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This study examines the impact of climate variability on rainfed maize production in the eastern part of the Ivory Coast. Stationarity tests show breaks in the annual rainfall regimes toward the end of the 1960s. The impact of these jump changes on the growing seasons shows that, despite significant decrease in its length after the 1970s, the main growing season remained long enough to crop maize with a short cycle. The impact on maize was assessed by simulating yields and crop water use. The simulation was based on long yield series and meteorological data using the FAO CROPWAT program to calculate water deficit and excess water conditions. The comparison of simulation outputs with the indicators for trends in production, shows that the current state of the climatic conditions does not explain the overall dynamics of maize cropping in the eastern Ivory Coast.

L'analyse des séries pluviométriques dans le sud forestier ivorien montre que depuis plus de vingt-cinq ans maintenant cette région subit, comme ailleurs en Afrique de l'Ouest et centrale, un déficit pluviométrique important. Par ailleurs, l'étude de l'évolution des activités agricoles et de la démographie dans ce secteur de la Côte d'Ivoire a permis de mettre en évidence la pression exercée par les populations rurales sur les massifs de forêts denses humides. Il en ressort que le déplacement de la production cacaoyère et caféière suit celui des isohyètes au cours des dernières décennies. L'étude des variations de l'albédo et du gradient pluviométrique apparaissent comme liées à ces modifications subies par le couvert forestier. Celles-ci ont pour conséquence la réduction des apports continentaux en vapeur d'eau à l'atmosphère et contribuent ainsi à la diminution des quantités précipitées. (Résumé d'auteur)

Le Sud forestier ivoirien subit, depuis 25 ans, un important déficit pluviométrique. Parallèlement, on a constaté que le déplacement de la production cacaoyère et caféière semblait concomitant de celui des isohyètes au cours des dernières décennies. Les variations de l'albédo et du gradient pluviométrique apparaissent alors comme liées aux considérables modifications apportées au couvert forestier. Celles-ci pourraient avoir des incidences locales sur les précipitations. (Résumé d'auteur)

La précision des analyses de terre, au niveau du laboratoire, est étudiée sur quelques échantillons dits de "référence" ou de "contrôle". Une ou deux de ces références, sont, en effet, systématiquement analysées avec chaque série de 25 à 30 échantillons, à titre "de contrôle". Les différents résultats sont étudiés statistiquement : moyenne, écart-type, intervalle de confiance d'une analyse exprimé en pourcentage de la moyenne. La précision ou intervalle de confiance peut varier dans des limites assez larges suivant les éléments et le type de sol. La meilleure précision est, généralement, obtenue sur la mesure du pH (4 à 6%), puis sur les dosages de C organique, N total et P assimilable "Dyer" (5 à 15%). Pour Ca et Mg, l'intervalle de confiance est de l'ordre de 15 à 20% et pour K il est compris entre 15 et 40% selon les sols.