11 results on '"quetiapine"'
Search Results
2. Dépression résistante : les stratégies de potentialisation
- Author
-
Frank Bellivier, Frédéric Haesebaert, Marion Garnier, Guillaume Vaiva, Raphaëlle Richieri, Vincent Camus, Christophe Lançon, Bruno Aouizerate, Thomas Charpeaud, Rémy Bation, Djamila Bennabi, Emmanuel Haffen, Fanny Moliere, Jérôme Holtzmann, Philippe Courtet, Maxime Bubrovszky, Wissam El-Hage, Thierry Bougerol, Ghassen Saba, Najib Allaïli, Marion Leboyer, Pierre-Michel Llorca, Isabel Nieto, Olivier Doumy, Pierre Courvoisier, Thierry d'Amato, Fondation FondaMental [Créteil], Centre hospitalier Charles Perrens [Bordeaux], Laboratoire de Neurosciences Intégratives et Cliniques - UFC (UR 481) (NEURO), Université de Franche-Comté (UFC), Université Bourgogne Franche-Comté [COMUE] (UBFC)-Université Bourgogne Franche-Comté [COMUE] (UBFC), Clinique Psychiatrique Universitaire [Tours], Centre Hospitalier Régional Universitaire de Tours (CHRU Tours), Imagerie et cerveau (iBrain - Inserm U1253 - UNIV Tours ), Université de Tours (UT)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Groupe Hospitalier Saint Louis - Lariboisière - Fernand Widal [Paris], Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP), Centre Hospitalier le Vinatier [Bron], Variabilité de réponse aux Psychotropes (VariaPsy - U1144), Université Paris Diderot - Paris 7 (UPD7)-Université Paris Descartes - Paris 5 (UPD5)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Pôle Psychiatrie et Neurologie [Grenoble], Centre Hospitalier Universitaire [Grenoble] (CHU), Service de Psychiatrie [CHRU Lille], Centre Hospitalier Régional Universitaire [Lille] (CHRU Lille)-Hôpital Michel Fontan 1, UNIROUEN - UFR Santé (UNIROUEN UFR Santé), Université de Rouen Normandie (UNIROUEN), Normandie Université (NU)-Normandie Université (NU), CHU Clermont-Ferrand, Département Universitaire de Psychiatrie - [Hôpital Sainte Marguerite - APHM] (Hôpitaux Sud), Aix Marseille Université (AMU)-Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille (APHM)-Hôpital Sainte-Marguerite [CHU - APHM] (Hôpitaux Sud ), Centre Hospitalier Régional Universitaire [Montpellier] (CHRU Montpellier), Laboratoire de santé publique évaluation des systèmes de soins et santé perçue, INSERM U955, équipe 15, Service de psychiatrie, Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Hôpital Henri Mondor-Hôpital Albert Chenevier-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Hôpital Henri Mondor-Hôpital Albert Chenevier-Réseau de coopération scientifique en santé mentale, Fondation FondaMental [Créteil]-Fondation FondaMental [Créteil]-Institut Mondor de Recherche Biomédicale (IMRB), Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-IFR10-Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-IFR10-Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12), and Hôpital Charles Perrens
- Subjects
medicine.medical_specialty ,Lithium (medication) ,business.industry ,Therapeutic effect ,General Medicine ,Carbamazepine ,Pharmacology ,Lamotrigine ,030227 psychiatry ,3. Good health ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Internal medicine ,medicine ,Antidepressant ,Quetiapine ,Aripiprazole ,[SDV.NEU]Life Sciences [q-bio]/Neurons and Cognition [q-bio.NC] ,Adverse effect ,business ,030217 neurology & neurosurgery ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,medicine.drug - Abstract
Lithium is among the most classically recommended add-on therapeutic a strategy for the management of depressive patients showing unsuccessful a response to standard antidepressant medications. a The effectiveness of the add-on strategy with lithium requires achieving a plasma levels above 0.5 mEq/L. a Mood-stabilizing antiepileptic drugs such as carbamazepine, valproate a derivatives or lamotrigine have not demonstrated conclusive therapeutic a effects for the management of depressive patients showing unsuccessful a response to standard antidepressant medications. a Thyroid hormones are considered among the currently recommended add-on a therapeutic strategy for the management of depressive patients showing a unsuccessful response to standard antidepressant medications. a The effectiveness of the add-on strategy with thyroid hormones requires a achieving plasma concentration of TSH close to the lower limits at the a normal range (0.4 mUI/L) or even below it. Second-generation a antipsychotics such as aripiprazole or quetiapine have consistently a demonstrated significant therapeutic effects for the management of a depressive patients showing unsuccessful response to standard a antidepressant medications. a Second-generation antipsychotics however require the careful monitoring a of both cardiovascular and metabolic adverse effects.
- Published
- 2016
3. La place de la Quétiapine par rapport aux autres antipsychotiques de seconde génération dans les troubles de l'humeur : revue de la littérature accompagnée d’une étude descriptive et comparative
- Author
-
Arrivé, Antoine and UB -, BU Carreire
- Subjects
Thymorégulateurs ,Dépression bipolaire ,[SDV.MHEP] Life Sciences [q-bio]/Human health and pathology ,Antipsychotiques de seconde génération ,Quétiapine ,Antipsychotiques ,Trouble bipolaire ,Pharmaco- épidémiologie ,Trouble de l’humeur - Abstract
Introduction: Quetiapine takes a special place among other antipsychotics in mood disorders by its antidepressant properties. Our literature review highlights that antipsychotics occupy increasingly important place in international recommendations for mood disorders. In unipolar disorder, we do not find additional efficiency in potentialization of antidepressant treatment, compared to other antipsychotics. Clinical studies show the efficacy of Quetiapine alone or in combination with a mood stabilizer in bipolar disorder. Thus there is evidence in favor of thymoregulator qualities of Quetiapine but the long-term tolerance still raises questions. Objectives: The objectives of this study are to investigate the prescription of Quetiapine in patients hospitalized for bipolar or unipolar mood disorder in a psychiatric university center to clarify its use, evaluate its effectiveness, tolerance and compared to other second-generation antipsychotics (SGA). Methods: 115 hospitalized patients suffering from mood disorder are recruited in the units of the psychiatric university center of the Centre Hospitalier Charles Perrens in Bordeaux, from January 2014 to December 2014. SGA were initiated in order to treat these patients. Two groups are compared: in the first one, Quetiapine was initiated and in the second one, another SGA was initiated. Results: Quetiapine was significantly more prescribed than other SGA during a depressive episode (p = 0.0001); while it was less used in manic episode. It is mainly prescribed in patients suffering from bipolar disorder with predominantly depressive polarity (p = 0.02). Conclusion: Quetiapine is commonly used in treating bipolar depression. However, our study has limits, and does not allow concluding on efficacy and medium- and long-term safety. Further studies are needed to explore these data and we should remain cautious about the widespread use of antipsychotics in mood disorders., Introduction : La Quétiapine occupe une place particulière parmi les autres antipsychotiques dans les troubles de l’humeur de par ses propriétés antidépressives. À travers notre revue de la littérature, nous avons vu la place de plus en plus importante qu’occupent les antipsychotiques dans les recommandations internationales pour les troubles de l’humeur. Dans le trouble unipolaire, on ne retrouve pas d’efficacité supplémentaire en potentialisation d’un traitement antidépresseur, par rapport aux autres antipsychotiques. Les études cliniques nous montrent l’efficacité de la Quétiapine seule ou en association à un thymorégulateur dans le trouble bipolaire. Ainsi il existe des preuves en faveur des qualités thymorégulatrices de la Quétiapine mais la tolérance au long cours pose encore question. Objectifs : Les objectifs de notre étude sont d’étudier la prescription de la Quétiapine chez des patients hospitalisés pour un trouble bipolaire ou unipolaire de l’humeur dans un pôle universitaire de psychiatrie afin de préciser son mode d’utilisation, d’évaluer son efficacité, sa tolérance et de la comparer aux autres antipsychotiques de seconde génération (AP2G). Méthodes : La population est constituée de 115 patients hospitalisés pour un trouble de l’humeur dans les unités du pôle universitaire de psychiatrie du Centre Hospitalier Charles Perrens à Bordeaux, sur la période allant de janvier 2014 à décembre 2014. Deux groupes de patients y sont comparés : les patients pour lesquels la Quétiapine a été initiée et ceux pour lesquels un autre AP2G a été initié pendant l’hospitalisation. Résultats : La Quétiapine apparaît significativement plus prescrite que les autres AP2G lors d’un épisode dépressif (p=0,0001) ; elle est au contraire beaucoup moins utilisée dans la manie. Elle est majoritairement prescrite à des patients souffrant d’un trouble bipolaire à polarité dépressive prédominante (p=0,02). Conclusion : La Quétiapine est un traitement fréquemment utilisé dans la dépression bipolaire mais notre étude reste limitée, elle ne permet pas de conclure sur l’efficacité et la tolérance à moyen et long terme. Des études supplémentaires sont nécessaires pour explorer ces données et nous devons rester prudents par rapport à la généralisation de l’usage des antipsychotiques dans les troubles de l’humeur.
- Published
- 2016
4. Efficacité et tolérance à long terme de la lurasidone dans la prise en charge de la schizophrénie
- Author
-
M Honciuc, Ludovic Samalin, Pierre-Michel Llorca, Neuro-Psycho Pharmacologie des Systèmes Dopimanégiques sous-corticaux (NPsy-Sydo), and CHU Clermont-Ferrand-Université Clermont Auvergne [2017-2020] (UCA [2017-2020])
- Subjects
medicine.medical_specialty ,medicine.medical_treatment ,[SDV.NEU.NB]Life Sciences [q-bio]/Neurons and Cognition [q-bio.NC]/Neurobiology ,Placebo ,Akathisia ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,Arts and Humanities (miscellaneous) ,Extrapyramidal symptoms ,Internal medicine ,medicine ,Antipsychotic ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,Lurasidone ,[SDV.NEU.PC]Life Sciences [q-bio]/Neurons and Cognition [q-bio.NC]/Psychology and behavior ,business.industry ,[SCCO.NEUR]Cognitive science/Neuroscience ,[SDV.NEU.SC]Life Sciences [q-bio]/Neurons and Cognition [q-bio.NC]/Cognitive Sciences ,medicine.disease ,3. Good health ,030227 psychiatry ,Psychiatry and Mental health ,Tolerability ,Schizophrenia ,Quetiapine ,medicine.symptom ,business ,030217 neurology & neurosurgery ,medicine.drug - Abstract
Lurasidone is a new second-generation antipsychotic approved in March 2014 by the European Medicines Agency for the treatment of schizophrenia. Lurasidone has demonstrated its efficacy in long-term studies. It has been shown to reduce significantly the risk of relapse in comparison with placebo in patients with schizophrenia. In comparator study, lurasidone was noninferior to quetiapine XR in risk for relapse. In open-label studies, lurasidone was associated with sustained improvement in efficacy measures observed and well-tolerated inpatients with schizophrenia who had switched to lurasidone from another antipsychotic. Available evidence showed also that lurasidone might be involved in the long-term improvement of cognitive performance in schizophrenic patients. Lurasidone differs from the other second-generation antipsychotics by a good tolerability profile, in particular in terms of metabolic and cardiovascular profiles. Lurasidone seems to have a moderate link with the occurrence of akathisia and extrapyramidal symptoms. Although lurasidone long-acting formulation is lacking, the long-term profile of lurasidone appears compatible with a good acceptability and consequently a good compliance to treatment of patients with schizophrenia.
- Published
- 2015
5. La quétiapine dans le traitement des troubles liés à l’utilisation de substances psychoactives
- Author
-
Rizkallah, Élie, Potvin, Stéphane, and Stip, Emmanuel
- Subjects
Antipsychotiques atypiques ,atypical antipsychotic ,désintoxication ,symptômes psychiatriques ,substance use disorders ,troubles liés à l'utilisation de substances ,quétiapine ,detoxification ,quetiapine ,psychiatric symptom - Abstract
Contexte Les troubles liés à l’utilisation de substances psychoactives (TUS) sont associés à une variété de troubles psychiatriques entre autre une instabilité comportementale et affective. Plusieurs études suggèrent que les antipsychotiques atypiques peuvent être utiles dans le traitement de la toxicomanie. L’objectif principal de la présente étude à devis ouvert est d’évaluer l’efficacité de la quétiapine sur les variables reliés à la toxicomanie chez des poly-toxicomanes sans psychose comorbide entrant en désintoxication. Méthodes Dans le cadre d’une étude pharmacologique à devis ouvert d’une durée de 12 semaines, trente-trois polytoxicomanes entrant en désintoxication et répondant à un ou plusieurs critères d’abus/dépendance à une substance du DSM-IV ont été recrutés. Les patients présentant un autre trouble comorbide à l’Axe I ont été exclus. Les envies de consommer, les quantités consommées, les jours de consommation ainsi que la sévérité de la toxicomanie ont été évalués au point de départ (semaine 0) et à la fin de l’étude (semaine 12). Les symptômes psychiatriques et dépressifs furent aussi évalués. Résultats 26 des 33 patients complétèrent plus de 9 semaines de traitement. Les résultats relatifs à la dernière observation reportée (LOCF) ont montré une amélioration significative des envies de consommer, des quantités consommées, des jours de consommation, de la sévérité de la toxicomanie et des symptômes psychiatriques et dépressifs. Conclusions Nos résultats ne peuvent être attribués en soi aux effets pharmacologiques de la quétiapine, et ce compte tenu d’abord du type d’étude à devis ouvert à laquelle nous avons procédée, ainsi que le petit nombre de sujets impliqués et enfin le fait que les participants étaient impliqués dans une thérapie intensive. Ceci dit, nos résultats suggèrent quand même que la quétiapine peut être bénéfique dans le traitement des toxicomanes entrant en désintoxication. Des études randomisées sont de mises pour déterminer la pertinence de ces résultats., Background: Substance use disorders (SUDs) are associated with a variety of psychiatric disorders and mood and behavioral instability. Growing evidence suggests that the atypical antipsychotic quetiapine may be useful in the treatment of SUDs. The primary objective of the current open-label trial was to examine the effects of quetiapine on SUD outcomes in patients entering detoxification. Methods: Thirty-three nonpsychosis SUD patients participated. Patients received quetiapine for a 12-week beginning in detoxification. Craving, quantities used and psychiatric symptoms were evaluated on baseline and at end point. Results: Out of 33 recruited patients, 26 completed > 9 weeks of treatment. Last observation carried forward (LOCF) analyses revealed that craving, SUD severity and quantities used improved during the study. Psychiatric and depressive symptoms also improved. Conclusions: Our results cannot be attributed per se to the pharmacological effects of quetiapine owing to the open-label design of the study, the small sample size involved and the fact that patients were involved in an intensive therapy program. Nevertheless, our results indicate that quetiapine may be helpful for the treatment of SUD patients entering detoxification. Controlled studies are warranted to determine whether these results are quetiapine-related.
- Published
- 2011
6. Syndrome inflammatoire chez les schizophrènes toxicomanes
- Author
-
Igue, Raouf, Stip, Emmanuel, and Kouassi, Édouard
- Subjects
IL-6 ,IL-8 ,Quetiapine ,Cognition et Dépression ,clinical Symptoms ,Cognition and Depression ,Symptômes cliniques ,IL-17 ,IL-1RA ,Schizophrenia ,Drug addiction ,Schizophrénie ,Toxicomanie ,sIL-2R ,Quétiapine - Abstract
La schizophrénie est une maladie mentale grave qui présente une comorbidité fréquente avec la toxicomanie et avec divers troubles immunitaires. Une méta-analyse réalisée récemment dans notre laboratoire a montré une augmentation d’IL-6 (une cytokine pro-inflammatoire), du récepteur soluble d’IL-2 (un marqueur d’activation du système immunitaire), et d’IL-1RA (une cytokine anti-inflammatoire) dans la schizophrénie, suggérant l’existence d’un syndrome inflammatoire dans cette maladie. La toxicomanie aussi est associée au dérèglement du réseau des cytokines inflammatoires, mais les effets dépendent du type de drogues et ils sont parfois diamétralement opposés. On dispose encore de peu d’informations sur le statut immunitaire et inflammatoire des patients qui ont un double diagnostic de schizophrénie et de toxicomanie. Le but de ce travail était d’explorer l’existence d’un état inflammatoire systémique chez les patients schizophrènes et toxicomanes, et l’influence du traitement avec un médicament antipsychotique atypique, la quétiapine. Les objectifs spécifiques étaient : 1) Mesurer les concentrations plasmatiques des cytokines inflammatoires chez les schizophrènes et toxicomanes avant, pendant et après traitement avec la quétiapine ; et 2) Faire des études de corrélations entre les taux de cytokines, les symptômes cliniques, et la consommation de drogues. Les résultats montrent que comparativement aux contrôles normaux, les patients avec un double diagnostic présentent une augmentation d’IL-6, d’IL-1RA, du sIL-2R et d’IL-8 avant traitement à la quétiapine. Les augmentations des concentrations plasmatiques d’IL-1RA sont particulièrement importantes chez les patients avec double diagnostic, si on les compare à celles publiées chez les schizophrènes sans toxicomanie. Le traitement à la quétiapine n’influence pas les concentrations plasmatiques de ces cytokines, sauf sIL-2R qui augmente davantage au cours du traitement. Des corrélations positives de puissance modérée sont retrouvées entre IL-6 et dépression, IL-6 et alcool, IL-1RA et cognition, IL-8 et dépression, IL-8 et alcool, sIL-2R et cannabis. Notre étude révèle que la réponse inflammatoire est activée chez les schizophrènes et toxicomanes. De plus, la toxicomanie semble jouer un rôle facilitant ou potentialisateur dans les augmentations des taux circulants d’IL-1RA. Les études en cours sur différentes populations de schizophrènes avec ou sans toxicomanie, et chez des toxicomanes non schizophrènes permettront de préciser le rôle des différentes drogues d’abus dans le syndrome inflammatoire chez les schizophrènes, ainsi que les implications de ce syndrome sur le plan clinique et thérapeutique., Schizophrenia is a psychosis which presents a frequent comorbidity with substance use disorders (SUD) and with various immune alterations. Using meta-analysis, we have demonstrated previously establishment of an inflammatory syndrome in schizophrenia patients, illustrated by elevated circulating levels of IL-6 (a pro-inflammatory cytokine), sIL-2R (marker of immune activation) and IL-1RA (an anti-inflammatory cytokine). SUD is also associated with dysregulation of inflammatory cytokines, but the effects may depend on the type of substance of abuse. The goal of this project was: 1) To measure plasma concentrations of inflammatory cytokines in schizophrenia patients with comorbid SUD, before, during and after treatment with an atypical antipsychotic, quetiapine; and 2) To perform correlation studies between plasma concentrations of inflammatory cytokines and clinical symptoms, including positive and negative symptoms, cognition, depression and substance use. Relative to normal controls, patients with a dual diagnosis showed increased plasma concentrations of IL-6, IL-1RA, sIL-2R, and IL-8 at baseline, IL-1RA increases being the most important. Quetiapine treatment did not influence plasma cytokine concentrations, except sIL-2R which increased further. Moderate positive correlations were found between IL-6 and depression, IL-6 and alcohol, IL-1RA and cognition, IL-8 and depression, IL-8 and alcohol and between sIL-2R and cannabis. This study demonstrates that the immune and inflammatory response is activated in schizophrenia patients with comorbid SUD. Furthermore, SUD may play a facilitating or potentiating role in the increases in peripheral levels of IL-1RA. Ongoing studies in different patient populations with schizophrenia with or without SUD, and patients with SUD alone will help elucidate the role of different substances of abuse in the inflammatory syndrome in schizophrenia, as well as the clinical and therapeutic relevance of this syndrome.
- Published
- 2009
7. Évaluation pragmatique de la quétiapine dans la dépression résistante aux antidépresseurs et efficacité de la buspirone dans la dépression anxieuse
- Author
-
Tourjman, Smadar Valérie and Elie, Robert
- Subjects
Dépression anxieuse ,Fluxétine ,Dépression ,Lithium ,Quétiapine ,Dépression résistante ,Buspirone - Abstract
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
- Published
- 2008
8. Dérèglement des cytokines inflammatoires chez les schizophrènes avec abus de substances
- Author
-
Bah, Ramatoulaye, Kouassi, Édouard, and Stip, Emmanuel
- Subjects
Symptômes cliniques ,IL-6 ,IL-1RA ,Cognition ,Dépression ,Schizophrénie ,Toxicomanie ,Quétiapine - Abstract
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
- Published
- 2007
9. L'effet de la quétiapine sur le profil tabagique des schizophrènes
- Author
-
Légaré, Nancy and Stip, Emmanuel
- Subjects
Nicotine ,Antipsychotiques ,Tabagisme ,Schizophrénie ,Cigarette ,Quétiapine - Abstract
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
- Published
- 2006
10. Prise en charge pharmacologique du syndrome catatonique dans le trouble du spectre autistique : à propos de trois cas cliniques.
- Author
-
Madigand, J., Lebain, P., Ellul, P., Choucha, W., Charignon, H., and Dollfus, S.
- Abstract
Introduction En 2013 et 2015, Wachtel et al. [1,2] soulignaient l’intérêt de l’électroconvulsivothérapie en tant que traitement de référence du syndrome catatonique dans le trouble du spectre autistique (TSA). Cependant, les risques de cette thérapeutique nous encouragent, en l’absence de critère de malignité, à l’utilisation en première et deuxième lignes d’un traitement pharmacologique, notamment en cas d’échec des benzodiazépines ou de comportements hétéro-agressifs associés. Observations Nous rapportons les cas de syndromes catatoniques résolutifs sous traitement pharmacologique chez 3 patients atteints de TSA. Le 1 er cas fut résolutif dès 1,25 mg/j de lorazépam. Après échec du lorazépam, les 2 autres le furent respectivement sous amantadine 300 mg/j et quétiapine 100 mg/j. Notre 3 e cas présentait des comportements hétéroagressifs non imputables à une cause organique. Discussion Ces cas illustrent l’intérêt du lorazépam dans la prise en charge de la catatonie dans les TSA et celui de l’amantadine en cas d’échec des benzodiazépines. De même, la présence concomitante de comportements hétéro-agressifs, malgré un bilan organique normal, peut parfois conduire à l’emploi d’un traitement antipsychotique, mais avec la nécessité de précautions particulières dans le syndrome catatonique [3] . En l’absence d’étude sur le sujet, les quelques données recueillies dans le trouble du spectre schizophrénique [4,5] ainsi que notre 3 e cas nous incitent à préconiser l’emploi, dans ces situations, d’un nombre restreint d’antipsychotiques atypiques comme la quétiapine [4] et la clozapine [5] . Conclusion Le traitement pharmacologique, tel que le lorazépam, l’amantadine et certains antipsychotiques atypiques, présentent un réel intérêt dans le traitement de 1 re et 2 e lignes du syndrome catatonique dans le trouble du spectre autistique. L’électroconvulsivothérapie reste le traitement de référence à utiliser en cas de critère de malignité ou d’échec de ces traitements. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2015
- Full Text
- View/download PDF
11. [Quetiapine and anticholinergic drugs induced ischaemic colitis: A case study].
- Author
-
Cuny P, Houot M, Ginisty S, Horowicz S, Plassart F, Mentec H, and Eftekhari P
- Subjects
- Adult, Colitis, Ischemic diagnosis, Drug Interactions, Drug Therapy, Combination adverse effects, Humans, Male, Bipolar Disorder drug therapy, Cholinergic Antagonists administration & dosage, Cholinergic Antagonists adverse effects, Colitis, Ischemic chemically induced, Quetiapine Fumarate administration & dosage, Quetiapine Fumarate adverse effects
- Abstract
Introduction: The aim of this paper is to underline the need for systematic monitoring of patients treated with anticholinergic antipsychotic drugs. We present the clinical history of a 34-year-old adult, treated with quetiapine in combination with other drugs with anticholinergic effects., Case Report: A 34-year-old male adult had been suffering from bipolar disorder since 2001. He was treated with risperidone, but he was not compliant due to adverse effects, including decreased libido and erectile dysfunction. On June 5th 2012, it was decided to administrate 600mg per day of quetiapine in combination with tropatepine consequent to an episode of agitation and aggressiveness. On June 14th 2012, while the patient was receiving diazepam and valproic acid, loxapine oral solution was introduced. On June 23th, the patient started mentioning digestive disorders, such as diffuse abdominal pain with constipation but continued to pass gaz. On June 25th, at 6:30 am, he declared abdominal pain, which worsened at 8:15 am despite administration of analgesics, followed by malaise and onset of vomiting. His laboratory tests showed leukocytosis 11.2G/L with neutrophils 7.7G/L. The abdomen's radiograph without preparation showed small bowel and colonic air-fluid levels. The result of the CT scan confirmed an occlusive syndrome affecting the whole small gut and colon. At 1 pm, the patient's condition worsened. He received an intramuscular injection of 100mg of loxapine and an opioid treatment, including tramadol and morphine. At 2:30 pm, the clinical condition further deteriorated with an onset of generalized abdominal contracture, the absence of abdominal breathing, sweating, tachycardia at 104 beats per minute, and hypothermia of 34.5°C. He was transferred to an intensive care unit. Laboratory tests showed metabolic acidosis, elevated liver enzymes and acute renal failure. He received volume expansion and was treated by renal replacement therapy and antibiotics. He was intubated and transferred to the operating room. At laparotomy, both colonic necrosis with perforation and necrosis of the small bowel were seen. The patient underwent total colectomy with small bowel resection, distal ileostomy and closure of the rectal stump. The onset of septic and hemorrhagic state required further surgery on June 26th. The evolution was characterized by multi-organ failure with acute anuric renal failure, multiple cardiac arrests, and systemic bacterial and fungal infection. On July 24th, this unfavorable outcome lead to death. In summary, the patient had an occlusive syndrome due to neuroleptics and complications, including mesenteric ischemia with necrotizing colitis., Discussion/conclusion: Quetiapine, like all antipsychotics, has anticholinergic effects, including cardiac, psychiatric and digestive disorders. The combination of anticholinergic drugs decreases intestinal peristalsis. Without any prompt management, this decrease can result in a colonic ischemia or necrosis. In patients treated with neuroleptics, the onset of constipation must alert medical staff. Systematic monitoring of bowel movements should be performed in any patient receiving anticholinergic drugs., (Copyright © 2016 L'Encéphale, Paris. Published by Elsevier Masson SAS. All rights reserved.)
- Published
- 2017
- Full Text
- View/download PDF
Catalog
Discovery Service for Jio Institute Digital Library
For full access to our library's resources, please sign in.