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Objectif de l’étude : Analyser les pratiques des obstétriciens français face au choix des parents de poursuivre la grossesse après l’annonce d’une pathologie foetale de particulière gravité, non curable. Matériel et Méthode : Etude descriptive, transversale et nationale, par questionnaires anonymes, informatisés, et envoyés via les adresses mails professionnelles aux gynécologues-obstétriciens thésés, exerçant en France (métropole et DOM-TOM), dans les maternités de tout type. Résultats : Trois cent quatre-vingt-trois questionnaires ont pu être analysés, et la population étudiée semblait hétérogène. Quatre-vingt-six virgule six pour cent des obstétriciens interrogés n’avaient pas de formation spécifique, et pour ceux en ayant une, elle n’était pas spécifique à la périnatalité. Quatre-vingt-deux pour cent des répondeurs réalisaient des IMG au cours de leur exercice. Les maternités de type 3 et les maternités de type 1 étaient significativement plus souvent confrontées à ces naissances en soins palliatifs. L’argument de non demande d’IMG le plus souvent avancé par les parents était le choix religieux. La majorité des praticiens interrogés ne disposaient pas d’un protocole encadrant ces prises en charge au sein de leur établissement, mais jugeaient un tel document utile. La plupart des dossiers étaient discutés en RCP, regroupant des spécialistes divers et variés. Sept virgule cinq pour cent des obstétriciens ne connaissaient pas l’IMG sans foeticide, et 40% ne le proposaient jamais comme alternative. Les principaux motifs avancés par les professionnels ne réalisant pas d’IMG sans foeticide étaient la méconnaissance de cette pratique, une volonté d’éviter la souffrance de l’enfant ou celle des parents, et la protection de l’équipe soignante. Conclusion : une prise de conscience semble se dessiner mais tout n’est pas acquis, et beaucoup reste à construire : il n’existe en effet à ce jour aucune recommandation ni consensus quant à la prise en charge de ces naissances en soins palliatifs.

Beyond its interest in the field of public health and the political aspect with the "Hospital, patients, health and territories" law, therapeutic education now occupies an important place in nursing care. This new nursing culture provides another clinical approach for the nurse and a real means of learning for the patient in the framework of a support and guidance plan drawn up together.

Aneurysmal bone cyst is a well known lesion on the metaphyse of lung tubular bones or on the spine. Unusually, it is detected on the skull and more rarely again on the temporal bone. The authors, talking about the eleven cases they have found in the literature and two recent personal cases, try to describe the main diagnostic dates of this temporal lesion which one has never known if it is a real tumor or a reactional dystrophic pseudotumor secondary to an intrabone circulatory incident, perhaps a phlebitis. As for all other locations, these temporal bone forms are more frequently encountered among adolescents or young adults and, because their blowing bone effect, give clinical signs which directly result from their aggressive behavior on the surrounding structures, in this particular location: temporal fossa swelling, otologic, ophthalmologic or stomatologic symptoms, facial or trigeminal nerves troubles and rarely central neurological signs. On CT-scan, it appears as a space-occupying lesion located in the temporal fossa, with a blowing bone aspect, with intracranial and infratemporal expansions. This CT scan lesion is heterogeneous and contrast enhanced except in its center which is hypodense, as a cyst. The MRI shows comparable pictures. Its total excision, made easier by a preoperative embolization, gives a total and definitive recovery.