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Tout CEO ambitieux se demande, un jour ou l'autre, s'il doit mettre en place une holding.Créer une holding n'est pas difficile en soi. Cela consiste simplement à rédiger et déposer les statuts d'une société de plus.Mais, pour qu'elle devienne créatrice de richesse, il faut la maîtriser, la gouverner habilement et lui donner la puissance financière.Or trop souvent, la mise en oeuvre s'arrête à la fiscalité. Ce qui génère deux écueils pour le CEO : d'abord le risque fiscal depuis la réforme de l'abus de droit, puis la perte de chance de croissance financière.La holding est un outil puissant pour créer et développer une entreprise, mais elle doit aussi faire face à des défis financiers et fiscaux.L'auteur vous propose une approche concrète basée sur la croissance pour soutenir le développement des activités. Il dévoile les montages les plus performants, détaille leur architecture juridique, fiscale et financière.Avec des schémas concrets et chiffrés, cet ouvrage vous présente les clés pour adopter une stratégie entrepreneuriale puissante, surmonter les obstacles et faire prospérer vos activités.

Voir Dieu... est-ce possible? Pour qui a découvert que Dieu est, et qu'Il est Amour, le voir est un désir. Le vaste ouvrage d'Irénée de Lyon veut, dans une période troublée, affermir la foi et rappeler que nous sommes faits pour la vision de Dieu.'Le Fils nous donne de voir Dieu de multiples manières. En effet, si nous étions privés de Dieu, nous risquerions de mourir. Oui, la gloire de Dieu c'est l'homme vivant, et la vie de l'homme, c'est la vision de Dieu. Les êtres que Dieu a créés nous le font connaître, et cette connaissance donne déjà la vie à tout ce qui existe sur la terre. Alors, quand le Fils de Dieu lui-même nous montre le Père, pour ceux qui voient Dieu par son intermédiaire, quelle plénitude de vie!'À PROPOS DE L'AUTEURIrénée est le grand penseur de l'Église du deuxième siècle : on dit que c'est le premier grand théologien de l'Église.. Il est né entre 135 et 140, en Asie Mineure, la Turquie actuelle. À Smyrne, il a écouté l'enseignement du vieil évêque Polycarpe qui, lui-même, avait été en relation avec Jean et les autres disciples du Christ. Ainsi le jeune Irénée a pu entendre la parole de ceux qui avaient vu et entendu le Seigneur Jésus et, par eux, entendre la voix de Jésus lui-même. En 177, la communauté chrétienne de Lyon a été durement persécutée. Son évêque Pothin est mort en prison. Irénée lui succède comme évêque. Aux environs de cette année 177, Irénée est allé à Rome. Il a rencontré le pape Éleuthère pour lui parler en faveur de chrétiens que l'on accusait faussement de ne pas être fidèles à leur foi. Plus tard, vers 190195, il intervient une deuxième fois à Rome pour la paix de l'Église. “Irénée” veut dire homme de paix. Nous ne savons rien sur la fin de la vie d'Irénée. Il est sans doute mort martyr, en 197 ou 202, à Lyon. L'Église célèbre sa fête le 28 juin.

La néocriminalité procréatique se situe dans un ensemble des nouvelles formes de criminalités qui accompagnent ou que génèrent les technosciences. La procréatique permet à l'homme de réaliser son rêve d'être maître de l'homme en intervenant dans les secrets de la genèse de la vie en vue de l'orienter comme il veut. Mais cet homme technoscientifique aura-t-il toujours la maîtrise de sa maîtrise?

À la découverte du cadavre de Simon Auresme, le commissaire Constantin Wittenberg ne peut contenir son dégoût. Le corps a été retrouvé dans les rues de Saint-Omer, atrocement mutilé. Un coupe-papier lui transperce le cœur, une pioche de mineur lui déchire l'entrejambe. Quelle motivation pourrait expliquer tant de cruauté? Sans indice et sans suspect, l'enquête semble s'enliser. Jusqu'à un autre meurtre dont les modalités rappellent le premier assassinat. Nouvelle recrue parmi les policiers, l'audacieuse Juliette Jouhaut met le doigt sur ce qui pourrait être le mobile des crimes. D'autres cadavres seront-ils déterrés?EXTRAITEn l'apercevant, malgré sa longue expérience de commissaire de police qui avait affermi et renforcé son insensibilité que certains de ses hommes appelaient dureté et d'autres, sécheresse de cœur, Constantin Wittenberg ne put réprimer un haut-le-cœur si cruellement significatif que son voisin ferma les yeux de dégoût et crut qu'il allait vomir tripes et boyaux, tant ce spectacle-là le rebutait.– Dieu, murmura-t-il enfin, avec une moue de dégoût qui lui fit relâcher la lèvre inférieure, est-il possible de découvrir une chose aussi affreuse? Qui avait pu imaginer ça? Une espèce de dingue?Il ajouta pour lui-même : C'est dégueu! Bordel de merde! Peut-être pour se débarrasser pour longtemps de cette image insoutenable ou remettre en place un estomac un peu trop chahuté!Wittenberg en avait vu des cadavres au cours des nombreuses années de sa carrière. De toutes sortes : des beaux, des moches, des distingués ; des mutilés, calcinés, tuméfiés, lacérés au point que les peaux pendaient, sanguinolentes. Souvent plus proches du terreau du cimetière ou de la pierre des tombeaux que de la veillée funèbre, avec leur chair pourrie, couverte de mouches et dégageant une épouvantable puanteur.Mais celui-ci, c'était le bouquet. Il était tout à la fois. Un cadavre qu'on n'aurait qu'une seule chance de rencontrer dans sa vie.À PROPOS DE L'AUTEURNé à l'orée de la forêt de Saint-Amand-les-Eaux, Irénée Deltombe attrape à vingt ans le virus de l'enseignement. S'ensuivent des années de pérégrination à travers le département du Nord, du Dunkerquois au Valenciennois en passant par la Flandre intérieure et la région roubaisienne. Pour résumer cette expérience, un seul mot : richesse. Celle des gens croisés sur sa route mais aussi des paysages de ces territoires. Très impliqué dans son métier, l'instituteur fait le pari d'enseigner autrement. Participant au bouleversement de la profession, Irénée Deltombe devient conseiller pédagogique à Saint-Amand puis inspecteur de l'Éducation nationale à Saint-Omer. Après la publication de livres scolaires, il se lance dans une écriture plus personnelle. Démarche aboutissant à des contes pour enfants qu'il lit le soir à ses élèves avant de quitter la classe. Admiratif des œuvres de Georges Simenon, l'Audomarois se laisse gagner par la fibre policière. Une attirance qui donne naissance à un premier Polars en Nord en 2015, Dans les griffes des loups, puis à un second en 2016, Le joueur de tarot. Deux romans policiers où des personnages singuliers évoluent au sein de microcosmes tout aussi particuliers.

Le commissaire Wittenberg quitte Saint-Omer pour Saint-Amand où un ancien collègue l'appelle à la rescousse. Une plainte étonnante vient en effet d'être déposée par l'Amandinois Roger Duhont : il a retrouvé deux cartes de tarot dans sa boîte aux lettres, La Mort et Le Jugement. L'homme semble complètement paniqué par ce dépôt anonyme. Selon Wittenberg, l'événement serait prophétique. Quelques jours plus tard, Duhont se suicide d'une balle de chevrotine. Puis, peu de temps après, un homme est retrouvé assassiné. À côté de son corps a été déposée une carte de tarot. Y a-t-il un point commun entre ces morts? La prophétie des cartes évoquée par Wittenberg se réalisera-t-elle?EXTRAITIl s'était toujours élevé contre la première intuition, cette prémonition toujours vague et confuse, qui ne pouvait satisfaire un esprit vigilant, toujours sur le qui-vive et, a fortiori, méfiant. Rarement indécis, muet et grave, il prenait toujours le temps de la réflexion avant de prononcer son jugement qui ne prêtait guère à équivoque. Il se trompait rarement, sinon jamais. Il se gardait, comme arme de défense, cette intense exigence d'analyser, de critiquer, avant de prendre une décision définitive, pour ne pas devenir par la suite une sorte de dupe, une espèce de marionnette facile à manœuvrer et à tromper. Et c'était lui, cet incorruptible commissaire Constantin Wittenberg, qui, aujourd'hui, avait jeté d'emblée aux orties toutes ses bonnes résolutions. Comment avait-il pu répondre sur-le-champ, presque sans réfléchir, à l'appel de ce jeune collègue, commissaire de police à Saint-Amand-les-Eaux? Il avait obéi en aveugle. Il avait marché au doigt et à la baguette. Comme un véritable gamin insouciant et étourdi, comme un jeune débutant sans cervelle, lui, le réputé commissaire Constantin Wittenberg. Avant-hier, il avait reçu une lettre et cette foutue lettre avait accaparé son attention au point que de la lire et de la relire, il n'avait plus pensé qu'à elle. Et cette lancinante obsession avait gâché toute sa journée.À PROPOS DE L'AUTEURNé à l'orée de la forêt de Saint-Amand-les-Eaux, Irénée Deltombe attrape à vingt ans le virus de l'enseignement. S'ensuivent des années de pérégrination à travers le département du Nord, du Dunkerquois au Valenciennois en passant par la Flandre intérieure et la région roubaisienne. Pour résumer cette expérience, un seul mot : richesse. Celle des gens croisés sur sa route mais aussi des paysages de ces territoires. Très impliqué dans son métier, l'instituteur fait le pari d'enseigner autrement. Participant au bouleversement de la profession, Irénée Deltombe devient conseiller pédagogique à Saint-Amand puis inspecteur de l'Éducation nationale à Saint-Omer. Après la publication de livres scolaires, il se lance dans une écriture plus personnelle. Démarche aboutissant à des contes pour enfants qu'il lit le soir à ses élèves avant de quitter la classe. Admiratif des œuvres de Georges Simenon, l'Audomarois se laisse gagner par la fibre policière. Une attirance qui donne naissance à un premier Polars en Nord en 2015, Dans les griffes des loups, puis à un second en 2016, Le joueur de tarot. Deux romans policiers où des personnages singuliers évoluent au sein de microcosmes tout aussi particuliers.

Une série de meurtres symboliques accompagnés du chiffre sept et d'un message en latin...Le commissaire Constantin Wittenberg a les nerfs à vif. Son fief, Saint-Omer, ville paisible s'il en est, devient, la nuit tombée, un terrain de chasse pour un mystérieux justicier. Un coup à la tempe lui suffit pour condamner ses victimes. « Quiconque déroge à la règle sera puni » promet-il en latin dans une lettre déposée près des corps. De quelle règle s'agit-il? Pourquoi y associe-t-il toujours le chiffre sept? Heureusement, Alex Naudoux, ancien professeur agrégé de lettres classiques, est là pour aider Wittenberg à traduire les messages. Bientôt l'arrogance de Poidevin, un inspecteur aux dents longues, les empêche d'avancer. Constantin est même retiré de l'affaire! Qu'à cela ne tienne, les deux amis continuent leur enquête dans l'ombre et s'approchent du secret. Sept corps, sept messages… Sauront-ils percer la symbolique?La palpitante enquête d'un duo sur les traces d'un assassin énigmatique, dans le Pas-de-Calais!EXTRAITC'était un soir de la mi-novembre. Il faisait encore relativement doux. Le vent, faible et tiède, amollissait l'air, bien qu'il fût plus de 9 heures du soir. D'où elle se tenait, l'ombre ne pouvait apercevoir dans cette impasse plongée dans l'obscurité que la masse sombre et imposante de l'école primaire que révélait à peine l'éclairage livide de la rue voisine. Même les éclats rouges et verts des enseignes lumineuses au néon du Napoli n'arrivaient pas à l'éclabousser, tant elle paraissait incrustée dans la pierre. Après l'école, elle ne pouvait plus rien distinguer, même pas les dernières maisons dont les volets étaient presque toujours fermés tout au long du jour. La nuit d'encre ensevelissait tout. Soudain la grosse cloche de l'église toute proche se mit en branle et son battant, tel un pilon lent et lourd, martela dans le soir léger neuf coups régulièrement espacés. Des coups inattendus et brutaux qui firent tressaillir l'ombre. Bien malin et drôlement physionomiste aurait été celui qui aurait pu affirmer qui elle était. Homme? Femme? Elle n'était que l'ombre, une ombre qui se coulait dans la noirceur de la nuit et dans les couleurs sombres et uniformes de la pierre du restaurant. Elle n'avait pas bougé de place. Dans le noir profond de la nuit de cette petite rue, elle ne faisait qu'un avec la paroi, comme engloutie dans la meulière. Immobile, statufiée, elle était invisible, mais elle, elle voyait tout.À PROPOS DE L'AUTEURNé à l'orée de la forêt de Saint-Amand-les-Eaux, Irénée Deltombe attrape à vingt ans le virus de l'enseignement. S'ensuivent des années de pérégrination à travers le département du Nord, du Dunkerquois au Valenciennois en passant par la Flandre intérieure et la région roubaisienne. Pour résumer cette expérience, un seul mot : richesse. Celle des gens croisés sur sa route mais aussi des paysages de ces territoires. Très impliqué dans son métier, l'instituteur fait le pari d'enseigner autrement. Admiratif des oeuvres de Georges Simenon, l'Audomarois se laisse gagner par la fibre policière. Une attirance qui donne naissance à un premier Polars en Nord en 2015, Dans les griffes des loups, puis à un second en 2016, Le joueur de tarot. Deux romans policiers où des personnages singuliers évoluent au sein de microcosmes tout aussi particuliers. En 2017, il publie son troisième polar : Septima littera.