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Troisième et dernier volet du Rapport de recherche entamé en décembre 2020 et portant sur la conception, réalisation et diffusion d'un Chatbot dénommé MILBOT, en partenariat avec le média de service public RTS (groupe SRG SSR), sur mandat de IMI (Initiative for Media Innovation, EPFL).

Deuxième partie du rapport de recherche sur la conception, réalisation d'un Chatbot dénommé MILBOT, en partenariat avec le service public RTS (groupe média SRG SSR), sur mandat de IMI (Initiative for Media Innovation, EPFL).

Un petit selfie, ça vous dit ? Il y a de fortes chances pour que vous acceptiez de prendre la pose : en effet, un individu prendrait en moyenne 25'676 selfies tout au long de sa vie (Oer & Cohrs, 2016). Depuis quelques années, ce véritable phénomène ne cesse de faire parler de lui. Ainsi, le présent travail de recherche s'intéresse aux usages du selfie, aux gratifications que les jeunes adultes romands en retirent, ainsi qu'à ses enjeux. Deux enquêtes en ligne nous ont permis de mettre en lumière les conditions et paramètres qui contribuent à susciter l'intérêt des individus pour un selfie, de déterminer les raisons pour lesquelles ils prennent et partagent des selfies, ainsi que d'établir l'existence d'une corrélation entre le genre d'un individu et la pratique du phénomène.

À l'équilibre thermodynamique, un système composé d'un grand nombre de particules présente de petites fluctuations spontanées. Des théorèmes de la physique statistique relient ces fluctuations au comportement du système hors d'équilibre.

Réformateur social et éducateur gallois, Robert Owen offre une nouvelle vision de la société tant sur le plan social que du point de vue moral. En effet, il tenta de mettre en place une révolution morale de l’Homme de manière pacifique alors que l’écosse du début du xixe siècle vivait des bouleversements économiques et sociaux sans précédents. Empreint d’un esprit encyclopédique, à la manière de ses contemporains, il fit feu de tout bois pour réaliser ses idéaux. Il en résulte une œuvre dense...

The most frequent manifestation of exercise deep vein thrombosis (DVT) is the one occurring in upper limbs, in some specific and stereotypic conditions, sometimes complicated by pulmonary embolisms. A few cases of lower limbs DVT are reported in athletes. Some pathophysiologic arguments (rheological modifications, parietal lesions and coagulation abnormalities) suggest a link between DVT and exertion, but the causality is sometimes difficult to establish. We report three cases of pulmonary embolism occurring after a prolonged effort of running in trained marathon athletes. To our knowledge, very few similar cases have ever been reported. The possible responsibility of such physical efforts is discussed, as well as other potential cofactors such as coagulation abnormalities and hormonal contraception.

The diagnosis of major pulmonary embolism should be considered in case of acute respiratory distress, particularly in high thrombo-embolic risk situation. Clinical examination, combined with blood gas analysis, electrocardiogram and chest X-ray are generally suggestive of pulmonary embolism but are not sufficient. In patients with shock, hypotension or after cardiac arrest (massive forms), bedside transthoracic echocardiography is the first choice diagnostic test whereas CT-scan should be considered in less severely ill patients. Troponin dosage and measurement of right upon left ventricular diameter ratio (by echocardiography or CT-scan) are mandatory in the prognostic evaluation of submassive forms (i.e. hemodynamically stable patients with right ventricular dysfunction). Thrombolysis is clearly indicated in patients suffering from massive pulmonary embolism and should be discussed in young patients (less than 70 years), with no identified bleeding risk, suffering from submassive form when troponin rate is increased and/or ventricular diameter ratio is over 0.9. Surgical embolectomy should be considered in case of contraindication or failure of thrombolysis.

J.F. Puglisi, On the path to Christian Unity : Will words alone suffice ? p. 33-46. - In this article, the author takes note of the beginnings of the modern day ecumenical movement and the Catholic's Church involvement. The time has come to ask the question : « Do I really want to be in communion with other Churches ? » While much progress has been made on the level of bi- and multi level dialogues, especially with excellent agreed statements, the words alone will not suffice. Using some interesting concepts from the philosopher Paul Ricoeur and the Groupe des Dombes, the author illustrates the role that a healing of memories and the conversion of the Christian, ecclesial and confessional identities must play in the life of the Churches if Christian Unity is to become a reality., Dans cet article, l'auteur considère les débuts du mouvement œcuménique contemporain et l'implication qui est celle de l'Église catholique. Le temps est venu de poser la question : « Est-ce que je veux vraiment être en communion avec les autres églises ? » Alors que beaucoup de progrès ont été réalisés sur le plan des dialogues bi-multilatéraux, en particulier avec d'excellents accords, ces mots, pourtant, ne peuvent suffire à eux seuls. Reprenant quelques concepts pertinents au philosophe Paul Ricœur et au Groupe des Dombes, l'auteur montre quel rôle le pardon dans le souvenir et la conversion des identités chrétiennes, ecclésiales et confessantes doivent jouer dans la vie des églises si l'unité chrétienne doit devenir une réalité., Puglisi James F. Sur le chemin de l'Unité des chrétiens : les mots suffiront-ils ?. In: Revue des Sciences Religieuses, tome 75, fascicule 1, 2001. pp. 33-46.

Puglisi Sylvia, Aubenas Jacqueline, De Ryck Dominique. La FN : grève contre les conceptions de travail. In: Les Cahiers du GRIF, n°16, 1977. Leur crise nos luttes. pp. 79-86.

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Etude sur la conception et utilisation d'un Chatbot dénommé MILBOT en partenariat avec la RTS (groupe média de service public SRG SSR), sur mandat de IMI (Initiative for Media Innovation, EPFL).

2 volumes; International audience

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Egalement paru dans : Le risque en montagne : les réalités et les images. Actes du 116e Congrès national des Sociétés savantes, Chambéry, 1991. Ministère de l'Education nationale, de la Recherche et de la Technologie/CTHS, Paris, 1992; Cet article présente la synthèse d'un document sur l'histoire des risques "naturels" en montagne et de leur prise en charge par l'Etat, depuis la loi de 1882, chargeant un service spécial de l'administration forestière de la "restauration des terrains en montagne" (RTM). Les risques "naturels" sont des produits sociaux, et c'est en ce sens que leur histoire dépend de celle des relations d'une société à son environnement montagnard. D'abord ces phénomènes "naturels" que sont les mouvements de terrain, l'érosion, la torrentialité et les avalanches dépendent, partiellement du moins, de la couverture végétale, et donc de la mise en valeur. Ensuite, de tels phénomènes ne constituent des risques que dans la mesure ou le développement d'activités productives ou ludiques met des équipements ou des individus à leur contact. Enfin, l'évolution du contexte économique et social conduit à modifier, tant le comportement des acteurs face aux risques, que les normes de sécurité et les méthodes de prévention. Confrontés à des milieux dont l'entretien devient problématique à des risques délocalisés, et à une demande de sécurité exigeante, les agents du service de la RTM ne peuvent plus se contenter d'équiper en ouvrages de génie civil et biologique, des périmètres limités, étatisés pour cause d'utilité publique. Ils doivent contribuer à la cartographie des zones menacées, conseiller les autorités locales dans la mise en place des dispositifs de protection, intervenir dans une gestion négociée des risques, entre les acteurs concernés : administrations, collectivités locales, promoteurs, industriels, etc. Mais, pour assurer ces nouvelles missions, ils ne disposent pas de moyens renforcés en crédits, effectifs, en compétences. Nouvelles modalités de gestion de la sécurité ou désengagement de l'Etat ? La question demeure ouverte, mais il est certain que l'on s'achemine vers une inégale répartition des conditions de sécurité offertes aux habitants et aux usagers des régions de montagne.