7 results on '"MARITAL adjustment"'
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2. Relation entre ajustement marital et santé mentale dans des couples faisant face au cancer du sein
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Sybille Caillot-Ranjeva, Samuel Gourlain, Valérie Bergua, C. Segrestan-Crouzet, Nicole Rascle, Bordeaux population health (BPH), and Université de Bordeaux (UB)-Institut de Santé Publique, d'Épidémiologie et de Développement (ISPED)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)
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Oncology (nursing) ,Dépression ,Emotional distress ,3. Good health ,03 medical and health sciences ,Psychiatry and Mental health ,Clinical Psychology ,0302 clinical medicine ,Breast cancer ,Oncology ,Marital adjustment ,Ajustement marital ,030220 oncology & carcinogenesis ,Couple ,[SDV.SPEE]Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie ,030212 general & internal medicine ,Anxiété ,Cancer du sein - Abstract
The relationship between perceived marital adjustment and mental health in 48 couples whose wives have breast cancer is studied. Husbands who rated the quality of marital adjustment more positively at the time of diagnosis showed a lower risk of anxiety and depression one month after the end of treatment. This confirms the importance of the dyadic approach and the consideration of spouses in the management of cancer.; Le lien entre l’ajustement marital perçu et la santé mentale de 48 couples dont l’épouse est atteinte d’un cancer du sein fait l’objet de cette étude. Les conjoints qui évaluent plus positivement la qualité de l’ajustement marital au moment du diagnostic montrent un risque moins élevé d’anxiété et de dépression un mois après la fin du traitement. Cela confirme l’importance de l’approche dyadique et de la prise en compte des conjoints dans la prise en charge du cancer.
- Published
- 2021
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3. Symptomatologie dépressive maternelle post-adoption : une étude rétrospective.
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Bonal, C. and Séjourné, N.
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Résumé But de l’étude Tout comme les mères biologiques, les femmes adoptives connaissent des changements de vie soudains à l’arrivée de l’enfant qui sont susceptibles d’augmenter le stress parental et le risque de développer des symptômes dépressifs. L’objectif principal de cette recherche était d’évaluer le taux dépression post-adoption chez des mères ayant adopté au cours des 36 derniers mois et d’examiner les facteurs qui y sont associés. Patients et méthode Cent vingt-deux mères adoptives ont été interrogées par le biais de forums Internet et d’associations pour les parents adoptifs. Toutes les femmes ont complété quatre questionnaires qui permettaient d’évaluer rétrospectivement le stress perçu durant la procédure d’adoption (Perceived Stress Scale), la dépression post-adoption (Edinburgh Postnatal Depression Scale), l’ajustement conjugal (Dyadic Adjustment Scale) et le stress parental (Parenting Stress Index). Résultats Les symptômes de dépression post-adoption ont été retrouvés chez 17 % des mères. Ils étaient significativement associés à un taux de stress important durant la procédure d’adoption et à l’arrivée de l’enfant, à la difficulté d’adaptation de l’enfant ainsi qu’à la qualité d’ajustement conjugal. Une analyse de régression multiple a montré que l’intensité du stress perçu durant la procédure d’adoption, les scores à deux sous-échelles de stress parental et les difficultés de l’enfant à son arrivée prédisaient significativement l’intensité des symptômes dépressifs post-adoption. Conclusion Ces résultats suggèrent l’importance de mettre en place des actions de prévention spécifiques pour prévenir l’apparition de symptômes dépressifs qui peuvent suivre une adoption. Objective As biological mothers during the postpartum period, women who adopt a child might suffer from depressive symptoms. Thus, women who enter in the adoption process experience sudden life changes with the arrival of the child which increase parental stress and the risk of developing depressive symptoms. The aim of this study was to evaluate the prevalence rate of depression in mothers who have recently adopted a child and to examine factors associated with this symptomatology. Methods One hundred and twenty-two participants aged 28 to 54 years (M = 41.38, ET = 5.78) were approached through Internet forums and 93 French departmental associations for family who adopt a child. Participants who met the inclusion criterion (i.e. having adopted a child over the past 36 months) were invited to participate to the study and to complete questionnaires on a database platform. All women who agreed to participate completed an anamnestic questionnaire focusing on personal data, adoption procedure, and child-related information. Perceived social support from family and friends and child difficulties were also assessed using five-point scales. Then, all women completed four questionnaires assessing perceived stress during adoption (Perceived Stress Scale), depressive symptomatology (Edinburgh Postnatal Depression Scale), perception of quality of marital relationship (Dyadic Adjustment Scale) and parenting stress (Parenting Stress Index Short Form). Given the adoption process and the six months following child arrival, all measures were completed retrospectively. Results Seventeen percent of the sample scored above the cutoff for probable depression, this rate is similar to that which can be observed in postpartum depression. Depressive symptoms were significantly associated with a high rate of stress during the adoption process and after the arrival of the child, the difficulties of child's adaptation as well as the quality of conjugal adjustment. Multiple regression analysis showed that the intensity of perceived stress during the adoption process, scores on two subscales of the Parental Stress Index “difficulty of the child” and “parental distress” and difficulties of child's adaptation rated by the mother were significant predictors of the intensity of depressive symptoms post-adoption. Conclusion Despite the limits of a retrospective study, these results suggest the importance of implementing specific preventive interventions considering both the adoption process and the post-adoption period to prevent depressive symptoms from developing. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
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4. Étude des aspects psychologiques des fausses couches à répétition à l'aide d'un questionnaire de personnalité approfondi: le MMPI-2.
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Jaoul, M., Ozon, A., Marx de Fossey, I., Riazuelo, H., Molina Gomes, D., Chudzic, L., and Wainer, B.
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- *
RECURRENT miscarriage , *PSYCHOLOGY of miscarriage , *QUESTIONNAIRES , *MARITAL adjustment , *SOMATIZATION of mental depression , *MEDICAL research - Abstract
Résumé: Objectifs: Tenter d’analyser le vécu de couples ayant vécu des fausses couches à répétition, en répondant aux questions suivantes : que nous apprennent ces hommes et ces femmes vivant des fausses couches à répétition ? Que pouvons-nous mieux appréhender sur le couple lui-même ? Patients et méthodes: Un questionnaire de personnalité approfondi, le MMPI-2, a été proposé à 50 couples ayant vécu des fausses couches répétées. Résultats: Grâce à une classification hiérarchique, des profils différents apparaissent tant dans le groupe des femmes que dans la groupe des hommes, mettant en évidence une somatisation de la souffrance psychologique ; elle montre aussi l’existence de profils de personnalité particulièrement défensifs témoignant d’une restriction des affects chez beaucoup d’hommes de ces couples vivant des échecs répétés de procréation. Cette restriction émotionnelle peut être facteur de souffrance supplémentaire pour leurs compagnes et pour eux-mêmes. Discussion et conclusion: On peut conclure que dans ces conditions, la prise en charge médicale et/ou psychologique devra inclure les deux membres du couple pour favoriser un meilleur ajustement marital et permettre au couple d’aborder la prochaine grossesse, toujours vécue dans l’angoisse d’un nouvel échec, avec une plus grande sérénité. Quelques hypothèses étiologiques pourront être évoquées. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2013
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5. Aspects psychologiques des couples infertiles.
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Galhardo, A., Cunha, M., and Pinto-Gouveia, J.
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INFERTILITY ,MENTAL health ,MARITAL adjustment ,BECK Depression Inventory ,DYADIC communication ,PSYCHOLOGICAL adaptation ,INTIMACY (Psychology) - Abstract
Résumé: Le but de cette étude est de dresser un portrait de la psychologie des couples infertiles et de leur ajustement matrimonial. Quatre-vingts couples sans problèmes de fertilité connus (NC), 80 couples ayant un diagnostice de problèmes d’infertilité et suivant un traitement médical (IG), et 40 couples diagnostiqués infertiles, candidats à l’adoption (AG), ont complété les instruments d’évaluation suivants : échelle de dépression de Beck, Depression Inventory, Coping Styles Questionnaire, Others As Shamer, Experience of Shame Scale, Acceptance and Action Questionnaire, Self Compassion Scale, Intimacy Dimensions, Female Sexual Function Index, International Index of Erectile Function, et Dyadic Adjustment Scale. Les résultats ont montré que les couples du groupe IG ont eu des scores plus élevés que les couples des groupes NC et AG, concernant les mesures de la dépression et de la honte externe et interne. Les couples du groupe IG ont présenté des scores plus élevés dans les modes de coping évitants et émotionnels tandis que le groupe AG a montré un coping détaché et rationnel peu élevé. Concernant l’acceptation et l’autocompassion, les couples du groupe IG ont montré des scores plus bas. Ils ont aussi montré de plus hauts scores concernant l’intimité que le groupe NC. L’ajustement dyadique était plus haut pour le groupe AG. Ces couples ont eu des scores plus élevés que les NC mais aucune différence n’a été trouvée entre eux et le groupe IG. Aucune différence entre les groupes n’a été trouvée en termes de fonctionnement sexuel. Les sujets avec un diagnostic d’infertilité ont montré des scores significativement supérieurs dans les mesures psychopathologiques et des scores significativement inférieurs dans les mesures de fonctionnement psychologique plus positif/protecteur. Les sujets infertiles ont présenté des scores plus élevés que les sujets normaux du groupe témoin concernant l’intimité, ce qui suggère que l’infertilité peut être un facteur de cohésion du couple (par exemple pendant le traitement médical). Contrairement à ce qui est mentionné en littérature, il n’y avait pas de différences significatives dans le fonctionnement sexuel entre les groupes. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2011
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6. The impact of infertility and its treatment on sexual life and marital relationships: review of the literature
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Coëffin-Driol, C. and Giami, A.
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- *
INFERTILITY , *HUMAN sexuality , *COUPLES , *MARITAL adjustment , *GENDER - Abstract
This paper reviews the literature on the psychosocial impact of infertility and its treatments by the ART on the marital sexuality, by paying special attention to the relationship between gender and the infertility experience. It is convenient to divide this literature into articles that explore the sexual life of the infertile couples on the one hand, and those focusing on the couple relationship — marital satisfaction and marital adjustment—, on the other hand. The literature on the infertile couples’ sexuality and sexual satisfaction, mostly descriptive, presents infertility as a deleterious experience for both women and men even if the repercussion differ according to gender, with correlative dynamic effects within the couple. The contributions to the investigation of the couple relationship, mostly quantitative Anglo-Saxon studies, have produced equivocal or contradictory results concerning the satisfaction with the relationship, the closeness between the two partners so that it is difficult to assume a trend in this field. This situation is largely due to the problems of sampling. In this view, future research should perform its methodological apparatus to take into account the processual nature of the infertility experience, at both levels of couple history and its involvement in the ART process. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2004
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7. Comparaison de différents traitements psychologiques dans l'endométriose
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Marquis, Rachel and Earls, Christopher M.
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endometriosis ,anxiété ,psychological treatment ,qualité de vie ,cognitif-behavioral ,traitements psychologiques ,anxiety ,marital adjustment ,cognitive-behavioural ,endométriose ,dépression ,stress ,relation maritale ,quality of life ,depression ,hypnosis ,douleur ,pain ,hypnose - Abstract
Cette thèse avait pour but premier d’évaluer la douleur chronique endométriosique et ses concomitants (dépression, anxiété et stress), les conséquences de la douleur sur le physique, les activités et le travail, sur la relation maritale et les séquelles sur la qualité de vie chez des participantes souffrant de douleurs pelviennes chroniques diagnostiquées endométriose (laparoscopie). En deuxième lieu, il s’agissait d’évaluer et de comparer l’efficacité des techniques psychologiques de contrôle de la douleur (Hypnose, Cognitif-behavioral) en ajout aux traitements médicaux à un groupe contrôle (Attention thérapeute). L’échantillon était composé de 60 femmes réparties aléatoirement soit à l’un des deux groupes de traitement ou au groupe contrôle. Les instruments de mesure étaient tous des questionnaires déjà traduits en français et validés pour la population francophone québécoise. Des tests du khi-carré ont été effectués pour les variables nominales et des analyses de variances (ANOVA) ont été faites pour les variables continues. Dans des modèles ANOVA estimant l’effet du traitement, du temps et de leur interaction, une différence significative (effet de Groupe ou traitement) a été trouvée pour les variables suivantes : Douleur (McGill :composante évaluative p = 0.02), au moment « présent » de l’Échelle visuelle analogique (EVA, p = 0.05) et dans l’Échelle de Qualité de vie (douleur, p = 0,03) ainsi qu’à la dimension Fonctionnement social de cette dernière échelle (SF-36; p = 0,04). En comparant les données en pré et post-traitement, des résultats significatifs au niveau du Temps ont aussi été mis en évidence pour les variables suivantes : Douleur McGill: Score total, (p = 0,03), Affective (p = 0,04), Évaluative (p = 0,01); Douleur (ÉVA) moment Fort (p < 0,0005), Dépression (p = 0,005), Anxiété (situationnelle/état (p = 0,002), Anxiété/trait (p < 0,001), Stress (p = 0, 003) ainsi que pour quatre composantes de la Qualité de vie (Fonctionnement social, (p = 0,05), Vitalité (p = 0,002), Douleur, (p = 0,003) et Changement de la santé (p < 0,001) et ceci pour les trois groupes à l’exception du groupe Hypnose sur cette dernière variable. Des effets d’Interaction (Groupe X Temps) sont ressortis sur les variables « Conséquences physiques » de la douleur mais sur la dimension « Activités » seulement (p = 0,02), sur l’anxiété situationnelle (État : p = 0,007). Un effet d’interaction se rapprochant de la signification (p = 0,08) a aussi été analysé pour la variable Fonctionnement social (SF-36). L’étude montre une légère supériorité quant au traitement Cognitif-behavioral pour l’anxiété situationnelle, pour le Fonctionnement social et pour la douleur mesurée par le SF-36. L’étude présente des forces (groupe homogène, essai clinique prospectif, répartition aléatoire des participantes et groupe contrôle) mais aussi des lacunes (faible échantillon et biais potentiels reliés à l’expérimentateur et à l’effet placebo). Toute future étude devrait tenir compte de biais potentiels quant au nombre d’expérimentateur et inclure un groupe placebo spécifique aux études à caractère psychologique. Une future étude devrait évaluer le schème cognitif « catastrophisation » impliqué dans la douleur, les traits de personnalité des participantes ainsi que le rôle du conjoint. De plus, des techniques psychologiques (entrevues motivationnelles) récentes utilisées dans plusieurs études devraient aussi être prises en considérations. Tout de même des résultats significatifs offrent des pistes intéressantes pour un essai clinique comportant un échantillon plus élevé et pour un suivi à long terme., The goal of the study was twofold. The first objective was to assess chronic endometriotic pain and its psychological dimensions (depression, anxiety, stress), and the consequences on the marital adjustment, and quality of life on women diagnosed with endometriosis by laparoscopy. The second objective was to compare two psychological treatments with a control group (no active treatment). Sixty women were randomly assigned to one of the treatment groups (Hypnosis, Cognitive-behavioural) or to the control group (Therapist Attention). All measures were valid and the French translation had been adapted for the Quebec population. The statistical analysis were the Chi-square for nominal measures and ANOVAS for the continuous variables. ANOVAS’s model estimate Treatment effect, Time effect and Interaction Group X Time. Both interventions (Group effect) were significantly positive for the pain dimension on the McGill questionnaire but on the Evaluative dimension only (p = 0,02), pain on “present” time on the Visual Analogue Scale (VAS, p = 0,05), pain in the Quality of life scale (SF-36, p = 0,03), and on Social functioning dimension measured by SF-36 (p = 0,04). When comparing data following treatment (post-treatment) with the baseline measures (pre-testing), Time effect occurred for the three groups on following variables: pain (McGill): Total score (p = 0, 03), Affective (p = 0, 04), Evaluative (p = 0,01), pain measured by a Visual analogue scale (VAS) at the Highest level (p < 0,0005), on Depression (p = 0,005), for State anxiety (p = 0,002), and Trait Anxiety (p < 0,001), on Stress (p = 0,003), and on four dimensions on the Quality of Life’s scale (SF-36): Social functioning (p = 0, 05), Vitality (p = 0,002), Pain (p = 0,003), and Health change (p < 0,001) where the group Hypnosis seems to do better for the last variable. Interaction effect (Group X Time) were statistically significant for dimension Activities in the Physical pain (SF-36, p = 0,02), and on State Anxiety (p = 0,007). Interaction effect close to statistically significant results (p = 0,08) on Social functioning (SF-36) has also been analyze. In this study, all group showed a comparable reduction of pain at the end of treatment, and an increase level of activities in the Cognitive-behavioural group. For the secondary variables the statistical results went in the same direction as the primary variable (pain). The level of depression, anxiety, and stress decreased with time for all groups. The study also showed a mild superiority of the Cognitive-behavioural treatment on State anxiety, Social functioning, and on Pain measured by the SF-36. Statistical analysis didn’t show any change for the marital situation. Quality of life showed positive results on four scales only (social functioning, vitality, pain and perception change in health). The study presents strengths (homogenous group, prospective study, control group and randomisation) and some weaknesses (small number of participants, potential bias with one interviewer, and absence of placebo group). Even so, statistically significant results emerge and are promising for new studies with a higher number of subjects. We also recommend a long time follow-up. Future studies should take into account a distorted cognitive schema (catastrophization), personality traits well documented in chronic pain syndrome, and spouse’s role. We also recommend the use of “Motivational Interview” recently described in the literature.
- Published
- 2011
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