375 Ma) rutile, muscovite and zircon ages constrain the timing of gold mineralization in parts of the Exploits Subzone, whereas less precise age estimates for gold mineralization in the Notre Dame Subzone and Laurentian margin range from Wenlock to Emsian (ca. 433–375 Ma). Collectively, the geochronological data suggest that fluid-pressure cycling associated with gold mineralization in central and western Newfoundland occurred during progressive Siluro-Devonian tectonics associated with the waning stages of the Salinic orogenic cycle and spanning the Acadian and Neoacadian orogenic cycles. Multiple, polyphase, overlapping orogenic events allowed for repeated, gold mineralizing fluid flow events, particularly in proximity to long-lived, reactivated crustal-scale fault zones., La présente contribution fait état de nouvelles données obtenues par chauffage échelonné au laser 40Ar/39Ar de muscovite associée à quatre zones minéralisées aurifères orogéniques stratégiques dans le centre et l’ouest de Terre-Neuve permettant de mieux préciser les limites géochronologiques existantes de la minéralisation aurifère orogénique dans la majeure partie des Appalaches terre-neuviennes. Nous fournissons de plus les premières données par chauffage échelonné au laser 40Ar/39Ar de muscovite détritique provenant de grès minéralisé aurifère de la Formation de Wigwam (groupe de Botwood) dans la zone d’intérêt aurifère de Moosehead. La majorité des zones aurifères connues sur l’île se trouve à proximité de failles d’échelle crustale et de structures connexes, et elles se situent communément à l’intérieur d’unités lithologiques rigides parallèles (p. ex. des roches granitiques), bien que certains réseaux filoniens recoupent des séquences de roches sédimentaires clastiques moins parallèles. L’âge des roches hôtes varie du Néoprotérozoïque au Dévonien et peut s’étendre au Carbonifère. Des datations robustes du Praguien à l’Emsien (env. 410 à 375 Ma) de rutile, de muscovite et de zircon limitent le moment de la minéralisation de l’or dans des parties de la sous-zone Exploits, alors que des estimations moins précises de l’âge de la minéralisation aurifère dans la sous-zone Notre-Dame et de la marge laurentienne varient du Wenlock à l’Emsien (env. 433 à 375 Ma). Les données géochronologiques laissent collectivement supposer que les cycles de pression hydraulique associés à la minéralisation d’or dans le centre et l’ouest de Terre-Neuve se sont manifestés durant la progression tectonique siluro-dévonienne associée aux stades de ralentissement du cycle orogénique salinique et s’étendant aux cycles orogéniques acadien et néoacadien. Plusieurs phénomènes orogéniques polyphasés se chevauchant ont permis des écoulements de fluides minéralisateurs aurifères répétés, en particulier à proximité de zones de failles d’échelle crustale réactivées persistantes.
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- 2022
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