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Presents a study that examined postfire succession in forests where Pinus (P.) albicaulis is common in two areas in southern British Columbia. Influence of fire on structure and composition of individual plants as well as the pattern of forests on the landscape; Materials and methodology; Discussion on the patterns of fire disturbance and the successional trends reported for P. albicaulis forests.

Examines the cultural and nutritional importance of the red alga Porphyra abbottae Krishnamurthy and related species in the traditional food systems of the indigenous peoples of the Pacific Coast of Canada. Botany and ecology of P. abbottae; Summary of the traditional indigenous knowledge of the harvesting, processing and use of Porphyra; Applications and issues.

Middle Eocene lacustrine deposits in south-central British Columbia and north-central Washington state preserve two types of Ginkgo leaves. A morphotype characterized by deeply divided multiple lobes is herein described as Ginkgo dissecta sp.nov. Leaves that are either undivided or shallowly divided into bilobate symmetry are indistinguishable from foliage of extant Ginkgo biloba Linnaeus. These fossils contradict the widely held belief that only a single Ginkgo species, Ginkgo adiantoides (Unger) Heer, inhabited Cenozoic forests.Key words: British Columbia, Eocene, fossil, Ginkgo adiantoides, Ginkgo biloba, Ginkgo dissecta, McAbee, Republic, Tertiary, Washington.Des dépôts lacustres de l'Éocène moyen, dans le centre-sud de la Colombie-Britannique et le centre-nord de l'état de Washington, ont permis la conservation de deux types de feuilles du Ginkgo. On décrit ici le Ginkgo dissecta sp.nov., un morphotype caractérisé par des lobes multiples profondément divisés. Les feuilles qui sont soit indivises ou faiblement divisées selon une symétrie bilobée sont indistinctes du feuillage du Ginkgo biloba Linnaeus actuel. Ces fossiles contredisent l'idée reçue qu'une seule espèce de Ginkgo, le Ginkgo adiantoides (Unger) Heer, habitait les forêts mésozoïques.Mots clés : Colombie-Britannique, Eocène, fossile, Ginkgo adiantoides, Ginkgo biloba, Ginkgo dissecta, McAbee, Republic, tertiaire, Washington.[Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]

The population structures of Armillaria ostoyae (Romagn.) Herink and Armillaria sinapina Bérubé & Dessureault were investigated at a study site near Williams Lake in the central interior of British Columbia. One hundred and twenty eight fungal isolates were examined from nine infection centers and individual genets were delineated using random amplified polymorphic DNA (RAPD) analysis and somatic incompatibility tests. Six A. ostoyae genets ranging in size from 0.70 to >15 ha were detected. The population structure of A. ostoyae was consistent with a clonal reproductive strategy, and infection centers were occupied by single A. ostoyae genets or ramets thereof. Eighteen relatively small A. sinapina genets were detected, with infection centers being occupied by multiple genets. Armillaria sinapina appears to be more pathogenic to coniferous hosts than previously reported in the region. Armillaria ostoyae appears to initiate new infections of available substrate via airborne basidiospores at a lower frequency than A. sinapina. However once established, A. ostoyae can spread quite aggressively and capture significant amounts of secondary resources, while A. sinapina is unable to do so. The results of somatic incompatibility tests used to differentiate genets corresponded with the results of RAPD analysis, with only one minor discrepancy.Key words: Armillaria, RAPD, population structure, genet, ramet, clone.Les auteurs ont examiné les structures de population de l'Armillaria ostoyae (Romagn.) Herink et de l'Armillaria sinapina Bérubé & Dessureault sur une station d'étude située près du lac Williams, dans le centre-intérieur de la Colombie-Britannique. Ils ont examiné 128 isolats fongiques à partir de 9 centres d'infection, et ils ont déterminé les genets individuels en utilisant l'analyse du polymorphisme aléatoire de l'ADN amplifié (RAPD), et des tests d'incompatibilité somatiques. Ils ont observé six genets de l'A. ostoyae occupant des surface allant de 0,70 à >15 ha. La structure des populations de l'A. ostoyae est congruente avec une stratégie de reproduction clonale, et les centres d'infection sont occupés par des genets individuels de l'A. ostoyae, ou encore des ramettes en découlant. Ils ont décelé 18 genets relativement petits de l'A sinapina, dont les centres d'infection sont occupés par plusieurs genets. L'A. sinapina semble plus fortement pathogène pour les hôtes conifériens que ce qui a été rapporté pour cette région. Il semble que l'A. ostoyae initie de nouvelles infections de susbtrat disponible à partie de spores aéroportées, selon une fréquence plus faible que l'A. sinapina. Cependant, une fois établi, l'A. ostoyae peut se répandre de façon passablement agressive et capturer des quantités significative de ressources secondaires, alors que l'A. sinapina est incapable de le faire. Les résultats des tests d'incompatibilité, utilisés pour différencier les genets, correspondent avec les résultats des analyses RAPD, avec une seule déviance mineure.Mots clés : Armillaria, RAPD, structure des populations, genet, ramette, clone.[Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]

The population structure of Armillaria ostoyae (Romagn.) Herink was investigated at a study site in the interior cedar–hemlock zone of the southern interior of British Columbia. Eight 500-m long, randomly placed transects located at least 500 m apart were systematically sampled and individual genets were delineated using Random Amplified Polymorphic DNA (RAPD) analysis. Average genet intersect length was 79 m, and an estimated 88% of the area surveyed was occupied by genets <2 ha in size. The spatial distribution of genets in relation to one another was quite complex, with isolates of the same genet often non-contiguous along the transect. The location of genets could not be determined from aboveground symptom expression. Isolates collected from adjacent hosts within small groups of symptomatic hosts (infection foci) did not necessarily belong to the same genet, but single genets could occupy several infection foci. There was no relationship between geographic distance and genetic similarity of genets, suggesting random mating events for genet origin and long term maintenance of genetic identity.Key words: Armillaria, RAPD, population structure, genet, ramet, clone.Les auteurs ont examiné la structure des populations de l'Armillaria ostoyae (Romagn.) Herink dans une station d'étude de la zone à cèdre et pruche de l'intérieur, située dans le sud-intérieur de la Colombie-Britannique. Ils ont systématiquement échantillonné huit transects de 500 m de long, placés aléatoirement et distants d'au moins 500 m l'un de l'autre, et ils ont défini individuellement les genets en utilisant le polymorphisme aléatoire de l'ADN amplifié (RAPD). La longueur moyenne de l'intersect des genets est de 79 m, et environ 88% de la surface examinée est occupée par des genets de moins de 2 ha. La distribution spatiale des genets en relation l'un à l'autre est assez complexe, certains isolats du même genet n'étant souvent pas contigus le long du transect. La localisation des genets ne peut pas être déterminée à partir de l'expression épigée des symptômes. Des isolats récoltés d'hôtes adjacents, à l'intérieur de petits groupes d'hôtes symptomatiques (foyers d'infection), n'appartiennent pas nécessairement au même genet, mais d'autre part, des genets individuels peuvent occuper plusieurs foyers d'infection. Il n'y a pas de relation entre la distance géographique et la similarité génétique des genets, ce qui suggère l'implication d'évènements de croisements aléatoires à l'origine des genets et pour le maintien à long terme de l'identité génétique.Mots clés : Armillaria, RAPD, structure des populations, genet, ramette, clone.[Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]