Aurengo, André, Carsin, Michel, Coatrieux, J.L., Di Paola, Robert, Frija, Guy, Garance, Patrick, Janiaud, Paul, Joffre, Francis, Lanoé, Jean-Louis, Lhoste, Jean-Marc, CHU Pitié-Salpêtrière [AP-HP], Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP)-Sorbonne Université (SU), Service de radiologie et imagerie médicale [Rennes] = Radiology [Rennes], CHU Pontchaillou [Rennes], Laboratoire Traitement du Signal et de l'Image (LTSI), Université de Rennes (UR)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), CH Laennec de Creil, CH Pontoise, Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Service de Radiologie [Rangueil / Larrey], Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse (CHU Toulouse), INSERM U357, Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)-AP-HP Hôpital Bicêtre (Le Kremlin-Bicêtre), Centre de biochimie structurale (CBS), Université Montpellier 1 (UM1)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut national de la santé et de la recherche médicale(INSERM), Sorbonne Université (SU)-Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) (AP-HP), Université de Rennes 1 (UR1), Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), CHU Toulouse [Toulouse]-Hôpital de Rangueil, CHU Toulouse [Toulouse], and ORANGE, Colette
L'enquête proprement dite a concerné les services exclusifs d'imagerie des hôpitauxpublics ou conventionnés, à l'exclusion du secteur privé qui ne souhaitait pasparticiper, mais qui sera tenu informé. Sa méthodologie fut conçue en étroite concertation, entre CEMKA, expérimentée en ce domaine, et le comité scientifique, surtout lors de la phase de conception des questionnaires. Le détail de la méthode retenue et les problèmes posés sont exposés plus loin. L'enquête a été conçue par échantillonnage à trois niveaux: 376 établissements, 518 services et 463 salles spécialisées, tirés au sort. L'activité des salles a été abordée à travers un dernier questionnaire portant sur une semaine complète d'activité ou cinquante actes successifs. Les notions de salle, de service (surtout lorsque les équipements sont partagés), ou d'actes et la dimension des échantillons variable selon les techniques, ont posé, au demeurant, des problèmes d'interprétation statistique tout au long de cette étude. La méthode de recueil et d'analyse des données a été examinée et validée du point de vue statistique par le Pr J. Lelouch, directeur de l'Unité 169 de l'INSERM. Le sondage stratifié à plusieurs niveaux et les bases différentes selon les techniques ne permettent pas d'introduire simplement des intervalles de confiance; la qualité des réponses a été jugée satisfaisante ainsi que les taux de réponses obtenus. Même si ces derniers varient selon les types d'établissements, l'ensemble est jugé statistiquement très significatif, avec plus de 20 000 actes décrits dans le questionnaire sur l'activité. Enfin, les redressements finaux ont pu être croisés avec les données globales externes accessibles. Les discordances mises en évidence ont fait l'objet d'une attention particulière.