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La dégradation accélérée des forêts est un défi majeur pour les gestionnaires. Le reboisement constitue alors une solution importante pour l’amélioration des services écosystémiques voire la survie des écosystèmes. Comparée à d’autres essences comme l’Eucalyptus, les pins renferment une biodiversité plus élevée. Nous avons étudié la phytodiversité d’un périmètre de reboisement avec quatre espèces et deux variétés de pins (Pinus halepensis, P. pinaster var. maghrebiana et var iberica, P. pinea et P. canariensis) afin de proposer l’essence la plus convenable au reboisement. Sur les 38 relevés floristiques réalisés, 83 espèces ont été recensées appartenant à 34 familles. Les valeurs de l’indice de diversité étaient maximales dans les plantations de P. halepensis et P. pinea et minimales dans celles de P. canariensis. L’ordination multidimensionnel non métrique et la Classification Ascendante Hiérarchique ont montré trois groupes : groupe à P. halepensis et P. pinea, groupe à P. maghrebiana et Quercus suber et groupe à P. iberica et P. canariensis. P. halepensis et P. pinea ont montré un cortège floristique relativement riche mais avec un appauvrissement structurel comparé à la subéraie originale. Il ressort que le reboisement à base de P. maghrebiana et dans une deuxième place P. halepensis améliore la structure des peuplements et présente un potentiel important pour la gestion des reboisements au nord du Maroc.

La dégradation accélérée des forêts est un défi majeur pour les gestionnaires. Le reboisement constitue alors une solution importante pour l’amélioration des services écosystémiques voire la survie des écosystèmes. Comparée à d’autres essences comme l’Eucalyptus, les pins renferment une biodiversité plus élevée. Nous avons étudié la phytodiversité d’un périmètre de reboisement avec quatre espèces et deux variétés de pins (Pinus halepensis, P. pinaster var. maghrebiana et var iberica, P. pinea et P. canariensis) afin de proposer l’essence la plus convenable au reboisement. Sur les 38 relevés floristiques réalisés, 83 espèces ont été recensées appartenant à 34 familles. Les valeurs de l’indice de diversité étaient maximales dans les plantations de P. halepensis et P. pinea et minimales dans celles de P. canariensis. L’ordination multidimensionnel non métrique et la Classification Ascendante Hiérarchique ont montré trois groupes : groupe à P. halepensis et P. pinea, groupe à P. maghrebiana et Quercus suber et groupe à P. iberica et P. canariensis. P. halepensis et P. pinea ont montré un cortège floristique relativement riche mais avec un appauvrissement structurel comparé à la subéraie originale. Il ressort que le reboisement à base de P. maghrebiana et dans une deuxième place P. halepensis améliore la structure des peuplements et présente un potentiel important pour la gestion des reboisements au nord du Maroc.

La dégradation accélérée des forêts est un défi majeur pour les gestionnaires. Le reboisement constitue alors une solution importante pour l’amélioration des services écosystémiques voire la survie des écosystèmes. Comparée à d’autres essences comme l’Eucalyptus, les pins renferment une biodiversité plus élevée. Nous avons étudié la phytodiversité d’un périmètre de reboisement avec quatre espèces et deux variétés de pins (Pinus halepensis, P. pinaster var. maghrebiana et var iberica, P. pinea et P. canariensis) afin de proposer l’essence la plus convenable au reboisement. Sur les 38 relevés floristiques réalisés, 83 espèces ont été recensées appartenant à 34 familles. Les valeurs de l’indice de diversité étaient maximales dans les plantations de P. halepensis et P. pinea et minimales dans celles de P. canariensis. L’ordination multidimensionnel non métrique et la Classification Ascendante Hiérarchique ont montré trois groupes : groupe à P. halepensis et P. pinea, groupe à P. maghrebiana et Quercus suber et groupe à P. iberica et P. canariensis. P. halepensis et P. pinea ont montré un cortège floristique relativement riche mais avec un appauvrissement structurel comparé à la subéraie originale. Il ressort que le reboisement à base de P. maghrebiana et dans une deuxième place P. halepensis améliore la structure des peuplements et présente un potentiel important pour la gestion des reboisements au nord du Maroc.

La dégradation accélérée des forêts est un défi majeur pour les gestionnaires. Le reboisement constitue alors une solution importante pour l’amélioration des services écosystémiques voire la survie des écosystèmes. Comparée à d’autres essences comme l’Eucalyptus, les pins renferment une biodiversité plus élevée. Nous avons étudié la phytodiversité d’un périmètre de reboisement avec quatre espèces et deux variétés de pins (Pinus halepensis, P. pinaster var. maghrebiana et var iberica, P. pinea et P. canariensis) afin de proposer l’essence la plus convenable au reboisement. Sur les 38 relevés floristiques réalisés, 83 espèces ont été recensées appartenant à 34 familles. Les valeurs de l’indice de diversité étaient maximales dans les plantations de P. halepensis et P. pinea et minimales dans celles de P. canariensis. L’ordination multidimensionnel non métrique et la Classification Ascendante Hiérarchique ont montré trois groupes : groupe à P. halepensis et P. pinea, groupe à P. maghrebiana et Quercus suber et groupe à P. iberica et P. canariensis. P. halepensis et P. pinea ont montré un cortège floristique relativement riche mais avec un appauvrissement structurel comparé à la subéraie originale. Il ressort que le reboisement à base de P. maghrebiana et dans une deuxième place P. halepensis améliore la structure des peuplements et présente un potentiel important pour la gestion des reboisements au nord du Maroc.