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The population structure of Armillaria ostoyae (Romagn.) Herink was investigated at a study site in the interior cedar–hemlock zone of the southern interior of British Columbia. Eight 500-m long, randomly placed transects located at least 500 m apart were systematically sampled and individual genets were delineated using Random Amplified Polymorphic DNA (RAPD) analysis. Average genet intersect length was 79 m, and an estimated 88% of the area surveyed was occupied by genets <2 ha in size. The spatial distribution of genets in relation to one another was quite complex, with isolates of the same genet often non-contiguous along the transect. The location of genets could not be determined from aboveground symptom expression. Isolates collected from adjacent hosts within small groups of symptomatic hosts (infection foci) did not necessarily belong to the same genet, but single genets could occupy several infection foci. There was no relationship between geographic distance and genetic similarity of genets, suggesting random mating events for genet origin and long term maintenance of genetic identity.Key words: Armillaria, RAPD, population structure, genet, ramet, clone.Les auteurs ont examiné la structure des populations de l'Armillaria ostoyae (Romagn.) Herink dans une station d'étude de la zone à cèdre et pruche de l'intérieur, située dans le sud-intérieur de la Colombie-Britannique. Ils ont systématiquement échantillonné huit transects de 500 m de long, placés aléatoirement et distants d'au moins 500 m l'un de l'autre, et ils ont défini individuellement les genets en utilisant le polymorphisme aléatoire de l'ADN amplifié (RAPD). La longueur moyenne de l'intersect des genets est de 79 m, et environ 88% de la surface examinée est occupée par des genets de moins de 2 ha. La distribution spatiale des genets en relation l'un à l'autre est assez complexe, certains isolats du même genet n'étant souvent pas contigus le long du transect. La localisation des genets ne peut pas être déterminée à partir de l'expression épigée des symptômes. Des isolats récoltés d'hôtes adjacents, à l'intérieur de petits groupes d'hôtes symptomatiques (foyers d'infection), n'appartiennent pas nécessairement au même genet, mais d'autre part, des genets individuels peuvent occuper plusieurs foyers d'infection. Il n'y a pas de relation entre la distance géographique et la similarité génétique des genets, ce qui suggère l'implication d'évènements de croisements aléatoires à l'origine des genets et pour le maintien à long terme de l'identité génétique.Mots clés : Armillaria, RAPD, structure des populations, genet, ramette, clone.[Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]