21 results on '"Jacques Mairesse"'
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2. Productivité et innovations de procédé et de produit dans les entreprises industrielles et de services
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Jacques Mairesse and Stéphane Robin
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Classification JEL O31 - O33 - L23 - C31 ,innovation et productivité ,fonction de production de connaissances ,innovation de procédé ,innovation de produit ,R & D ,Business and International Management ,product innovation ,JEL classification O31 - O33 - L23 - C31 ,innovation and productivity ,knowledge production function ,process innovation ,General Economics, Econometrics and Finance - Abstract
We examine the effect of innovation on productivity in France using a multiple-equation model that accounts for R & D and for product and process innovation, and that controls for selection and endogeneity biases. We estimate the model on CIS3 and CIS4 data using two distinct procedures. Process innovation is the main driver of productivity in manufacturing, but our results are less reliable in services. Sensitivity analyses suggest that both our innovation indicators tend to measure overall innovation only. Using a single indicator, we find a positive effect of innovation in all industries and periods. We conclude with some cautionary words on the measurement of product and process innovation and the joint modelling of their impact on productivity., Nous mesurons l’effet de l’innovation sur la productivité en France, avec un modèle à équations multiples prenant en compte différentes formes d’innovation et contrôlant pour la sélection et l’endogénéité. Nous estimons ce modèle sur les données des enquêtes CIS3 et CIS4, à l'aide de deux procédures distinctes. Dans l’industrie, l’innovation de procédé apparaît comme le principal déterminant de la productivité. Dans les services, nos estimations ne conduisent pas à une conclusion tranchée. Des analyses de sensibilité suggèrent que nos indicateurs mesurent l’innovation “ en général ”. En utilisant un indicateur unique, nous trouvons systématiquement un effet positif de l'innovation. Nous concluons en incitant à la prudence quant à la mesure de l’innovation de produit et de procédé et quant à la modélisation jointe de leurs impacts sur la productivité des entreprises., Robin Stéphane, Mairesse Jacques. Productivité et innovations de procédé et de produit dans les entreprises industrielles et de services . In: Économie & prévision, n°197-198, 2011-1-2. pp. 21-44.
- Published
- 2011
3. Diffusion des TIC et croissance potentielle
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Yusuf Kocoglu, Gilbert Cette, Jacques Mairesse, Centre de recherche de la Banque de France, Banque de France, Centre de Recherche en Économie et Statistique (CREST), Ecole Nationale de la Statistique et de l'Analyse de l'Information [Bruz] (ENSAI)-École polytechnique (X)-École Nationale de la Statistique et de l'Administration Économique (ENSAE Paris)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Laboratoire d'Économie Appliquée au Développement (LEAD), and Université de Toulon (UTLN)
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TIC ,0502 economics and business ,05 social sciences ,Political Science and International Relations ,050207 economics ,growth, potential growth, ICT, investment, new economy ,[SHS.ECO]Humanities and Social Sciences/Economics and Finance ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,050205 econometrics - Abstract
L’emergence et la diffusion des technologies de l’information et de la communication (TIC) amenent une augmentation durable des gains de productivite, entretenue par l’amelioration continue et rapide des performances de ces produits. Cette augmentation est de nature a elever le rythme de la croissance potentielle, durablement via les effets de substitution capital-travail (capital deepening) et les gains de productivite globale des facteurs (PGF), et plus transitoirement du fait de l’ajustement retarde des salaires sur les gains de productivite. L’evaluation empirique des deux types d’effets de la diffusion des TIC sur l’offre potentielle (par rapport a une situation theorique extreme sans TIC) est inevitablement tres fragile. Cependant, les ordres de grandeur auxquels aboutissent les elements de chiffrages presentes montrent que l’effet de moyen-long terme pourrait etre important : la croissance potentielle annuelle serait acceleree d’environ deux points aux Etats-Unis et de un point en France. L’existence d’un effet transitoire de court-moyen terme, souvent evoque dans la litterature, semble empiriquement dementie.
- Published
- 2004
4. Croissance économique et diffusion des TIC : le cas de la France sur longue période (1980-2000)
- Author
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Gilbert Cette, Yusuf Kocoglu, Jacques Mairesse, Centre de recherche de la Banque de France, Banque de France, Centre de Recherche en Économie et Statistique (CREST), Ecole Nationale de la Statistique et de l'Analyse de l'Information [Bruz] (ENSAI)-École polytechnique (X)-École Nationale de la Statistique et de l'Administration Économique (ENSAE Paris)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Laboratoire d'Économie Appliquée au Développement (LEAD), and Université de Toulon (UTLN)
- Subjects
Croissance economique ,technolologie de l’information et de la communication ,jel:O41 ,050208 finance ,0502 economics and business ,05 social sciences ,8. Economic growth ,jel:O33 ,General Earth and Planetary Sciences ,050207 economics ,[SHS.ECO]Humanities and Social Sciences/Economics and Finance ,TIC Technologie de l'Information et de la Communication ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,General Environmental Science - Abstract
The contribution of information and communication technology (ICT) to GDP growth and labour productivity growth in France is estimated to lie between 0.2 % and 0.3 % per year over the entire 1980-2000 period. According to our estimates, it increased sharply in the second half of the 1990s, in sync with the rise in the contribution of total factor productivity (TFP). The contribution of ICT was twice as strong in the service sector than in industry. Total factor productivity was much higher in the ICT-producing sectors than in those using it. Our estimates show that, in qualitative terms, productivity gains in Europe are close to those in the US, where the quantitative contribution appears nevertheless much stronger., Croissance économique et diffusion des TIC : le cas de la France sur longue période (1980-2000) La contribution des technologies de l'information et de la communication (TIC) à la croissance du PIB et de la productivité du travail serait en France de l'ordre de 0,2 à 0,3 % par an sur l'ensemble de la période 1980- 2000. Elle aurait connu une forte augmentation sur la seconde moitié des années 1990, en même temps que la contribution de la productivité globale des facteurs. Cette contribution des TIC serait deux fois plus forte dans les activités de services que dans l'industrie. La productivité globale des facteurs (PGF) a été beaucoup plus importante dans les activités productrices de TIC que dans les activités utilisatrices. Nos évaluations aboutissent à des enseignements qualitativement proches de ceux concernant les Etats-Unis où la contribution des TIC parait cependant quantitativement beaucoup plus forte., Cette Gilbert, Mairesse Jacques, Kocoglu Yusuf. Croissance économique et diffusion des TIC : le cas de la France sur longue période (1980-2000). In: Revue française d'économie, volume 16, n°3, 2002. pp. 155-192.
- Published
- 2002
5. Les débuts de l'Internet pour les petites entreprises industrielles. Se connecter ou pas ?
- Author
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Jacques Mairesse and Jean-Philippe Lesne
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jel:D83 ,jel:C35 ,jel:D89 ,jel:C33 ,jel:D21 ,General Economics, Econometrics and Finance - Abstract
The beginnings of Internet for the small French Manufacturing firms : to connect or not to connect? This article describes some of the main characteristics of the small French Manufacturing firms which were the first to connect to the Internet. It shows that these firms are in general more innovative, that their production process is more computer intensive, and that they are more concerned with product quality. Much before deciding to connect to Internet, they were in average more productive and had a work force which was higher-skilled. The fact of being a subsidiary of a group has also a an important positive impact on the probability to be connected, while the fact of having a young firm manager as a positive impact which is rather weak, even if statistically significant., Cet article décrit les caractéristiques principales des petites entreprises industrielles françaises qui ont choisi les premières de se connecter à l'Internet. Il montre que ces entreprises sont en général plus innovantes, qu'elles font un usage plus important de l'informatique dans leur processus de production, et qu'elles bénéficient d'une certification ISO. Bien avant de choisir de se connecter à Internet, elles étaient aussi en moyenne déjà plus productives et avaient une main-d'œuvre plus qualifiée. Il apparaît également que le fait pour une entreprise d'être une filiale d'un groupe a un effet positif important sur sa probabilité d'être connectée, tandis que le fait d'avoir un chef d'entreprise jeune a un effet positif assez faible, même s'il est statistiquement significatif., Mairesse Jacques, Lesne Jean-Philippe. Les débuts de l'Internet pour les petites entreprises industrielles. Se connecter ou pas ?. In: Revue économique. Numéro Hors Série, 2001. Economie de l'Internet. pp. 235-247.
- Published
- 2001
6. La mesure de l'investissement en technologies de l'information et de la communication : quelques considérations méthodologiques
- Author
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Gilbert Cette, Jacques Mairesse, and Yussuf Kocoglu
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Statistics and Probability ,Economics and Econometrics ,Sociology and Political Science - Abstract
In den letzten dreißig Jahren sind die Informations-und Kommunikationstechnologien (IKT) zu einem sehr wichtigen Wachstumsfaktor in den entwickelten Volkswirtschaften geworden. Quantitativ lässt sich ihre Verbreitung allerdings nicht leicht bewerten. In diesem Artikel sollen auf der Grundlage der Schätzungen ihres Beitrags zum Wachstum einige der methodologischen Hauptprobleme beschrieben werden, die bei der Messung der IKT-Verbreitung auftreten. Untersucht werden drei Produkte, die diese Technologien im Wesentlichen verkörpern: EDV-Geräte, Software und Kommunikationsausstattung. Probleme treten vor allem bei der Messung der wertmäßigen Investitionen in diese Produkte und bei deren volumen-und preismäßigen Unterscheidung auf. Die Konventionen und die Methoden, die zur Lösung dieser Probleme gewählt werden, haben einen starken Einfluss auf die Diagnosen, die im Hinblick auf den Beitrag der IKT zum Wachstum, die Entwicklung der Produktivität in der gesamten Wirtschaft, aber auch die sektorielle Verteilung der Produktivitätsgewinne erstellt werden können. Davon betroffen sind mehrere Elemente zur Bewertung des Wachstums und seiner Quellen, aber auch andere Aspekte. Da die Produkte steuerlich zu ihren historischen Preisen abgeschrieben werden, führt beispielsweise der starke Preisverfall bei EDV-Geräten zu einer Differenz zwischen der offensichtlichen Nettofinanzlage und der realen Finanzlage der Unternehmen. Letztere wird dadurch zu niedrig angesetzt; ein Effekt, der zu demjenigen, der den anderen Investitionsgütern gewöhnlich nachgesagt wird, im Gegensatz steht., Over the last thirty years, information and communication technologies (ICT) have become a very important factor in the growth of developed economies. Yet it is not easy to quantitatively evaluate how they have spread. This paper sets out to describe some of the main methodological problems raised when measuring the spread of ICTs, starting with estimates of their contribution to growth. We consider three products comprising essentially these technologies: computer hardware, software and communication equipment. The greatest problems encountered concern measuring the values invested in these products and the breakdown of these values by volume and price. The conventions and methods used to solve these problems strongly influence the possible analyses of the contribution of ICTs to growth, changes in the productivity of the economy as a whole, and the sector-based classification of productivity gains. This in turn affects a number of elements for assessing growth and its sources, as well as other aspects. For example, tax depreciation methods based on past costs mean that the sharp drop in IT equipment prices creates a deviation between firms’ apparent and real net financial positions. Their real financial position is hence underestimated, contrary to the effect normally ascribed to other capital goods., Les technologies de l'information et de la communication (TIC) sont devenues, au cours des trente dernières années, un facteur très important de la croissance des économies développées. Mais l’évaluation quantitative de leur diffusion n’est pas simple. On s’attache dans ce qui suit à décrire quelques-uns des principaux problèmes de méthode soulevés par la mesure de la diffusion des TIC, et partant par les estimations de leur contribution à la croissance. Trois produits qui incorporent principalement ces technologies sont considérés: les matériels informatiques, les logiciels et les matériels de communication. Parmi les problèmes rencontrés, ceux de la mesure de l’investissement en valeur pour ces produits et du partage de ces valeurs en volume et en prix se posent tout particulièrement. Les conventions et les méthodes retenues pour apporter des solutions à ces problèmes influencent fortement les diagnostics qui peuvent être posés sur la contribution des TIC à la croissance et les évolutions de la productivité au niveau de l’économie dans son ensemble, mais aussi sur la localisation sectorielle des gains de productivité. Plusieurs éléments d’appréciation de la croissance et de ses sources, mais aussi d’autres aspects, en sont ainsi affectés. Par exemple, compte tenu des modalités d’amortissement fiscal aux coûts historiques, la forte baisse des prix des matériels informatiques introduit un écart entre les situations financières nettes apparente et réelle des entreprises; cette dernière s’en trouve sous-estimée, effet contraire à celui prêté d’ordinaire aux autres biens d’investissement., Las tecnologías de la información y de la comunicación (TIC) se han convertido, en los últimos treinta años, en un factor muy importante del crecimiento de las economías desarrolladas. Pero la evaluación cuantitativa de su difusión no es simple. Tratamos a continuación de describir algunos de los principales problemas de método planteados por la medición de la difusión de las TIC, y por la valoración de su contribución al crecimiento. Consideramos aquí tres productos que incorporan principalmente estas tecnologías: los materiales informáticos, los software y los materiales de comunicación. Entre los problemas encontrados, los de la medición de la inversión en valor para estos productos y del reparto de estos valores en volumen y en precio se plantean de manera acuciante. Las convenciones y los métodos escogidos para la resolución de estos problemas influyen mucho en los diagnósticos que se hagan sobre la contribución de las TIC al crecimiento, las evoluciones de la productividad a nivel del conjunto de la economía, pero también sobre la localización sectorial de las ganancias de productividad. Afectan igualmente a varios elementos de apreciación del crecimiento y sus fuentes, y también a otros aspectos. Por ejemplo, teniendo en cuenta las modalidades de amortización fiscal a los costes históricos, la fuerte bajada de los precios de los materiales informáticos introduce una diferencia entre las situaciones financieras netas aparente y real de las empresas: de hecho se infravalora ésta, al contrario de lo que ocurre con otros bienes de inversión., Cette Gilbert, Mairesse Jacques, Kocoglu Yussuf. La mesure de l'investissement en technologies de l'information et de la communication : quelques considérations méthodologiques. In: Economie et statistique, n°339-340, 2000. Les technologies de l'information et de la communication en France : diffusion et contribution à la croissance. pp. 73-91.
- Published
- 2000
7. Mesurer le rendement de l'innovation
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Jacques Mairesse, Bruno Crépon, Emmanuel Duguet, Equipe de Recherche sur l’Utilisation des Données Individuelles en lien avec la Théorie Economique (ERUDITE), and Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12)-Université Gustave Eiffel
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Statistics and Probability ,Economics and Econometrics ,Sociology and Political Science ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,[SHS]Humanities and Social Sciences - Abstract
Die Rentabilität der Innovation, das heißt die Produktivitätsge-winne der Unternehmen, die der Forschung zuzuschreiben sind, kann nach zwei Methoden bewertet werden. Bei der ersten - der traditionelleren - wird eine bestimmte Anzahl angemeldeter Patente herangezogen; sie ist jedoch unzulänglich, da die Entscheidung, eine Innovation patentieren zu lassen, je nach Unternehmen sehr unterschiedlich ist. Die zweite Methode - die jüngere - gibt eine zusätzliche und zufriedenstellendere Messung der Innovation, da der Anteil der weniger als fünf Jahre alten Produkte am Umsatz der Unternehmen gemessen wird. Diese Methode hat den Vorteil, daß sowohl die Innovationen als auch die Verbesserungen, ja sogar die Produktbeschränkungen berücksichtigt werden. Insgesamt können mit diesen beiden Messungen die bedeutenden Produktivitätsgewinne, die der Forschung im verarbeitenden Gewerbe zu verdanken sind, in vergleichbaren Proportionen erklärt werden. Allerdings ermöglicht der zweite Ansatz eine bessere Berücksichtigung der Effekte bestimmter Variablen, wie des Nachfrageimpulses oder der Dynamik der Technologie. Da es sich um qualitativere Messungen handelt, würden sie zumindest genauso die Entscheidung der Unternehmen, Forschung zu betreiben, und den Betrag der Summen, die sie hierfür zu verwenden bereit sind, wie ihre Größe, ihren Marktanteil oder ihre Diversifizierung erklären., The return on innovation, i. e. corporate productivity gains from research, can be estimated in two ways. The first, more traditional method draws on the number of patents filed. However, it is inadequate since the decision to patent an innovation varies a great deal from one firm to the next. The second, more recent method provides a complementary and more satisfactory measurement of innovation by determining the share of products less than five years old in corporate turnovers. This has the advantage of taking into account both product innovations and improvements or imitations. On the whole, these two measurements can be used to explain substantial productivity gains due to manufacturing industry research in comparable proportions. The second approach, however, takes better account of the effects of variables such as demand stimuli and the specific technology dynamic. As they are more qualitative, they are deemed to explain at least as much a firm’s decision to carry out research and the sums that they are willing to invest therein as their size, their market share and their diversification., Évaluer le rendement de l’innovation, c’est-à-dire estimer les gains de productivité des entreprises imputables à la recherche, peut se faire de deux façons. La première, plus traditionnelle, utilise le nombre de brevets déposés, mais reste insuffisante car la décision de breveter une innovation varie beaucoup d’une entreprise à l’autre. La seconde, plus récente, donne une mesure complémentaire et plus satisfaisante de l’innovation en mesurant la part des produits de moins de cinq ans dans le chiffre d’affaires des entreprises. Elle a l’avantage de prendre en compte à la fois les innovations mais aussi les améliorations voire les imitations de produits. Globalement, ces deux mesures permettent d’expliquer dans des proportions comparables les gains importants de productivité dus à la recherche dans l’industrie manufacturière. Cependant, la seconde approche permet de mieux prendre en compte les effets de variables comme l’impulsion de la demande ou la dynamique propre de la technologie. Plus qualitatives, elles expliqueraient au moins autant la décision des entreprises de faire de la recherche et le montant des sommes que celles-ci sont disposées à y consacrer que leur taille, leur part de marché ou leur diversification., Medir el rendimiento de la innovación, o sea evaluar las ganancias de productividad de las empresas debidas a la investigación puede llevarse a cabo de dos maneras. Una, más tradicional, se basa sobre la cantidad de patentas depositadas, pero es todavía insuficiente ya que la decisión de patentar una innovación varía mucho según la empresa. Otra, más reciente, facilita una medición complementaria y más satisfactoria de la innovación al medir la proporción de los productos de menos de cinco años en el volumen de negocios de las empresas. Tiene la ventaja de tomar en cuenta a la vez las innovaciones, las mejoras e incluso las imitaciones de los productos. Globalmente, estas dos mediciones permiten explicar en unas proporciones idénticas las fuertes ganancias de productividad debidas a la innovación en la industria manufacturera. Sin embargo, el segundo enfoque permite considerar con más eficacia los efectos de unas variables como el impulso de la demanda o la dinámica propia de la tecnología. Siendo más cualitativas, estas variables permiten tanto como el tamaño, la cuota de mercado o la diversificación de las empresas, explicar su decisión de dedicarse a la investigación y las sumas que éstas le dedican., Crépon Bruno, Duguet Emmanuel, Mairesse Jacques. Mesurer le rendement de l'innovation. In: Economie et statistique, n°334, 2000. pp. 65-78.
- Published
- 2000
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8. Informatisation, recherche et productivité
- Author
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Agnès Bensaid, Nathalie Greenan, and Jacques Mairesse
- Subjects
General Economics, Econometrics and Finance - Abstract
Computerization, research and productivity. In this study, based on large samples of French Manufacturing and Service firms, for the years 1984 and 1992, we consider the firm specific abilities in pursuing Research and Development activities and in using Information Technologies, characterizing them in terms of the firm detailed labor composition by occupation. We find that such abilities have significant positive effects on the firm productivity which go well beyond the more general skill related effects., Menée sur de grands échantillons d'entreprises des secteurs industriels et des services et commerces, pour les années 1984 et 1992, l'étude caractérise les savoirs spécifiques des entreprises en matière de recherche et d'informatique, à partir des effectifs de chercheurs, de chargés d'études, d'informaticiens et d'électroniciens, tels qu'ils peuvent être mesurés dans les enquêtes sur la structure des emplois. Elle montre que ces savoirs ont des effets positifs significatifs sur la productivité, effets qui vont bien au-delà de ceux liés à la qualification générale des personnels., Mairesse Jacques, Bensaid Agnès, Greenan Nathalie. Informatisation, recherche et productivité. In: Revue économique, volume 48, n°3, 1997. pp. 591-603.
- Published
- 1997
9. Économie agricole : les raisons d'une prééminence
- Author
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Jacques Mairesse
- Abstract
Mairesse Jacques. Économie agricole : les raisons d'une prééminence. In: Cahiers d'Economie et sociologie rurales, N°29, 4e trimestre 1993. L'agriculture dans les sciences sociales. Au-delà des spécificités. pp. 95-99.
- Published
- 1993
10. Les facteurs qualitatifs de la productivité : un essai d'évaluation
- Author
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Jacques Mairesse and Mohamed Sassenou
- Subjects
Business and International Management ,General Economics, Econometrics and Finance - Abstract
Die qualitativen Faktoren der Ertragsfähigkeit : ein Schätzansatz, von Jacques Mairesse, Mohamed Sassenou. Ausser den wie üblich gemessenen Faktoren wie Kapital und Arbeit versucht diese Analyse, gewisse, auf qualitative Aspekte stärker ausgenchtete Faktoren der betneblichen Ertragsfähigkeit zu erfassen : das Durchschnittsalter der Betriebsanlagen, die Arbeitsbewertung sowie die Höhe der innerbetrieblichen und sektoralen Forschungsaufwendungen. Unter Berücksichtigung der mit der Modellierung und Variablenmessung zusammenhängenden Probleme erscheinen die anhand einer Querschnittuntersuchung aus einer Stichprobe von ungefähr 300 Industriebetneben hervorgehenden Schätzungen zufriedenstellend. Sie sind von statistischer Relevanz und weisen eine angemessene Grössenordnung auf., Tentative estimates of qualitative factors of productivity, by Jacques Mairesse, Mohamed Sassenou. Besides taking into account the two main production factors, i.e. capital and labour as usually measured, the present study is an attempt to assess the influence of some qualitative factors explaining the productivity of firms : the age of equipment, the labour force's qualification, the importance of their internal R-D capital stock and the R-D capital intensity of the industry. The estimates are performed on a cross section of about three hundred manufacturing firms ; in spite of specification and measurement problems, they seem satisfactory, being both statistically significant and of a reasonable order of magnitude., Les facteurs qualitatifs de la productivité : un essai d'évaluation, par Jacques Mairesse, Mohamed Sassenou. Au-delà des facteurs de capital et de travail tels qu'ils sont mesurés habituellement, l'analyse cherche à appréhender certains facteurs plus qualitatifs de la productivité des entreprises : l'âge moyen des équipements, la qualification du travail, l'importance du capital de recherche interne et l'intensité du capital sectoriel de recherche. Compte tenu des problèmes de modélisation et de mesure des variables, les estimations obtenues sur un échantillon en coupe d'environ trois cents entreprises industrielles paraissent satisfaisantes. Elles sont statistiquement significatives et d'un ordre de grandeur raisonnable., Los factores cualitativos de la productividad : un ensayo de evaluación, por Jacques Mairesse, Mohamed Sassenou. Más allá de los factores de capital y de trabajo tal como se las mide habitualmente, el análisis pretende aprehender ciertos factores más cualitativos de la productividad de las empresas : la edad promedio de los equipos, la calificación del trabajo, la importancia del capital de investigación interna y la intensidad del capital sectorial de investigación. Teniendo en cuenta los problemas de modelización y de medición de las variables, las estimaciones obtenidas en una muestra en corte transversal de trescientas empresas industriales aproximadamente parecen satisfactorias, ya que son estadísticamente significativas y de un orden de magnitud razonable., Mairesse Jacques, Sassenou Mohamed. Les facteurs qualitatifs de la productivité : un essai d'évaluation. In: Économie & prévision, n°91, 1989-5. Etudes sectorielles. pp. 35-42.
- Published
- 1989
11. La culture du blé au milieu du XIXe siècle : rendement, prix, salaires et autres coûts
- Author
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Jean Heffer, Jean-Marie Chanut, and Jacques Mairesse
- Subjects
060104 history ,History ,Political science ,05 social sciences ,0507 social and economic geography ,General Social Sciences ,0601 history and archaeology ,06 humanities and the arts ,050701 cultural studies ,Humanities - Abstract
Wheat Cultivation in Mid-Nineteenth Century France: Output, Prices, Salaries, and Other Costs. J. Heffer, J. Mairesse,and J.-M. Chanut. This study is based on information published in certain districts concerning an 1852 agricultural survey. After a descriptive presentation highlighting regional contrasts, an econometric model is used to account for intra-regional differences in wheat output and prices, as well as in production expenditures (eg. men, women and children's salaries, ox and horse harnesses, and tenant farming rates). Output equations show that people's work's marginal productivity was not lower than their salaries. Other price and cost equations indicate the importance of demographic situation and of the relationship between production and local wheat consumption. The overall results suggest that while there was regional and even national integration of wheat markets in France at that time, this was not true for the labor market and that of other production factors., Heffer Jean, Chanut Jean-Marie, Mairesse Jacques. La culture du blé au milieu du XIXe siècle : rendement, prix, salaires et autres coûts. In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 41ᵉ année, N. 6, 1986. pp. 1273-1302.
- Published
- 1986
12. Modèles et discours
- Author
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Jacques Mairesse
- Subjects
General Economics, Econometrics and Finance - Abstract
L'experience qui nous a reunis, economistes et sociologues, pendant les deux joume'es intenses de notre atelier, et qui aboutit 'a ce numero en commun de la Revue economique, est 'a beaucoup d'egards etonnante. Ce qui m'a peut-etre le plus frappe est la force avec laquelle les oppositions reques concernant nos deux disciplines s'imposaient: oppositions qui se manifestaient presque malgre nous dans les reflexions spontanees de nos discussions, mais qui s'inscrivaient aussi profondement dans la realite meme des contributions qui nous etaient livrees et que nous confrontions (non seulement dans les mots mais dans les choses). Nous avions voulu (avec raison) eviter les risques des communions interdisciplinaires, nous frolions (avec surprise) les dangers des luttes discipline contre discipline.
- Published
- 1988
13. Recherches en économie du travail : un Colloque à Aix-en-Provence
- Author
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Jean-Jacques Silvestre and Jacques Mairesse
- Subjects
Statistics and Probability ,Economics and Econometrics ,Sociology and Political Science - Abstract
L'équipe « Marchés du travail et structures de salaires » du laboratoire d'Économie et, de Sociologie du Travail d'Aix-en-Provence. et l'Unité de Recherche de l'INSEE ont organisé au printemps dernier un colloque sur des recherches en économie du travail. Les » six communications très diverses qui furent présentées concernent plus précisément certains aspects des problèmes du fonctionnement des marchés du travail et de la détermination des salaires. Elles font maintenant l'objet d'un numéro spécial des Annales de l'INSEE dont, le sommaire est donné en encadré. Chaque étude y est suivie de commentaires qui, souvent, , reprennent de façon très éclairante ses principaux résultats, et l'ensemble est précédé d'une introduction où on a cherché à aider les lecteurs non spécialistes à mieux comprendre certaines questions et à en mieux voir l'intérêt. Aussi, plutôt que d'essayer de donner un aperçu général des problèmes soulevés par ces études et des enseignements qu'elles apportent au plan des théories et des méthodes comme à celui des faits, voulons-nous inciter les lecteurs d'Économie et statistique à la lecture des Annales. Il nous suffira d'évoquer ici quelques-uns des faits dont ils pourront ainsi prendre connaissance directement. Bien sûr ces faits ont été établis dans des circonstances particulières et notamment sur des périodes plus ou moins récentes, et à cet égard quelques précisions sont apportées en encadré. Ils doivent donc être considérés avec la prudence d'usage, mais n'en apparaissent pas moins intéressants et d'actualité, en fournissant une information qui dans ses grandes lignes reste sans doute valable., Mairesse Jacques, Silvestre Jean-Jacques. Recherches en économie du travail : un Colloque à Aix-en-Provence. In: Economie et statistique, n°63, Janvier 1975. pp. 53-55.
- Published
- 1975
14. Réduction de la durée du travail et chômage : éléments de réflexion en forme de modèle
- Author
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Jean-Michel Charpin and Jacques Mairesse
- Subjects
General Economics, Econometrics and Finance - Abstract
Mairesse Jacques, Charpin Jean-Michel. Réduction de la durée du travail et chômage : éléments de réflexion en forme de modèle. In: Revue économique, volume 29, n°1, 1978. pp. 189-206.
- Published
- 1978
15. La croissance de la productivité du travail dans l'industrie s'est accélérée dès 1967
- Author
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Jean-François Ponsot, Christian Sautter, and Jacques Mairesse
- Subjects
Statistics and Probability ,Economics and Econometrics ,Sociology and Political Science - Abstract
The curve of apparent labour productivity, i.e. the ratio of value added by branches of industry to the number of hours worked, which formerly used to progress steadily, showed a marked speeding up in 1967. After describing the phenomenon, and relating it to the trend of wage costs per unit produced, the authors try to explain it. Productivity gains were normal in a period of economic recovery, though well below that found here. It cannot be attributed to the more intensive use either of manpower or equipment. The explanation must therefore be sought in structural changes. One of them is probably the favourable influence of the shorter working week, and another is the accelerated substitution of the factor of productive capital for the labour factor, representing a more intense modernisation of the production mechanism in the face of international competition. There was a further leap forward in apparent labour productivity after crisis of May-June, 1968. But this time, it was a cyclical phenomenon, due to the exceptionally intensive use of the factors of production., La courbe de la productivité apparente du travail, rapport de la valeur ajoutée des branches industrielles aux nombres d'heures travaillées, qui progressait habituellement de façon régulière, a marqué en 1967 une vive accélération. Après avoir décrit le phénomène et l'avoir rapproché de l'évolution du coût salarial par unité produite, les auteurs cherchent à l'expliquer. Un gain de productivité était normal en période de reprise, mais bien inférieur à celui qui fut constaté. On ne peut mettre en cause une utilisation plus intensive ni de la main d'oeuvre ni de l'équipement. Il faut donc chercher l'explication dans des modifications structurelles. L'une d'elles est probablement le rôle positif de la réduction de la durée hebdomadaire du travail, une autre est l'accélération de la substitution du facteur capital productif au facteur travail, traduisant une modernisation plus intense de l'appareil productif face à la concurrence internationale. Un nouveau bond de la productivité apparente du travail a eu lieu après la crise de mai-juin 1968: Mais il s'agit cette fois d'un phénomène conjoncturel dû à l'utilisation exceptionnellement intensive des facteurs de production., El crecimiento de la productividad del trabajo en la industria se ha ido accelerando desde 1967 La curba de la productividad aparente del trabajo, producto del valor anadido de las ramas industriales con el numero de horas trabajadas, que iba progresando habitualmente con regularidad, reveló en 1967 una neta acceleración. Tras haber descrito el fenómeno y haberlo confron-tado con la evolución del coste asalarial por unidad de producción, los autores intentan explicarlo. Una ganancia de productividad solfa ser normal durante un perfodo de reanimación, pero era sumamente inferior a la que pudo ser verificada. Ello no se puede atribuir a la utilización más o menos intensiva ni de la mano de obra ni del equipo. Por lo tanto, es menester procurar encontrar una explicación en las modificaciones de estructura. Una de ellas es probablemente el papel positivo que desempena la merma en la duraciôn semanal del trabajo, la otra reside en la acceleración de la substituciôn del factor capital productivo por el factor trabajo que reflejaunamodernizaciôn mâs intensa del aparato de producción frente a la competencia internacional. . Registróse un nuevo salto en adelante en la productividad aparente del trabajo después de la crisis de mayo y junio de 1968. Pero se trata, entonces, de un fenómeno coyuntural debido a la utilización excepcionalmente intensiva de los factores de producción., Ponsot Jean-François, Sautter Christian, Mairesse Jacques. La croissance de la productivité du travail dans l'industrie s'est accélérée dès 1967. In: Economie et statistique, n°13, Juin 1970. pp. 13-28.
- Published
- 1970
16. Les externalités d’un point de vue sociologique. Quelques remarques
- Author
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Friedberg, Erhard, Musselin, Christine, Centre de sociologie des organisations (CSO), Sciences Po (Sciences Po)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Dominique Foray, Jacques Mairesse, and Centre de sociologie des organisations (Sciences Po, CNRS) (CSO)
- Subjects
[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,action organisée ,sociologie ,économie - Abstract
Face aux travaux des économistes, un sociologue qui, comme nous, s'intéresse à l'analyse de l'action organisée, a toujours une réaction ambivalente. Il est très à l'aise avec l'individualisme méthodologique qui constitue la posture de base du raisonnement économique, il croît reconnaître certains des concepts utilisés par les économistes : il se sent donc proche, voire admiratif devant ce qui se donne à voir comme une argumentation rigoureuse fondée sur des définitions précises à la fois des phénomènes décrits et des conditions de validité de la démonstration. Mais pour peu qu'il veuille approfondir ces correspondances ou les traduire dans ses propres raisonnements, il se rend très vite compte que les mêmes mots ne désignent pas nécessairement la même réalité. Sa réaction est alors de reprendre très vite ses distances et de dénoncer au contraire ce qui lui apparaît, à l'usage, comme un raisonnement simpliste et réducteur d'une réalité beaucoup plus complexe qu'il tente, lui, d'appréhender. Développer les échanges entre économistes et sociologues relèverait-il de l’utopie ? (premières phrases)
- Published
- 1999
17. La thématique des compétences
- Author
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Le Bas, Christian, de Meyer, Arnoud, Dubuisson-Quellier, Sophie, Sciences Po Institutional Repository, Spire, Dominique Foray, and Jacques Mairesse
- Subjects
firme ,[SHS.SOCIO] Humanities and Social Sciences/Sociology ,concurrence ,marché ,compétence - Abstract
La notion de compétence de la firme a longtemps été assimilée, dans la littérature, à la disposition d'éléments spécifiques tels que les dotations en facteur ou encore la détention et les capacités d'accès à l'information. La compétence était ainsi considérée comme le résultat des efforts réalisés par une entreprise pour se constituer un capital humain et informationnel et constituait un objectif à atteindre dans le but de posséder un avantage compétitif sur ses concurrents. C'est à ce prix qu'une firme pouvait affirmer sa différence et sa spécificité sur le marché. Cette conception est maintenant largement battue en brèche, tout d'abord à la suite des avancées réalisées dans le domaine des sciences de gestion puis par l'analyse plus récente de certains économistes qui placent la question de l'apprentissage organisationnel au coeur de leur analyse. (premières phrases)
- Published
- 1999
18. Une caractérisation de la compétence par les formes d'apprentissage
- Author
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Dubuisson-Quellier, Sophie, Divry, Christine, Torre, André, Connaissance Organisation et Systèmes TECHniques (COSTECH), Université de Technologie de Compiègne (UTC), Dauphine Recherches en Management (DRM), Université Paris Dauphine-PSL, Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Sciences pour l'Action et le Développement : Activités, Produits, Territoires (SADAPT), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-AgroParisTech, Dominique Foray, and Jacques Mairesse
- Subjects
[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,firme ,concurrence ,marché ,compétence - Abstract
La notion de compétence de la firme a longtemps été assimilée, dans la littérature, à la disposition d'éléments spécifiques tels que les dotations en facteur ou encore la détention et les capacités d'accès à l'information. La compétence était ainsi considérée comme le résultat des efforts réalisés par une entreprise pour se constituer un capital humain et informationnel et constituait un objectif à atteindre dans le but de posséder un avantage compétitif sur ses concurrents. C'est à ce prix qu'une firme pouvait affirmer sa différence et sa spécificité sur le marché. Cette conception est maintenant largement battue en brèche, tout d'abord à la suite des avancées réalisées dans le domaine des sciences de gestion puis par l'analyse plus récente de certains économistes qui placent la question de l'apprentissage organisationnel au coeur de leur analyse. (premières phrases)
- Published
- 1999
19. Innovations et compétences : compte-rendu d'une réflexion collective
- Author
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Kabla, Isabelle, Dubuisson-Quellier, Sophie, Groupe des Ecoles Nationales d'Economie et Statistique (GENES), Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), Dominique Foray, and Jacques Mairesse
- Subjects
[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,compétence ,innovation ,performance - Abstract
L’économie, la sociologie et la gestion ont toutes trois connu un développement important des études consacrées à l’innovation. La première partie de cet essai de synthèse d’une réflexion collective montrera la diversité des approches qu’emprunte chacune de ces disciplines, diversité à la fois en termes de méthodes, de questions et d’objets. Cette diversité, il convient cependant de la lire, non comme un principe de divergence mais plutôt comme le fondement d’une interrogation et d’une confrontation pluridisciplinaire. Dans une seconde partie, nous expliciterons le choix de la notion de compétence comme objet de recherche sur les processus d’innovation. Enfin, une dernière partie posera de façon plus approfondie la question de la mesure des phénomènes de compétences, ainsi que leur articulation avec une problématique en termes de performance des firmes.
- Published
- 1999
20. La thématique des compétences
- Author
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Le Bas, Christian, De Meyer, Arnoud, Dubuisson-Quellier, Sophie, Laboratoire d'Economie de la Firme et des Institutions (LEFI), Université Lumière - Lyon 2 (UL2), Judge Business School, University of Cambridge [UK] (CAM), Dominique Foray, and Jacques Mairesse
- Subjects
firme ,[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,concurrence ,marché ,compétence - Abstract
La notion de compétence de la firme a longtemps été assimilée, dans la littérature, à la disposition d'éléments spécifiques tels que les dotations en facteur ou encore la détention et les capacités d'accès à l'information. La compétence était ainsi considérée comme le résultat des efforts réalisés par une entreprise pour se constituer un capital humain et informationnel et constituait un objectif à atteindre dans le but de posséder un avantage compétitif sur ses concurrents. C'est à ce prix qu'une firme pouvait affirmer sa différence et sa spécificité sur le marché. Cette conception est maintenant largement battue en brèche, tout d'abord à la suite des avancées réalisées dans le domaine des sciences de gestion puis par l'analyse plus récente de certains économistes qui placent la question de l'apprentissage organisationnel au coeur de leur analyse. (premières phrases)
- Published
- 1999
21. Capital et investissement
- Author
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D'Autume, Antoine, Equipe Universitaire de Recherche en Economie Quantitative (EUREQUA), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Xavier Greffe, Jacques Mairesse, and Jean-Louis Reiffers
- Subjects
capital ,investissement ,[SHS.ECO]Humanities and Social Sciences/Economics and Finance - Published
- 1990
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