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L’apparition de troubles du sommeil (TS) chez l’adulte atteint de mucoviscidose (MV) sous elexacaftor-tezacaftor-ivacaftor (ETI) a été rapportée. Aucune étude sur le chronotype n’a été réalisée sous ETI ni chez l’enfant ni chez l’adulte. L’objectif de l’étude était d’évaluer la nature du chronotype des enfants traités par ETI et leur qualité de sommeil.

Las pruebas funcionales respiratorias (PFR) y del sueño en los niños requieren una gran experiencia y el uso de técnicas y normas adecuadas. Esto es particularmente cierto en los niños pequeños (preescolares), donde algunas técnicas no son posibles (por ejemplo, la espirometría forzada). Las normas dependen sobre todo del sexo, la edad, la estatura y la etnia de los pacientes, y no pueden extrapolarse de las utilizadas en los adultos. Por lo tanto, deben aplicarse las normas definidas por los expertos a escala nacional e internacional. La PFR busca un síndrome obstructivo o restrictivo, o una combinación de ambos. Las patologías más frecuentemente investigadas en los niños son las bronquiales y, por tanto, las obstructivas, la primera de las cuales es el asma. En este contexto, el estudio de la reactividad bronquial suele efectuarse en forma de pruebas de broncodilatación o broncoconstricción en función de la presentación clínica y de los resultados de la función respiratoria básica. Otras patologías controladas en PFR son las patologías malformativas o adquiridas del pulmón, de la caja torácica o neuromusculares. Para la exploración de los trastornos del sueño, la polisomnografía (PSG) nocturna es la prueba de referencia, pero la poligrafía respiratoria, una prueba más sencilla, puede servir en algunos casos. Los trastornos del sueño detectados en los niños son las anomalías de la duración del sueño, las parasomnias, los trastornos respiratorios durante el sueño y, por último, los trastornos del ritmo circadiano. En los casos de síndrome de apnea obstructiva del sueño clínico, la PSG sólo está indicada como procedimiento de primera línea antes de la edad de 3 años, en los casos de comorbilidad asociada o riesgo quirúrgico, o en ausencia de obstrucción por patología otorrinolaringológica (en particular, sin hipertrofia amigdalina o vegetaciones adenoideas) en la nasofibroendoscopia practicada por un otorrinolaringólogo.

La capacité de transfert du monoxyde de carbone (DLCO) est mesurée par la méthode de référence durant une apnée (DLCOap) ou, en cas d’impossibilité d’obtenir une DCLOap, en respiration spontanée avec d’autres méthodes dont celle de la réinspiration (rebreathing ; rb). L’objectif était d’évaluer la faisabilité en clinique de la mesure en réinspiration et sa corrélation avec la mesure en apnée.

L’exploration fonctionnelle respiratoire (EFR) de l’enfant est le plus souvent réalisée pour étayer le diagnostic ou participer au suivi d’un asthme. Quelle que soit la pathologie respiratoire motivant l’EFR, sa répétition permet d’établir un pronostic (trajectoires) et de guider les actions de prévention.

Le plan d’action papier (PAP) réduit les recours en urgence pour exacerbation asthmatique. Le PAP est toutefois sous-utilisé et souvent axé sur le contrôle de l’asthme. L’innovation est une AppWeb contenant un logiciel expert permettant le diagnostic de sévérité de l’exacerbation et donnant un plan d’action personnalisé numérique (PAN) lorsque le besoin de recours médical est important. Le logiciel contient des symptômes et des traitements définis par des groupes de travail des sociétés savantes (SPLF et SP2A, respectivement pour les adultes et les enfants). L’objectif principal est d’évaluer l’effet du PAN sur la fréquence des recours en urgence. Les objectifs secondaires sont d’évaluer l’adhésion au PAN versus PAP et l’appréciation qualitative du PAN.

Le test de provocation bronchique à la méthacholine est couramment utilisé pour la prise en charge de l’asthme. Le groupe de travail « Fonction Respiratoire » de la SPLF propose ici une série de recommandations concernant la réalisation et l’interprétation de ce test, élaborées dans l’esprit de la méthodologie proposée par la Haute Autorité de santé. Les thèmes abordés sont le choix des critères de jugement, la gestion des inspirations profondes, ainsi que la place du test dans la prise en charge de l’asthme, de l’asthme induit par l’exercice et de l’asthme professionnel.

La courbe débit-volume est l’examen le plus souvent effectué chez l’enfant asthmatique ou suspect d’asthme. Sa réalisation requiert une maîtrise et une coordination du souffle que les enfants acquièrent à un âge variable allant de 3 ans à environ 8 ans, en général autour de 6 ans. Cet examen est indiqué chez tout enfant diagnostiqué asthmatique ou suspect de l’être pour conforter le diagnostic et évaluer le risque futur. Il sera contrôlé après mise en route ou modification d’un traitement de fond et après son éventuel arrêt. Pour être correctement interprétée, la courbe débit-volume doit répondre à des critères de qualité fonction de l’âge et ses résultats doivent être comparés à des normes adaptées à l’âge, au sexe, à la taille et à l’origine ethnique de l’enfant. La diminution du rapport volume maximal expiré en 1s (VEMS) sur capacité vitale (CV) en dessous de la limite inférieure de la normale (<−1,64 z-score) définit l’obstruction bronchique centrale, la plus souvent rencontrée. La réversibilité de l’obstruction après administration d’un bronchodilatateur est jugée sur l’amélioration de plus de 12 % du VEMS et/ou de la CV. Il est décrit un profil d’obstruction des voies aériennes plus périphérique responsable de l’amputation de la CV (par fermeture prématurée des voies aériennes périphériques) avec une diminution harmonieuse du VEMS et donc un VEMS/CV dans les limites de la normale. Dans ce cas, s’il n’y a pas de réversibilité significative, d’autres mesures de fonction respiratoire sont nécessaires pour déterminer le mécanisme de l’altération de la fonction pulmonaire.

Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) de l’adolescent, dont la prévalence se situe entre 1 à 4 %, fait la transition entre le SAOS de l’enfant et celui de l’adulte et révèle de nombreuses manifestations phénotypiques liées à l’âge.

L’objectif de cette étude était d’étudier l’agrégation familiale du syndrome d’apnées obstructives du sommeil et de l’hypertrophie amygdalienne.

.Purpose:
To evaluate skin tests with clinical ocular allergy and to compare cutaneous hypersensitivity and seasonal allergic conjunctivitis in children.
Case-report:
A 10-year-old girl presented a typical seasonal allergic conjunctivitis, never treated and the onset occurred one year before. She was skin tested for the allergy. Complete blood tests were also performed. An ocular treatment was given: olopatadine over 45 days.
Results:
She showed a complete cutaneous anergy including histamine and codeine controls. Radioallergosorbent tests (RAST) found numerous great positivity to different allergens. Within 30 days under ocular treatment, she recovered completely from symptoms and clinical signs.
Conclusion:
Clinical typical seasonal ocular allergy in children with cutaneous anergy should be explored further or at least treated. Cutaneous hypersensitivity should be evaluated more precisely with a larger study comparing results in general allergy and in ocular allergy where the anergy seems to be more frequent.