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After treatment of primary soft tissue sarcoma, a third of patients will develop local or distant (lung in 90% of cases) recurrence. For an individual patient, the issue of cancer recurrence is a binary event. However, when developing surveillance strategies for large groups of patients, knowledge of the risks (tumor biology, natural history of the disease), the benefits (potential efficacy of salvage therapy) and diagnosis test performances is necessary to formulate a rationale and resource effective follow-up algorithm.

Soft tissue sarcomas are uncommon heterogeneous group of tumour derived from mesenchym. The most common location is the lower extremity, but they can occur in the upper extremity, and abdominal and chest walls. The first radiological evaluation may include plain films and ultrasonography in viewing to assess the probability of soft tissue sarcomas. MRI with contrast is the main modality to evaluate these lesions and choose which part of tumour must be biopsied. Computer tomography (CT) is secondary used to perform core needle biopsy and detect lung metastases. The role of PET begins to be more clear in case of need global assessment before radical surgery. A multidisciplinary approach is essential to perform rational treatment planning and avoid partial surgery.

Resume Les sarcomes des tissus mous des extremites relevent de protocoles de traitement de plus en plus conservateurs et fonctionnels, associant chirurgie, radiotherapie et chimiotherapie. La place de la radiotherapie externe et de la curietherapie a ete definie dans plusieurs essais randomises realises dans les annees quatre-vingt et quatre-vingt dix. Neanmoins, la variete des localisations tumorales rend difficile une systematisation de l’approche therapeutique locale. La definition des volumes d’irradiation est basee sur une imagerie pre- et postoperatoire de qualite (IRM) et sur une evaluation anatomopathologique precise de l’eventuel reliquat operatoire. La definition du volume–cible anatomoclinique (CTV) tient donc compte de la presence a distance du foyer macroscopique de cellules tumorales et des rapports de la tumeur avec les barrieres anatomiques fibreuses (aponevroses). Au concept pragmatique de marges de securite (de 5 a 10 cm) de part et d’autre du lit tumoral, on peut opposer un concept anatomique comprenant les loges et compartiments fermes par des cloison aponevrotiques (definition anatomique des volumes). Les regles generales de cette irradiation (doses, volumes) ainsi que les principaux resultats seront presentes.

Objectif La radiotherapie stereotaxique hepatique avec tracking requiere l’implantation de marqueurs fiduciels intrahepatiques. Nous rapportons ici notre experience et decrivons une nouvelle methode d’implantation. Materiel et methodes Nous avons implante 1444 marqueurs fiduciels, 834 simples, 610 lies, chez 328 patients pour le traitement de 424 lesions hepatiques. Deux methodes d’implantations ont ete comparees: la methode standard, qui consiste en une implantation de marqueur fiduciel par marqueur fiduciel et la methode en cube consistant a implanter deux paires de marqueurs fiduciels lies de maniere a former deux arretes d’un cube au centre duquel se situe la tumeur. Nous avons utilise la methode standard de mai 2007 a mai 2010 chez 153 patients (631 marqueurs fiduciels non lies) et la methode en cube chez 175 patients d’avril 2010 a mars 2013 (813 marqueurs fiduciels, 610 lies et 203 non lies). Resultats La duree d’intervention etait plus courte avec la methode en cube (46 contre 61 min ; p p p Conclusion Nous proposons ici une nouvelle technique de pose de marqueurs fiduciels intrahepatiques reposant sur l’utilisation de marqueurs fiduciels lies permettant moins de points d’entree et un temps plus court d’implantation. Cette technique est moins sujette a des complications et la migration des marqueurs fiduciels.