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2. About traces of paintings on decorated stelae of Mongolia during late Bronze and early iron Ages
- Author
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Yury Esin, MAGAIL Jerome, Chimiddorj Yeruul-Erdene, Jamiyan-Ombo Gantulga, Institut de Recherche de Khakassie sur les Langues, la Littérature et l’Histoire, Musée d'Anthropologie préhistorique de Monaco, Monaco, Mongolian Academy of Sciences (MAS), and MAGAIL, JEROME
- Subjects
Bronze Age ,Trans-Baïkal ,début de l’âge du Fer ,[SHS.ARCHEO] Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,[SHS.ARCHEO]Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,engraving art ,Slab Grave culture ,Mongolia ,gravures rupestres ,[SHS.ART]Humanities and Social Sciences/Art and art history ,Trans-Baikal ,khereksur ,deer stones ,Early Iron Age ,stelae ,MMongolie ,âge du Bronze ,pierres à cerfs ,[SHS.ART] Humanities and Social Sciences/Art and art history ,stèles ,tombes - Abstract
This study focuses on traces of paint on stone stelae of Mongolia, dating from the late second to the mid-first millennia BC. The painting was made in various shades of red. In all cases, remains of paint were found on facets which had been protected from weathering because the stelae had collapsed or been reused. Additional protection might have been provided by a calcite crust formed where the stelae were in contact with the ground. On the basis of the role of painting in visual imagery, two groups of paintings are described: supportive (filling in the engraved figures or outlining them) and independent. The first group is the largest. In terms of composition, stelae fall into two types:1) those whose front is on the narrow vertical facet, carrying images of deer in the Mongolian-Transbaikal style;2) and those whose front is on the wide vertical facet, where the upper tier is emphasized, and neither deer nor belts with weapons are represented. The relative chronology of the two types is established by the fact that in certain instances, stelae of the first type were reshaped into those of the second type. Also, the first type is related to funerary and memorial sites of the Khereksur and Deer Stone culture of Central Mongolia ; the second, to burials of the Slab Grave culture. The tradition of decorating engraved figures with red mineral paint originated among eastern Eurasian steppe pastoralists in the Early Bronze Age., Cette étude porte plus particulièrement sur les traces de peinture présentes sur certaines stèles dites « pierres à cerfs » de Mongolie, datant de la fin du deuxième au milieu du premier millénaire BC. La peinture apparaît selon diverses nuances de rouge. Dans tous les cas, les traces de peinture ont été trouvées sur les faces protégées des intempéries notamment sur les stèles qui furent en partie ensevelies ou qui avaient été réutilisées dans des tombes. Une protection supplémentaire pourrait avoir été apportée par une croûte de calcite formée au contact des stèles avec le sol. De façon générale, l’utilisation de la peinture dans la constitution des iconographies se répartit en deux catégories. La première, la plus rencontrée, est le remplissage des figures gravées ou le rehaussement de leurs bords. La seconde correspond aux motifs peints distincts des figures gravées. En termes de composition, les stèles se répartissent en deux types :l) celles dont la face avant est sur le côté étroit, portant des images de cerfs dans le style mongol-Transbaïkal ;2) celles dont la face avant est sur un côté large, où la partie supérieure est mise en valeur par rapport à une base sans figurations de cerf ni de ceinture portant des armes. La chronologie relative entre ces deux types est établie par le fait que dans certains cas, les stèles du premier ont été transformées pour devenir celles du deuxième type. Aussi, la première catégorie appartient aux sites funéraires et commémoratifs de la culture des Khereksur et « pierre à cerfs » de Mongolie centrale ; la seconde, aux sépultures de la culture des tombes à dalles. La tradition de colorer des gravures à l’aide de peinture minérale rouge a commencé chez les pasteurs des steppes de l’est de l’Eurasie au début de l’âge du Bronze.
- Published
- 2018
3. Application de la photogrammétrie à la documentation de l’art rupestre, des chantiers de fouilles et du bâti
- Author
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MAGAIL Jerome, Fabrice Monna, Yury Esin, Josef Wilczek, Chimiddorj Yeruul-Erdenne, Musée d'Anthropologie préhistorique de Monaco, Monaco, Archéologie, Terre, Histoire, Sociétés [Dijon] ( ARTeHiS ), Ministère de la Culture et de la Communication ( MCC ) -Université de Bourgogne ( UB ) -Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS ), Institut de Recherche de Khakassie sur les Langues, la Littérature et l’Histoire, Institut d’Histoire et d’Archéologie de l’Académie des Sciences de Mongolie, Desbois-Garcia, Sophie, Archéologie, Terre, Histoire, Sociétés [Dijon] (ARTeHiS), and Ministère de la Culture et de la Communication (MCC)-Université de Bourgogne (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
- Subjects
art rupestre ,Bronze age ,[SHS.ARCHEO] Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,Pierres à cerfs ,[SHS.ARCHEO]Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,Iron age ,engraving art ,Mongolia ,photogrammetry ,Mongolie ,âge du Fer ,Siberia ,deer stone ,Archaeology ,Archéologie ,âge du Bronze ,[ SHS.ARCHEO ] Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,Mont Bego ,steles ,photogrammétrie ,Sibérie - Abstract
During his archaeological missions the Museum of Prehistoric Anthropology tested the 3D modelling of several typesof objects. His team chose the ‘Structure-from-Motion’ (SfM) method which works according the basic principle of stereoscopicphotogrammetry, namely that 3D structure can be resolved from two or more overlapping, offset images. Most of other methodscapable of surveying, at high resolution, often complex objects and landforms are very expensive and have a difficult portability.Using only a consumer-grade digital camera and a scale on the ground, the user moves through the environment, acquiringphotographs of the area of interest from as many locations and perspectives as possible. Software is then used to reconstruct scenegeometry. Results from example applications of the technique to engraving art, archaeological zone and architecture are presented.Such data are invaluable for the archaeological heritage inventory on difficult and remote field. To conclude, SfM output is directlycompared with that obtained from a classic archaeological documentation., Au cours de ses missions archéologiques, le Musée d’Anthropologie préhistorique de Monaco a testé la modélisation 3D de plusieurstypes d’objets. Son équipe a choisi la méthode ‘Structure-from-Motion’ (SfM) qui fonctionne selon le principe de base de la photogrammétriestéréoscopique, à savoir que la structure 3D peut être résolue à partir de deux images superposées et décalées. La plupart desautres méthodes capables d’acquérir, à haute résolution, des objets et des paysages souvent complexes, sont très coûteuses et d’une portabilitédifficile. En utilisant uniquement un appareil photo numérique de qualité grand public et une échelle sur le sol, l’utilisateur se déplacedans l’environnement, en prenant des photographies de la zone d’intérêt depuis le plus possible d’endroits et de points de vue. Un logicielest ensuite utilisé pour reconstituer la géométrie des scènes. Les résultats des exemples d’applications de la technique à l’art rupestre, auxchantiers archéologiques et à l’architecture sont présentés. De telles données sont précieuses pour l’inventaire du patrimoine archéologiquesur des terrains difficiles et éloignés. Pour conclure, la production de SfM est directement comparée à celle obtenue à partir de la documentationarchéologique classique.
- Published
- 2017
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