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While recent studies have established the mechanism of particle capture by bryozoan lophophores, and provided data on clearance rates, little is known about the ecology of feeding. While bryozoans on a crowded surface are assumed to compete for space, the extent to which the different species feed on particles of the same size is unknown. This study, based on rock-encrusting species inhabiting a New Zealand shore, had two objectives : 1) to investigate comparatively the morphometrics of the lophophore, to test for correlations between parameters, and to establish from a range of species the extent to which lophophores conform to some standard pattern ; 2) to compare the types and /or sizes of lophophore recognized with the observed abundance of species in the community. Parameters recorded were tentacle number (N) and length (L), and the maximum (D) and base diameters of the funnel. For 32 species the ranges were : N 8-25, L 200-900 µm, D 250-1000 µm. L, D and N exhibited a high degree of positive correlation. Partial correlation techniques demonstrated that this was highest between L and D, and high between D and N. Principal components analysis showed that 93 % of the total variance was associated with a single vector, "size", very highly correlated with L. 5 % of the variance was attributable to the second component, "shape", correlated with the angle of tentacle spread. Thus, although size of the lophophore varies considerably, its proportions and the spacing of tentacles are quite rigidly preserved. To determine relative abundance nearly 0.5 m² of rock surface, about half covered with bryozoans belonging to 38 species, has so far been examined. In 92.4 % of some 7500 sampling points N lay in the limited range 12-16. L was even more narrowly restricted, with 66.8 % of all colonies lying in the range 350-450 µm. Thus, while the permissible size variation for effective lophophores is considerable, the most abundant species have closely similar lophophores, at least so far as this particular population is concerned. Unless the selection of food particles by size is very finely adjusted (e.g. by mouth circumference), it seems probable that the great majority of colonies (though not necessarily of species) occupying the rock-surface habitat are exploiting a common food resource., Quoique des études récentes aient établi le mécanisme selon lequel les lophophores des bryozoaires attrapent des particules, et aient fourni des données sur la vitesse avec laquelle ils les filtrent, nous savons encore peu de choses sur l'écologie de leur alimentation. Tout en présumant que les bryozoaires accrochés à une surface surpeuplée se disputent pour la place, nous ne savons pas à quel point les espèces différentes mangent des particules de la même grosseur. Cette étude, qui se base sur des espèces encroûtant les rochers d'une côte de la Nouvelle Zélande, a deux buts : 1) examiner par comparaison les tailles du lophophore, chercher des corrélations entre les paramètres, et établir à quel point, dans des échantillons de différentes espèces, les lophophores se conforment à une norme quelconque ; 2) comparer les types et/ou la grosseur des lophophores reconnus avec l'abondance des espèces observée dans la communauté. Les paramètres notés étaient : le nombre des tentacules (N), leur longueur (L), le diamètre maximum (D) et le diamètre à la base de l'entonnoir. Pour 32 espèces, les variations étaient : N 8-25, L 200-900 µm, D 250-1000 µm. L, D et N ont montré un haut degré de corrélation positive. Des techniques de corrélation partielle ont démontré que cette corrélation positive était maximum entre L et D, et était grande entre D et N. L'analyse des parties constituantes principales a montré que 93 % de la variation totale s'associait à un seul vecteur, "grosseur", qui était en grande corrélation avec L. 5 % de la variation pouvait être attribué au second constituant, "forme", mise en corrélation avec l'angle de l'envergure des tentacules. Ainsi, quoique la grosseur du lophophore varie considérablement, les proportions et l'écartement des tentacules se maintiennent très rigidement. Pour déterminer les abondances relatives, on a examiné jusqu'ici presque 0.5 m² de la surface de rocher à peu près à demi couvert de bryozoaires appartenant à 38 espèces. Dans 92.4 % des 7500 prises d'échantillons environ, N était assez limité, entre 12-16. L était encore plus limité, avec 66.8 % de toutes les colonies mesurant entre 350-450 µm. Ainsi, quoique la variation de la grosseur des lophophores permise soit considérable, les espèces les plus abondantes ont des lophophores très semblables, au moins en ce qui concerne cette population. À moins que la sélection des particules de nourriture par grosseur soit très délicatement adaptée (par exemple par la circonférence de la bouche), il est probable que la grande majorité des colonies (mais pas nécessairement des espèces) qui habitent la surface du rocher exploitent une source commune de nourriture., Ryland John S. Parameters of the lophophore in relation to population structure in a bryozoan community (abstract). In: Documents des Laboratoires de Géologie de la Faculté des Sciences de Lyon. Hors série n°3, 1975. Bryozoa 1974 – Proceedings of the third Conference International Bryozoology Association – Lyon (fasc. 1) pp. 123-124.