6 results on '"Juillot F"'
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2. Mécafloc (mécanisme de sédimentation)
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Meyer, M., Metayer, C., Juillot, F., and BUNC, Pole ID
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[SDE] Environmental Sciences - Published
- 2019
3. Accumulation et transfert de Ni, Cr, Co, Mn et Fe dans des organismes d'eau douce prélevés en rivière sous influence minière (Mont Koniambo, Nouvelle Calédonie)
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Magalie Baudrimont, Dominique, Y., Gunkel-Grillon, P., Juillot, F., Bellec, J., Maury-Brachet, R., Gonzalez, P., Gourves, P., Feurtet-Mazel, A., Institut de sciences exactes et appliquées (ISEA), Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC), and BUNC, Pole ID
- Subjects
[SDV] Life Sciences [q-bio] ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,[SDU.STU] Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences ,[SDU.STU]Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS - Abstract
International audience
- Published
- 2018
4. Les gisements de nickel latéritiques de Nouvelle-Calédonie : les oxydes de manganèse associés aux latérites de transition (rapport scientifique, 2016)
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Ploquin, Florian, Fritsch, Emmanuel, Juillot, F., HydrASA (Hydrogéologie, argiles, sols et altérations), Université de Poitiers-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut de minéralogie, de physique des matériaux et de cosmochimie (IMPMC), Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)-Institut de recherche pour le développement [IRD] : UR206-Sorbonne Université (SU)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut de recherche pour le développement [IRD] : UR206-Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), and CNRT 'Nickel et son environnement'
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Lithiophorite ,Birnessite ,Nickel ,Asbolane ,Cobalt ,Latérite ,Nouvelle-Calédonie ,[SDE.BE]Environmental Sciences/Biodiversity and Ecology ,[SDU.STU.AG]Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Applied geology ,Phyllomanganates - Abstract
Considérée comme l’une des premières réserves mondiales de Ni-Co (Elias 2001, Dalvi et al. 2004), la Nouvelle-Calédonie exploite et traite enpyrométallurgie des minerais silicatés à une teneur de coupure supérieure à 2,5 % Ni-Co. Ces minerais silicatés, communément qualifiés de "mineraisgarniéritiques" par les mineurs, sont exploités dans les épais niveaux d’altération (saprolite) des péridotites. L’exploitation de ces minerais, initiée en 1880par la "Société Le Nickel" (SLN), a été accrue en 2013 par la mise en service de la nouvelle usine de la Province Nord par "Koniambo Nickel Society"(KNS).Le développement de nouveaux procédés hydrométallurgiques a permis d’augmenter les ressources en nickel de la Nouvelle-Calédonie et d’envisagerl’exploitation des minerais oxydés situés dans les niveaux supérieurs des profils d’altération (latérites sensu stricto). Ces niveaux constituéspresqu’exclusivement d’oxyhydroxydes de fer, et plus localement d’oxydes de manganèse, présentent des teneurs en Ni-Co plus faibles (< 2,2 %) et nesont exploités de nos jours qu’à une teneur de coupure généralement supérieure à 0,9 %. L’usine hydrométallurgique de la Province Sud de la compagnieminière VALE a ouvert de nouvelles perspectives pour l’exploitation des immenses gisements en minerais oxydés des plaines du Massif du Sud et à pluslongs termes de ceux de l’ensemble du pays.Selon les estimations actuelles (Mudd & Jowitt 2014), la Nouvelle-Calédonie disposerait de plus de 25 % des ressources en nickel de la planète et environ40 % des ressources mondiales en minerais oxydés. L’augmentation de la ressource et de la capacité du pays à traiter ces deux types de minerais(silicatés et oxydés) ont amené le "CNRT Nickel et son environnement" à lancer en 2009 un appel à projet de recherche sur les "Facteurs de minéralisationNi/Co des latérites de Nouvelle-Calédonie". Cet appel visait à obtenir une meilleure connaissance des processus et facteurs environnementaux à l’originede l’enrichissement en Ni et Co des minerais oxydés destinés au traitement hydrométallurgique.Pour atteindre ces objectifs, deux projets ont été retenus et financés dans le cadre de cet appel d’offre, "Analyse fine de minerais latéritiques" et "Nickal".Ces deux projets ont entre autres cherché à obtenir une meilleure caractérisation des phases minérales porteuses de métaux d’intérêt économique (plusparticulièrement de Ni et Co) et des structures dans lesquelles ces phases sont susceptibles d’être observées sur le terrain (Bailly et al. 2014 ; Fritsch et al.2015). Ces types de données récoltées dans le cadre des deux projets précités ont permis d’élaborer cet atlas.
- Published
- 2016
5. Analyse fine des minerais latéritiques : approches pétrographique, minéralogique, géochimique et isotopique. Les gisements de nickel latéritique de Nouvelle-Calédonie, volume III
- Author
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Fritsch, Emmanuel, Juillot, F., Dublet, Gabrielle, Fandeur, D., Fonteneau, L., Martin, É., Auzende, A.-L., Morin, G., Robert, Jean-Louis, Galoisy, L., Calas, G., Grauby, O., Boulvais, Ph., Cathelineau, M., Caner, L., Beaufort, D., Petit, Sabine, Institut de Recherche pour le Développement (IRD [Nouvelle-Calédonie]), Institut de minéralogie et de physique des milieux condensés (IMPMC), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-IPG PARIS-Université Paris Diderot - Paris 7 (UPD7)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut de Physique du Globe de Paris (IPGP), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-IPG PARIS-Université Paris Diderot - Paris 7 (UPD7)-Université de La Réunion (UR)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut des Sciences de la Terre d'Orléans (ISTO), Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université d'Orléans (UO)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut de minéralogie, de physique des matériaux et de cosmochimie (IMPMC), Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut de recherche pour le développement [IRD] : UR206-Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), GeoRessources, Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre de recherches sur la géologie des matières premières minérales et énergétiques (CREGU)-Université de Lorraine (UL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut de Chimie des Milieux et Matériaux de Poitiers (IC2MP), Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université de Poitiers-Institut de Chimie du CNRS (INC), CNRT Nickel et son environnement, Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Université Paris Diderot - Paris 7 (UPD7)-Institut de Physique du Globe de Paris (IPG Paris)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université Paris Diderot - Paris 7 (UPD7)-Université de La Réunion (UR)-Institut de Physique du Globe de Paris (IPG Paris)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)-Université Pierre et Marie Curie - Paris 6 (UPMC)-Institut de recherche pour le développement [IRD] : UR206-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), and Université de Poitiers-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
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Saprolite ,Altération ,[SDU.STU.PE]Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Petrography ,Cobalt ,Nouvelle-Calédonie ,Nickel ,[SDU.STU.GC]Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Geochemistry ,Garniérite ,Goethite ,Latérite ,[SDU.STU.AG]Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Applied geology ,Dissolution ,Phyllomanganate ,[SDU.STU.MI]Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Mineralogy - Abstract
Les objectifs du projet « Analyse fine de minerais latéritiques : Approche pétrographique,minéralogique, géochimique et isotopique» étaient de (i) révéler les changements despéciation de Ni et Co au cours du développement des profils d’altération latéritique surpéridotites, (ii) mieux caractériser les amas minéralisés Mg/Ni à phyllosilicates et Ni/Co àphyllomanganates susceptibles d’enrichir les unités latéritiques de ces profils d’altération, (iii)révéler les conditions de formation et les processus associés à la mise en place de ces amasminéralisés et des niveaux latéritiques qui les portent (élaboration de modèles de mise enplace des minerais latéritiques) et (iv) révéler les facteurs et processus propices à laconcentration et dispersion des éléments métalliques (transferts de matière et bilans demasse). Pour atteindre ces objectifs, nous avons couplé des observations de terrain à desanalyses pétrographiques (microscopies optique et électronique à balayage sur lamesminces et microscopie électronique en transmission sur coupes ultraminces), physicochimiques(ICP-AES et thermogravimétrie sur micro-prélèvements, microsonde électroniquesur lames minces), minéralogiques (diffraction de rayons X et affinement Rietveld surpoudres) et de la spectroscopie du solide (spectroscopie Raman et spectroscopied'absorption des rayons X sur rayonnement synchrotron - EXAFS). Cette caractérisationdétaillée des phases porteuses de Ni/Co (phyllosilicates, oxydes de Fe et Mn) et l’évaluationde leurs contributions respectives au piégeage de ces éléments métalliques d’intérêtéconomique constituent l’un des aspects originaux de ce projet.Sur les trois grands types de minerais répertoriés dans le monde pour les latéritesnickélifères, deux sont particulièrement abondants en Nouvelle-Calédonie : (i) les mineraissilicatés Mg/Ni à deweylite et garniérite et (ii) les minerais oxydés à oxydes de fer. Ces deuxtypes de minerais sont directement superposés, respectivement dans les niveauxsaprolitiques et latéritiques des couvertures d’altération. Ils sont tous les deux associés à desenvironnements bien drainés qui sont dominants dans les massifs péridotitiques de laNouvelle-Calédonie (systèmes assimilés à des karsts à nappe phréatique profonde et àdrainages latéraux). Ces environnements s’observent à la fois dans des compartimentssurbaissés et incisés du massif du Sud (pénéplaines de la région de Goro et de la plaine deslacs) et dans des compartiments surélevés (massifs ou klippes) de la partie centrale et Nordde l’île. Le troisième type de minerais est un minerai silicaté à smectites ferrifères,généralement observé à la base des profils d’altération dans des environnements moins biendrainés. Du fait de sa faible représentativité et du temps imparti, ce troisième type de minerain’a pas été étudié dans le cadre de notre projet.L’ensemble des résultats obtenus dans le cadre des travaux réalisés sur nos sites d’étudesnous permet de proposer un modèle en deux grandes étapes pour l’altération de la masseophiolitique et la mise en place des amas minéralisés à Ni/Co. La première étape estassociée à une altération précoce du réseau majeur de fractures serpentinisées despéridotites lors d’épisodes tectoniques post-obduction. Cette altération, qui s’estprobablement déroulée en contexte hydrothermal de basse température, est à l’origine de lamise en place des amas minéralisés à Ni/Co dans la saprolite. La seconde étape estattribuée à une altération massive de la masse ophiolitique qui s’est propagéepréférentiellement depuis les zones intensément fracturées et minéralisées de l’ophiolite versla péridotite encaissante. Cette altération supergène (latéritisation), et donc probablementtoujours active, débute aux interfaces entre les veines serpentinisées et minéralisées et lescorps péridotitiques. Elle préserve, dans un premier temps, les réseaux de fracturationmajeurs portant les veines serpentinisées et minéralisées en se propageantpréférentiellement dans les corps péridotitiques encaissants. Cette évolution différentiellecontribue à une altération en boule qui peut être observée dans la plupart des massifsprospectés. Cette altération différentielle explique également la préservation des passéesserpentinisées et minéralisées portant les minéraux silicatés Mg/Ni et les veines siliceuses àla base des profils d’altération, puis leur altération et démantèlement dans les niveauxlatéritiques sus-jacents du fait de l’intensification des processus de latéritisation. Ce modèled’altération en deux grandes étapes suggère ainsi que ce sont les minéralisations silicatéesMg/Ni (et principalement le pôle garniéritique) qui « nourrissent» les latérites et non lecontraire comme cela est généralement proposé dans la littérature.Nos résultats nous permettent également de proposer trois principales voies susceptiblesd’expliquer la variabilité des concentrations en Ni/Co de la partie supérieure des profilsd’altération. Ces trois voies et l’identification des faciès d’altération correspondants (cfannexe I) pourraient servir de guides utiles à la prospection et l’exploration rationnelle desminerais latéritiques du Territoire.La première voie, implicitement admise par les mineurs, attribue un rôle déterminant auxprincipaux réseaux de fracturation des massifs et aux minéralisations qui leur sont associéesdans l’accumulation d’éléments métalliques (principalement Ni, Mn et Co) au sein desformations latéritiques qui les surmontent. Cette voie attribue ainsi une relation de cause àeffet entre ces minéralisations primaires (phyllosilicates Mg/Ni et faciès rubanés de certainsoxydes de Mn) et les amas minéralisés des latérites constitués majoritairement d’oxydes deFe (goethite pour l’essentiel) et dans une moindre mesure d’oxydes de Mn (primaires etsecondaires). Les minéralisations Mg/Ni sont principalement attribuées à des silicateshydratés et mal cristallisés de la famille des serpentines, talcs et sepiolites qui se seraientmis en place lors d’épisodes tectoniques post-obduction. Ces minéralisations se retrouventsous forme de résidus à la base des latérites et à l’aplomb des zones de fracturation (dansles latérites de transition). Les minéralisations Ni/Co, qui se maintiennent plus haut dans lesprofils d’altération, sont majoritairement attribuées à des phyllomanganates de la famille desasbolanes, lithiophorites et birnessites. Les résultats de nos travaux tendent à relier cesminéralisations Ni/Co à des épisodes hydrothermaux de basse température générés lors del’exhumation et du démantèlement de la masse ophiolitique, ainsi qu’à des écoulementsmétéoriques concentrés dans le réseau de fracturation généré par l’activité tectonique.La seconde voie attribue un rôle primordial, et largement admis, à l’altération latéritique dansl’accumulation résiduelle des éléments métalliques (principalement Ni, Mn et Co) parexportation massive de Mg et Si. Cette voie nous a amenés, d’une part, à corréler ces pertesde matières à des changements de spéciation des éléments métalliques (étape achevéepour Ni et toujours en cours pour Co et Mn), et d’autre part, à relier ces derniers à la mise enplace des principaux niveaux latéritiques. Ainsi, l’altération préférentielle des silicates (olivineet pyroxène) des péridotites, puis des phyllosilicates (serpentines et phyllosilicates Mg/Ni)des fractures minéralisées, et leur remplacement par des oxydes de fer mal cristallisés(essentiellement de la goethite) sont amorcés dans les niveaux saprolitiques, s’amplifientgrandement dans les latérites de transition et deviennent pratiquement total dans les latéritesjaunes, puis rouges, qui les surmontent. Les latérites de transition contiennent, de ce fait, lesrésidus des minéralisations primaires qui nourrissent les minéralisations nickélifères àgoethite. Malgré un tassement du sol, la géométrie de ces latérites de transition, très variabled’un site à l’autre, est dépendante de l’importance des structures qui ont concentré lesminéralisations primaires à phyllosilicates. Les phyllomanganates, qui constituent un secondporteur important de Ni (et le premier de Co), se retrouvent plus haut dans les profils et enconcentrations plus variables dans les séquences d’altération (plus précisément dans leslatérites de transition et latérites jaunes sus-jacentes).La troisième voie, enfin, relie des mécanismes de dissolution/recristallisation des oxydes deFe et de Mn à la remobilisation de Ni et Co et à l’épuisement des minerais latéritiques dansla partie supérieure des profils d’altération. Ces mécanismes s’amorcent à différentesprofondeurs suivant la nature des oxydes considérés. Ils débutent à la base des latéritesjaunes pour les oxydes de Fe (goethite) et entrainent l’expulsion progressive du nickel de lastructure de ces minéraux. En s’accentuant vers la surface, cette expulsion s’accompagned’un tassement et d’une induration des matériaux dans les latérites rouges et les niveauxsupérieurs indurés à pisolites et à cuirasses. A l’inverse, la dissolution des oxydes de Mnn’est significative que dans la partie supérieure des latérites jaunes et des latérites rouges etindurées sus-jacentes. Cette dissolution nourrit plus en profondeur de nouvelles générationsd’oxydes de Mn, probablement à la faveur de processus redox (ré humectation saisonnièredes latérites, présence de nappes perchées temporaires, …) qui restent à préciser.
- Published
- 2016
6. Actes des 9èmes journées nationales de l'étude des sols
- Author
-
Fandeur, D., Juillot, F., Fritsch, Emmanuel, Ambrosi, Jean-Paul, Fialin, M., Couffignal, F., Olivi, L., Cognigni, A., and Rossignol, J.P. (ed.)
- Subjects
SOL ,ALTERATION ,PERIDOTITE ,ANALYSE CHIMIQUE ,SPECTROSCOPIE ,CHROME ,OPHIOLITE ,ANALYSE MINERALOGIQUE ,ROCHE ULTRABASIQUE ,ROCHE MERE DU SOL - Published
- 2007
Catalog
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