51 results on '"prolificite"'
Search Results
2. Search and functional analysis of mutations affecting prolificacy of meat sheep
- Author
-
Chantepie, Louise, Génétique Physiologie et Systèmes d'Elevage (GenPhySE ), École nationale supérieure agronomique de Toulouse [ENSAT]-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Institut National Polytechnique de Toulouse (Toulouse INP), Stéphane Fabre, Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-École nationale supérieure agronomique de Toulouse (ENSAT), Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE), APISGENE, PROLIGEN, PROLIGEN, PIRINNOVI, and European Project: EFA103/15,FEDER - POCTEFA PIRRINOVI
- Subjects
reproduction ,ovine ,[SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,ovin ,ovulation ,[SDV.BBM.GTP]Life Sciences [q-bio]/Biochemistry, Molecular Biology/Genomics [q-bio.GN] ,Prolificacy ,[SDV.BBM.BM]Life Sciences [q-bio]/Biochemistry, Molecular Biology/Molecular biology ,gène majeur ,PMSG ,major gene ,Prolificité ,[SDV.BDLR.RS]Life Sciences [q-bio]/Reproductive Biology/Sexual reproduction - Abstract
In meat sheep, prolificacy (number of lambs per lambing) is one of the most important technical-economic levers to improve the breeders’ profitability. From a genetic point of view, this trait is lowly heritable. However, point mutations having a significant effect on increasing ovulation rate and prolificacy have been identified in four fecundity (Fec) genes, named FecB/BMPR1B, FecG/GDF9, FecX/BMP15 and FecL/B4GALNT2. The objective of this thesis was the identification of new or already known prolificacy mutations, mainly in French meat sheep breeds for which the segregation of such mutations was statistically hypothesized. By combining genetics, high- throughput genomics, and molecular and functional biology approaches, I identified five mutations with major effect on prolificacy in eight different sheep populations. All these mutations affect the fecundity genes already known, but two of them in the FecX/BMP15 gene are newly identified by this thesis work. In particular, the new FecXN mutation is, unlike the 9 other known prolific mutations in BMP15, located in the regulatory part of the gene inhibiting its expression.Once these mutations are identified, the information of frequency of the presence of each mutation in the populations and the effect on the reproductive physiology of the ewes must be considered for the management of breeding schemes. In this context, I particularly studied the FecLL mutation of the FecL/B4GALNT2 gene previously discovered in Lacaune sheep and that I also evidenced in the Noire du Velay breed. The FecLL mutation, known to increase the ewe prolificacy by +0.45 lambs per lambing, has no impact on the birth weight or growth rate of ewe lambs carrying this mutation. However, ewe lambs carrying FecLL have an advanced puberty of 2 months on average. This sexual precocity is however not explained by the observation of lower circulating concentrations of two ovarian hormones, AMH and inhibin A. Interestingly for the practice of animal insemination, ewes carrying FecLL are more fertile than non-carrier ewes partly due to their better sensitivity to the PMSG administration used to synchronize ovulations.All of this thesis work brings new elements to improve the genetic and physiological management of meat sheep populations in which a mutation with major effect on prolificacy segregates.; Chez les ovins allaitants, la prolificité (nombre d’agneaux par mise-bas) est un des leviers technico- économique important pour améliorer la rentabilité d’un élevage. D’un point de vue génétique, ce caractère est très peu héritable, mais des mutations ponctuelles ayant un effet important sur l’augmentation du nombre d’ovulations et de la prolificité ont été identifiées dans quatre gènes dits de fécondité (Fec) et nommés FecB/BMPR1B, FecG/GDF9, FecX/BMP15 et FecL/B4GALNT2. L’objectif de cette thèse est l’identification de mutations de prolificités, nouvelles ou connues, principalement dans les races ovines allaitantes françaises pour lesquelles est posée une hypothèse statistique de ségrégation de telles mutations. En associant des approches de génétique, de génomique à haut-débit, et de biologie moléculaire et fonctionnelle, j’ai identifié cinq mutations à effet majeur associées à la prolificité dans huit populations ovines différentes. Toutes ces mutations affectent les gènes déjà connus, mais deux d’entre-elles sont nouvellement identifiées par cette thèse dans le gène FecX/BMP15. En particulier, la nouvelle mutation FecXN est, à la différence des 9 autres mutations prolifiques connues de BMP15, située dans la partie régulatrice du gène inhibant son expression.Une fois ces mutations identifiées, l’information de fréquence de la présence de chaque mutation dans les populations et de son effet sur la reproduction des brebis doit être prise en compte pour la gestion des schémas de sélection. Dans ce cadre, j’ai particulièrement étudié la mutation FecLL du gène FecL/B4GALNT2 précédemment découverte en race Lacaune et que j’ai mis en évidence dans la race Noire du Velay. La mutation FecLL, connue pour augmenter la prolificité des brebis de +0,45 agneaux par mise-bas, n’a pas d’impact sur le poids de naissance ou la croissance des agnelles porteuses de cette mutation. Cependant, les agnelles porteuses de FecLL présentent une puberté avancée de 2 mois en moyenne. Cette précocité sexuelle n’est pourtant pas expliquée par l’observation de concentrations circulantes plus faibles de deux hormones ovariennes AMH et inhibine A. De façon intéressante pour la pratique de l’insémination animale, les brebis porteuses de FecLL sont plus fertiles que les brebis non mutées en partie grâce à leur meilleure sensibilité à l’hormone PMSG utilisée de façon exogène pour synchroniser les ovulations.L’ensemble de ce travail de thèse apporte de nouveaux éléments pour améliorer la gestion génétique et physiologique des populations ovines allaitantes dans lesquelles ségrégent des mutations à effet majeur sur la prolificité.
- Published
- 2019
3. Mise en évidence et analyse fonctionnelle des mutations affectant la prolificité des ovins allaitants
- Author
-
Chantepie, Louise, Institut National Polytechnique de Toulouse - Toulouse INP (FRANCE), and Institut National Polytechnique de Toulouse - INPT (FRANCE)
- Subjects
Ovulation ,Ovin ,Reproduction ,Gène majeur ,PMSG ,Prolificité - Abstract
Chez les ovins allaitants, la prolificité (nombre d’agneaux par mise-bas) est un des leviers technico-économique important pour améliorer la rentabilité d’un élevage. D’un point de vue génétique, ce caractère est très peu héritable, mais des mutations ponctuelles ayant un effet important sur l’augmentation du nombre d’ovulations et de la prolificité ont été identifiées dans quatre gènes dits de fécondité (Fec) et nommés FecB/BMPR1B, FecG/GDF9, FecX/BMP15 et FecL/B4GALNT2. L’objectif de cette thèse est l’identification de mutations de prolificités, nouvelles ou connues, principalement dans les races ovines allaitantes françaises pour lesquelles est posée une hypothèse statistique de ségrégation de telles mutations. En associant des approches de génétique, de génomique à haut-débit, et de biologie moléculaire et fonctionnelle, j’ai identifié cinq mutations à effet majeur associées à la prolificité dans huit populations ovines différentes. Toutes ces mutations affectent les gènes déjà connus, mais deux d’entre-elles sont nouvellement identifiées par cette thèse dans le gène FecX/BMP15. En particulier, la nouvelle mutation FecXN est, à la différence des 9 autres mutations prolifiques connues de BMP15, située dans la partie régulatrice du gène inhibant son expression. Une fois ces mutations identifiées, l’information de fréquence de la présence de chaque mutation dans les populations et de son effet sur la reproduction des brebis doit être prise en compte pour la gestion des schémas de sélection. Dans ce cadre, j’ai particulièrement étudié la mutation FecLL du gène FecL/B4GALNT2 précédemment découverte en race Lacaune et que j’ai mis en évidence dans la race Noire du Velay. La mutation FecLL, connue pour augmenter la prolificité des brebis de +0,45 agneaux par mise-bas, n’a pas d’impact sur le poids de naissance ou la croissance des agnelles porteuses de cette mutation. Cependant, les agnelles porteuses de FecLL présentent une puberté avancée de 2 mois en moyenne. Cette précocité sexuelle n’est pourtant pas expliquée par l’observation de concentrations circulantes plus faibles de deux hormones ovariennes AMH et inhibine A. De façon intéressante pour la pratique de l’insémination animale, les brebis porteuses de FecLL sont plus fertiles que les brebis non mutées en partie grâce à leur meilleure sensibilité à l’hormone PMSG utilisée de façon exogène pour synchroniser les ovulations. L’ensemble de ce travail de thèse apporte de nouveaux éléments pour améliorer la gestion génétique et physiologique des populations ovines allaitantes dans lesquelles ségrégent des mutations à effet majeur sur la prolificité. L’ensemble de ce travail de thèse apporte de nouveaux éléments pour améliorer la gestion génétique et physiologique des populations ovines allaitantes dans lesquelles ségrégent des mutations à effet majeur sur la prolificité.
- Published
- 2019
4. Body condition variations in sheep and breeding systems in the region of Chlef, Algeria
- Author
-
M. Taherti and R. Kaidi
- Subjects
fertilité ,brebis Ouled-Djellal ,Algérie ,Ovin ,aliment pour animaux ,état corporel ,prolificité ,SF1-1100 ,Animal culture - Abstract
The body condition scores (BCS) of groups of ewes bred for reproduction were recorded in farms in Chlef region in Algeria from February 2012 to April 2013. The body condition and body reserves of the ewes varied according to i) the category of females concerned (lambing in September-October or in March-April) and ii) the farm. Taking into account the quantities of fodder distributed in supplement of pasture and body reserves enabled us to make a diagnosis on the feed in each situation. The interaction between the body condition of the ewes at mating and their reproduction performance was evidenced. Indeed, as BCS at mating increased, fertility and prolificacy improved. The ewes with BCS at mating higher than or equal to 3 obtained 100% fertility and 130% prolificacy rates, against 76% and 100%, respectively, for those with a BCS lower than 3.
- Published
- 2017
5. Search for a pleiotropic effect of the FecLL prolific mutation in Lacaune meat sheep
- Author
-
Chantepie, L., Bordes, A., Aletru, M., Burg, C., Debat, F., Rialland, F., Rivemale, F., Tadi, N., Alabart, J-L, Belen Lahoz, Fabre, S., Génétique Physiologie et Systèmes d'Elevage (GenPhySE ), École nationale supérieure agronomique de Toulouse [ENSAT]-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Ovitest, Cryopic, Centro de Investigacion y Technologia Agroalimentaria de Aragon (CITA), Centro de Investigacion y Tecnologia Agroalimentaria de Aragon (CITA), UE FEDER-PIRINNOVI, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), and Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-École nationale supérieure agronomique de Toulouse [ENSAT]
- Subjects
fertilité ,puberté ,[SDV.OT]Life Sciences [q-bio]/Other [q-bio.OT] ,ovin ,analyse hormonale ,prolificité ,maitrise de la reproduction ,Autre (Sciences du Vivant) - Abstract
Search for a pleiotropic effect of the FecLL prolific mutation in Lacaune meat sheep. 22. Annual Conference of the European Society for Domestic Animal Reproduction (ESDAR)
- Published
- 2018
6. Effet des caractéristiques des éjaculats sur les performances de reproduction
- Author
-
Guedmime, Nadir, Génétique, Expérimentation et Système Innovants (GenESI), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and AGROCAMPUS OUEST, FRA.
- Subjects
fertilité ,[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,motilité ,parité ,[SDV.BA.ZV]Life Sciences [q-bio]/Animal biology/Vertebrate Zoology ,prolificité ,verrat ,mobilité - Abstract
The analysis focuses on the entirety of the data of reproduction recorded on a program of swine selection of 10 generations (the CMJR program). All collections of seeds in the artificial insemination center and the data of the cycles of of reproduction that collections have allowed to obtain. On average, the volume collected by ejaculate is 214 ±80 ml, it increases with the age of the boar. The average concentration collected is 440 ± 76 million SPZ /ml, it increases up to 12 months and then stabilizes finally the number of SPZ collected by ejaculate is 84 ± 33billion, it increases of puberty up to 14 months then stabilizes. The qualitative characteristics of the ejaculate vary little, mobility average is 84%, the motility is 3.5 and the viability 87%. After the analysis of the data concerning the performance of reproduction in the female in function of the parity, it has noticed a decline of fertility when the rank of the scope is greater than 3. The relationship of the characteristics of the male and the ejaculates, and the reproductive performance of females were allowed to observe unexpected results, best fertility are obtained with the classes of mobility 85%; beyond for classes 90- 95%, fertility decreases. Regarding the criterion of motilités The results are evolving in the same sense that those of the mobilities so it must be vigilant for the classes of motilités the highest (4.5). The assessment in the laboratory of ejaculates is not a good predictor of fertility. In contrast, the best the mobilities have allowed us to obtain the largest prolificités. The study and analysis of the effect age of seed, have permitted the observation of lower fertility with the increase of the interval between the collection and the IAF, in other words the sperm become less likely to lead to fertilisation with the extension of the age of seed.The age of boar at the time of the collection influence fertility in the decline, which can be explained by the fact that the boars Less than a year have of ejaculates to average mobilities of 85% thus more fertile and the boars over a year to average mobilities in 94%, have lower fertility. These results deserve to be confirmed on other personnel but it could lead to review the criteria for the selection of ejaculates including by providing a greater attention to the ejaculates presenting the best features in the laboratory; L’analyse porte sur l’intégralité des données de reproduction enregistrées sur un programme de sélection porcine de 10 générations (le programme CMJR). Toutes les collectes de semences dans le centre d’insémination artificielle et les données des cycles de de reproduction que les collectes ont permis d’obtenir. En moyenne, le volume collecté par éjaculat est de 214 ±80 ml, il augmente avec l’âge du verrat. La concentration moyenne collectée est de 440 ± 76 millions de spz /ml, elle augmente jusqu’à 12 mois puis se stabilise enfin le nombre de spz collectés par éjaculat est de 84 ± 33milliards, il augmente de la puberté jusqu’à 14 mois puis se stabilise. Les caractéristiques qualitatives de l’éjaculat varient peu, la mobilité moyenne est de 84%, la motilité est de 3,5 et la viabilité 87%. Après l’analyse des données concernant les performances de reproduction chez la femelle en fonction de la parité, on a remarqué une baisse de fertilité lorsque le rang de la portée est supérieur à 3. La mise en relation des caractéristiques du mâle et des éjaculats et les performances de reproduction des femelles ont permis d’observer des résultats inattendus, les meilleures fertilités sont obtenues avec les classes de mobilité 85% ; au-delà pour les classes 90- 95%, la fertilité diminue. Concernant le critère de motilité les résultats évoluent dans le même sens que ceux de la mobilité donc il faut faire vigilant pour les classes de motilité les plus élevées (4,5). L’évaluation au laboratoire des éjaculats n’est pas un bon critère de prédiction de fertilité. En revanche, les meilleures mobilités ont permis d’obtenir des plus grandes prolificités. L’étude et l’analyse de l’effet âge de semence, ont permis d’observer des fertilités inférieures avec l’augmentation de l’intervalle entre la collecte et l’IAf, autrement dit les spermatozoïdes deviennent moins fécondants avec l’allongement de l’âge de semence. L’âge de verrat au moment de la collecte influence la fertilité à la baisse, ce qui peut s’expliquer par le fait que les verrats de moins d’un an ont des éjaculats à mobilité moyenne de 85 % donc plus fertiles et les verrats plus d’un an à moyenne mobilités 94%, ont des fertilités inférieures. Ces résultats méritent d’être confirmés sur d’autres effectifs mais il pourrait conduire à revoir les critères de sélection des éjaculats notamment en apportant une plus grande attention aux éjaculats présentant les meilleures caractéristiques au laboratoire.
- Published
- 2018
7. Control of gastro-intestinal parasites with essential oil from Zanthoxylum zanthoxyloides (Fagara zanthoxyloides)
- Author
-
Azando, E.V.B., Olounlade, P. A., Hounzangbé–Adoté, M.S., Ha, T. B. Tam, Fabre, Nicolas, Valentin, Alexis, Université d’Abomey-Calavi (UAC), Pharmacochimie et Biologie pour le Développement (PHARMA-DEV), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut de Chimie de Toulouse (ICT-FR 2599), Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), and Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut de Chimie du CNRS (INC)
- Subjects
Ovins Djallonké ,larvae implantation ,[SDV.BA.MVSA]Life Sciences [q-bio]/Animal biology/Veterinary medicine and animal Health ,excrétion des œufs ,prolificité ,Trichostrongylus colubriformis ,Larves L3 ,egg excretion ,essential oil ,prolificacy ,implantation larvaire ,Haemonchus contortus ,Huile essentielle ,Zanthoxylum zanthoxyloïdes ,Larvae L3 ,Zanthoxylum zanthoxyloides ,Djallonke sheep breeds - Abstract
International audience; In order to evaluate the anthelmintic properties of the essential oil of Zanthoxylum zanthoxyloides commonly named Fagara on the nematode gastrointestinal parasites, Djallonke breed lambs have been orally treated with 1 mL/kg and 2 mL/kg of the essential oil diluted to 0.42% for 3 days during natural infestation or controlled infestation with larvae L3 of Haemonchus contortus and Trichostrongylus colubriformis at the rate of 3000 larvae by animal. Compared to the not treated witnesses, the Fagara essential oil has significantly (p < 0.05) reduced the faecal excretion of strongle eggs, the viability and prolificacy of the adult worms and has assured the maintenance of the body weight and the haematocrit throughout the 5 week long trial, independently of the doses tested. In addition, this treatment has markedly alleviated the larvae L3 implantation with a dose-effect relation only on the T.colubriformis larvae. These results clearly show that the Fagara essential oil exhibit some powerful antihelminthic effects and after identification of the all active substances, the use of this essential oil would contribute to limit the use of chemical anthelmintic compounds.; Dans le but d’évaluer les propriétés anthelminthiques de l’huile essentielle de Zanthoxylumzanthoxyloïdes communément appelé Fagara sur les nématodes parasites gastro-intestinaux, des agneaux Djallonké ont été traités par voie orale à raison de 1 mL/kg ou de 2 mL/kg de suspension huileuse à 0.42% pendant 3 jours lors d’infestation naturelle ou d’infestation contrôlée avec des larves infestantes L3 d’Haemonchus contortus et de Trichostrongylus colubriformis à raison de 3000 larves par animal. Par rapport aux témoins non traités, l’huile essentielle de Fagara a significativement (p < 0.05) réduit l’excrétion fécale des œufs de strongles ainsi que la viabilité des vers adultes et leur prolificité et a permis le maintien du poids vif et de l’hématocrite durant les 5 semaines d’expérimentation indépendamment des doses testées. De plus, ce traitement a considérablement limité l’implantation des larves infestantes d’Haemonchus et de T. colubriformis de façon dose-dépendante pour ces dernières. Ces résultats démontrent que l’huile essentielle de Fagara présente des effets antihelminthiques puissants et après identification de la totalité des principes actifs, l’usage de cette huile essentielle pourrait constituer une alternative à l’emploi des anthelminthiques chimiques.
- Published
- 2017
8. Contrôle des parasitoses gastro-intestinales ovines par l’huile essentielle de Zanthoxylum zanthoxyloïdes (Fagara zanthoxyloïdes)
- Author
-
Azando, E. V. B., Olounlade, A. P., Hounzangbe-Adote, M. S., Ha, T. B. Tam, Fabre, N., alexis valentin, Université d’Abomey-Calavi (UAC), Pharmacochimie et Biologie pour le Développement (PHARMA-DEV), Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut de Chimie de Toulouse (ICT-FR 2599), Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Université d’Abomey-Calavi = University of Abomey Calavi (UAC), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut de Chimie de Toulouse (ICT), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3), Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT)-Institut de Chimie du CNRS (INC)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université de Toulouse (UT)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3), and Université de Toulouse (UT)
- Subjects
Ovins Djallonké ,larvae implantation ,[SDV.BA.MVSA]Life Sciences [q-bio]/Animal biology/Veterinary medicine and animal Health ,excrétion des œufs ,prolificité ,Trichostrongylus colubriformis ,Larves L3 ,egg excretion ,essential oil ,prolificacy ,implantation larvaire ,Haemonchus contortus ,Huile essentielle ,Zanthoxylum zanthoxyloïdes ,Larvae L3 ,Zanthoxylum zanthoxyloides ,Djallonke sheep breeds - Abstract
International audience; In order to evaluate the anthelmintic properties of the essential oil of Zanthoxylum zanthoxyloides commonly named Fagara on the nematode gastrointestinal parasites, Djallonke breed lambs have been orally treated with 1 mL/kg and 2 mL/kg of the essential oil diluted to 0.42% for 3 days during natural infestation or controlled infestation with larvae L3 of Haemonchus contortus and Trichostrongylus colubriformis at the rate of 3000 larvae by animal. Compared to the not treated witnesses, the Fagara essential oil has significantly (p < 0.05) reduced the faecal excretion of strongle eggs, the viability and prolificacy of the adult worms and has assured the maintenance of the body weight and the haematocrit throughout the 5 week long trial, independently of the doses tested. In addition, this treatment has markedly alleviated the larvae L3 implantation with a dose-effect relation only on the T.colubriformis larvae. These results clearly show that the Fagara essential oil exhibit some powerful antihelminthic effects and after identification of the all active substances, the use of this essential oil would contribute to limit the use of chemical anthelmintic compounds.; Dans le but d’évaluer les propriétés anthelminthiques de l’huile essentielle de Zanthoxylumzanthoxyloïdes communément appelé Fagara sur les nématodes parasites gastro-intestinaux, des agneaux Djallonké ont été traités par voie orale à raison de 1 mL/kg ou de 2 mL/kg de suspension huileuse à 0.42% pendant 3 jours lors d’infestation naturelle ou d’infestation contrôlée avec des larves infestantes L3 d’Haemonchus contortus et de Trichostrongylus colubriformis à raison de 3000 larves par animal. Par rapport aux témoins non traités, l’huile essentielle de Fagara a significativement (p < 0.05) réduit l’excrétion fécale des œufs de strongles ainsi que la viabilité des vers adultes et leur prolificité et a permis le maintien du poids vif et de l’hématocrite durant les 5 semaines d’expérimentation indépendamment des doses testées. De plus, ce traitement a considérablement limité l’implantation des larves infestantes d’Haemonchus et de T. colubriformis de façon dose-dépendante pour ces dernières. Ces résultats démontrent que l’huile essentielle de Fagara présente des effets antihelminthiques puissants et après identification de la totalité des principes actifs, l’usage de cette huile essentielle pourrait constituer une alternative à l’emploi des anthelminthiques chimiques.
- Published
- 2017
9. Progestagen- or melatonin- based treatments combined with ram effect in Algerian ewes in spring
- Author
-
A. Moumene, F. Khammar, K. Miroud, R. Seboussi, S. Guedaoura, and J. L. Bister
- Subjects
Algérie ,Ovin ,Fertilité ,Brebis Ouled-Djellal ,Reproduction sexuée ,lcsh:Animal culture ,Progestagène ,PMSG ,Prolificité ,Mélatonine ,lcsh:SF1-1100 - Abstract
To compare the effect of melatonin-based to progestagens with equine chorionic gonadotropin (eCG) based treatments used to improve the reproductive performance of Ouled-Djellal sheep breed, 829 ewes distributed among four farms (A, B, C, and D; n = 248, 351, 100, and 80; respectively) were monitored from March to October 2008. In farm B, progestagens improved fertility by 92.3% in ewes treated with medroxy- progesterone acetate (MAP) + eCG 400 IU, and by 84.1% in ewes treated with fluorogestone acetate (FGA) + eCG 500 IU, compared to 23.2% in the control group. The fertility rates obtained with melatonin implants after first mating in farms A and C were significantly lower than those obtained with progestagens + eCG (A: 40.9 vs 79.9%; C: 24 vs 70%). The fertility rate obtained with melatonin implants after first mating in farm A was higher (40.9%) than those obtained in farms C (24%) and D (17.5%). In farm D, melatonin implants improved total fertility compared to control (55.0 vs 17.5%, respectively). MAP + eCG 400 IU improved the conception rate at first mating in farms A (1.30) and B (1.70), whereas FGA + eCG 500 IU, and melatonin implants did not. Melatonin implants, in combination with the ram effect, and used at an early stage yielded good results that were similar to those obtained with progestagens.
- Published
- 2014
10. Facteurs influençant les paramètres de reproduction des brebis Ouled Djellal
- Author
-
H. S. Arbouche, Y. Arbouche, R. Arbouche, and Fodil Arbouche
- Subjects
Fertilité ,Ovin ,Ecology ,media_common.quotation_subject ,Total fertility rate ,Fertility ,General Medicine ,Biology ,Fecundity ,Système d'élevage ,Animal science ,behavior and behavior mechanisms ,Animal Science and Zoology ,Fécondité ,Reproduction ,Mating ,reproductive and urinary physiology ,Prolificité ,media_common - Abstract
L'étude des paramètres de reproduction des brebis Ouled Djellal (n=269), menée en semiintensif dans un milieu semi- aride, fait ressortir un taux de fertilité de 88 %, un taux de fécondité de 95 % et un taux de prolificité de 111 %. L'influence des différents facteurs sur les paramètres de reproduction, fait ressortir sur la fertilité, une influence significative (p
- Published
- 2013
11. Etude du gène BMP15 et de la mutation FecXN à effet majeur sur la prolificité des brebis Noire du Velay
- Author
-
Chantepie, Louise, Génétique Physiologie et Systèmes d'Elevage (GenPhySE ), Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-École nationale supérieure agronomique de Toulouse [ENSAT]-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE), Institut Polytechnique Lasalle Beauvais – Esitpa, Stéphane Fabre, and Christophe Gangneux
- Subjects
élevage allaitant ,[SDV.BBM.BM]Life Sciences [q-bio]/Biochemistry, Molecular Biology/Molecular biology ,qualités maternelles ,génétique ,[SDV.BDLR.RS]Life Sciences [q-bio]/Reproductive Biology/Sexual reproduction ,agneaux ,[SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,Noire du Velay ,ovin ,BMP15 ,ovulation ,[SDV.BBM.GTP]Life Sciences [q-bio]/Biochemistry, Molecular Biology/Genomics [q-bio.GN] ,taille de portée ,gène majeur ,Prolificité - Abstract
Doctoral; Les objectifs de ce mémoire étaient de calculer la fréquence et l’effet d’un nouveau polymorphisme SNP A>T en position OARX: 50477717 en amont du gène BMP15 dans la race ovine Noire du Velay, appelé FecXN. Mais également de déterminer la causalité de FecXN qui est fortement corrélée avec des prolificités élevées chez les brebis. Grâce au développement d’un génotypage par RFLP, la fréquence allélique de FecXN a été déterminé à 7%. Puis par analyse statistique, ANOVA et GLM, les effets de la mutation ont été prédit engendrant une augmentation de la taille de portée de 0,23 agneau. La mutation a été trouvé dans d’autres races, la Blanche du Massif Central et la Belle-Ile avec des fréquences alléliques chez les femelles de 2,3% et 3,2% respectivement. La mutation FecXN est située avant l’ATG initiateur dans la partie non traduite du gène. D’après les résultats de PCR sur ARN rétrotranscrits elle ferait partie de la région 5’UTR de BMP15 à la différence des autres mutations à effet majeur de prolificité situées dans la partie traduite de BMP15. De plus, une analyse en PCR quantitative indique que cette mutation induit une perte d’expression de BMP15 dans l’ovocyte. Il reste à déterminer par quelle voie biologique l’expression diminue soit par un impact négatif sur la transcription/traduction ou bien, sur la régulation de l’activité promotrice du gène BMP15.
- Published
- 2016
12. Effects of the level of early productivity on the lifespan of ewes in contrasting flock environments
- Author
-
Nicolas Friggens, Peter Amer, N. B. Jopson, Frédéric Douhard, Modélisation Systémique Appliquée aux Ruminants (MoSAR), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-AgroParisTech, and AbacusBio Limited
- Subjects
[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,0301 basic medicine ,Litter (animal) ,Veterinary medicine ,Aging ,Animal breeding ,mouton ,Litter Size ,media_common.quotation_subject ,Longevity ,Culling ,Weaning ,Biology ,SF1-1100 ,prolificite ,prolificacy ,stayability ,03 medical and health sciences ,Pregnancy ,conception rate ,Animals ,Animal nutrition ,Animal Husbandry ,longévité ,production de lait ,wether hoggs ,media_common ,2. Zero hunger ,Sheep ,analyse de survie ,0402 animal and dairy science ,ewes ,gimmers ,brebis ,04 agricultural and veterinary sciences ,040201 dairy & animal science ,Animal Feed ,Animal culture ,flock environment ,030104 developmental biology ,Animal Science and Zoology ,Animal Nutritional Physiological Phenomena ,Female ,Flock ,Reproduction ,early productive life ,New Zealand - Abstract
Selection for high levels of prolificacy has allowed substantial improvements in the production efficiency of New Zealand (NZ) sheep farms, but the consequences on ewe lifetime performance are mostly unknown. In this study, the relationship between the level of prolificacy early in ewes' productive lives and their probability to survive later (i.e. stayability) was evaluated in two contrasting NZ flock environments. Records were obtained from 6605 ewes from four ram breeder flocks representing either a moderate (n = 2) or a highly variable (n = 2) nutritional environment. All ewes lambed for the first time at 2 years of age and were mated the following year. The number of lambs born during the first 2 years of productive life (NLB2-3) was used as a measure of early prolificacy. Effects of NLB2-3 on stayability to 4, 5, 6, 7 and 8 years old were analysed using logistic regression. Curvilinear effects (logit-transformed) were detected (P < 0.05) until stayability to 6 years and to 8 years old in the highly variable and the moderate environment, respectively. The NLB2-3 that resulted in maximum expected stayability to various ages was 3.9 to 4.2, and 4.5 to 4.7 lambs in the highly variable and in the moderate flock environments, respectively. In addition, ewe stayability was reduced when the proportion of the litter that survived from birth to weaning (i.e. ewe rearing ability) was submaximal during the early productive life. High prolific ewes had a low rearing ability whatever the environment whereas the rearing ability of lowly prolific ewes was apparently more sensitive to the nutritional environment. The poor maternal performance of ewes with low levels of NLB2-3 led to a premature culling by breeders whereas the high early reproductive effort associated with high levels of NLB2-3 seemed to be at the cost of ewes' survival, even in the moderate flock environment. In conclusion, the flock environment influenced the level of early prolificacy beyond which ewe longevity was reduced. It is suggested that further selection for high and early prolificacy in NZ flocks is likely to impair ewes' lifetime productivity.
- Published
- 2016
13. Performances de reproduction dans l’espèce féline en élevage en France
- Author
-
Masson, Marine, Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse - ENVT (FRANCE), Institut National Polytechnique de Toulouse - INPT (FRANCE), Université Toulouse III - Paul Sabatier - UT3 (FRANCE), and Institut National Polytechnique de Toulouse - Toulouse INP (FRANCE)
- Subjects
Médecine vétérinaire et santé animal ,Fertilité ,Mortalité post-natale ,Chat ,Reproduction ,Mortinatalité ,Logiciel ,Prolificité - Abstract
Notre étude a pour objectif d’établir des données de référence aux performances de reproduction des chats de race. Cette thèse s’appuie sur l’analyse d’une base de données issue d’un logiciel d’aide à la gestion des élevages félins (Breeding Management System®, BMS, Royal Canin, Aimargues, France). Les informations ont été récoltées de façon anonyme auprès de 1537 éleveurs et portent sur 9327 périodes de chaleurs de 5415 reproductrices de 45 races différentes, 7293 portées et 28966 chatons. Les taux de gestation et de mise-bas, calculés à partir du nombre de femelles mises à la reproduction, sont respectivement de 85,2% et 78,2%. La taille moyenne de portée est de 4,0 ± 1,9 chatons. 8,5% des chatons sont mort-nés. Le taux de mortalité post-natale obtenu d’après le nombre de chatons nés vivants est de 8,0%. Au total, 15,9% des chatons sont morts avant le sevrage. Des analyses statistiques ont permis de mettre en évidence un « effet race » sur la fertilité et la prolificité des reproducteurs d’une part et la mortalité des chatons d’autre part. La fertilité se voit également influencée par la saison de saillie, la prolificité par l’âge des reproducteurs et la mortalité des chatons par l’âge des reproducteurs, la saison de saillie et celle de mise-bas, la durée de la gestation, la taille de la portée et le sex-ratio. Un indice de performance raciale a également été calculé et oppose les races Maine Coon, Norvégien, Scottish Straight, Sibérien et Ragdoll aux races Angora Turc, Exotic Shorthair, Highland Fold, Oriental et Persan.
- Published
- 2016
14. Optimisation de l'évaluation de la prolificité pour la race Tai Zumu
- Author
-
Rui, Mélanie, AGROCAMPUS OUEST, Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro), GENE+, 12 rue du moulin, 62134 Érin, Sandrine Lagarrigue, Loïc Flatrès-Grall, and Damien Bahon
- Subjects
[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,Born alive ,Second litter drop syndrome ,[SDV.SA.SPA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences/Animal production studies ,Nés vivants ,Syndrome de deuxième portée ,Prolificacy ,Variations ,Stability ,Stabilité ,Prolificité - Abstract
The performances of sows vary on the first 3 rows of career, complicating the work of selection of the breeders. Heritabilities and genetic parameters for the average number of piglets born alive on various rows, as well as for the new criteria, the sums and the variations of the performances been born alive on rows 1 and 2 or on rows 2 and 3, were estimated by the restricted maximum likelihood method. The population studied corresponds to 3554 sows born after the 7th January 2004 and having realized 3 rows of reach before the 16th February 2015. The criterion delta21, defined as the difference of performance between rows 1 and 2, has an heritability of 6%, and its absolute value, has an heritability of 5%, they translate the capacity of the sow to improve or repeat its performances. The criterion somme12, defines as the sum of the performances on the first 2 rows, has an heritability of 26% and translates the potential of prolificacy for the beginning of career. The estimations of the genetic correlations, between the different prolificacy criteria, allowed to highlight 4 scenarios which can potentially answer the problematic and integrate these new criteria. They are compared with a reference scenario appropriate to the study and approaching the current selection in Tai Zumu. The criterion delta21 or its absolute do not allow to optimize the evaluation but bring an additional information. The criterion somme12 requires to delay the selection of a cycle and thus to revise the evaluation in its globality.; Les performances des truies varient sur les 3 premiers rangs de carrière, compliquant le travail de sélection des éleveurs. Les héritabilités et les paramètres génétiques pour le nombre de porcelets nés vivants moyen sur différents rangs, ainsi que pour des nouveaux critères, sommes et variations des performances en nés vivants sur les rangs 1 et 2 ou sur les rangs 2 et 3, ont été estimés par la méthode du maximum de vraisemblance. La population d’étude correspond à 3554 truies nées après le 7 janvier 2004 et ayant réalisé 3 rangs de portée avant le 16 février 2015. Le critère delta21, défini comme la différence de performance entre les rangs 1 et 2, d’une héritabilité de 6%, et sa valeur absolue, d’une héritabilité de 5%, traduisent la capacité de la truie à améliorer ou répéter sa performance. Le critère somme12, définit comme la somme des performances sur les 2 premiers rangs, d’une héritabilité de 26%, traduit le potentiel de prolificité en début de carrière. Les estimations des corrélations génétiques, entre les différents critères de prolificité, ont permis de mettre en évidence 4 scénarios pouvant potentiellement répondre à la problématique et intégrant ces nouveaux critères. Ils sont comparés à un scénario de référence, propre à l’étude, approchant la sélection actuelle en Tai Zumu. Le critère delta21 ou sa valeur absolue ne permettent pas d’optimiser l’évaluation mais apportent une information supplémentaire. Le critère somme12 nécessite de retarder la sélection d’un cycle et donc de revoir l’évaluation dans son ensemble.
- Published
- 2015
15. Impact de l’équilibre énergétique maternel sur la prolificité et la survie des chiots
- Author
-
Bourcier, Joanna and Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse - ENVT (FRANCE)
- Subjects
Médecine vétérinaire et santé animal ,Mise-bas ,Chienne ,Mortalité ,Gestation ,Leptine ,Note d'état corporel ,Statut énergétique ,Prolificité - Abstract
L’impact de l’équilibre énergétique maternel sur les performances de reproduction bien connu chez la femme, la truie et la vache, n’a pas été étudié chez la chienne. L’objectif de ce travail était d’évaluer les conséquences du surpoids et de l’obésité de la chienne sur les performances de reproduction. Le statut énergétique a été évalué par une note d’état corporel et le taux de leptine sanguin de la saillie jusqu’à la mise-bas chez 41 chiennes d’un même élevage. A même délai après saillie, le taux de leptine ne diffère entre les chiennes gravides et non gravides qu’à 4 semaines de gestation. L’état énergétique de la chienne au cours de la gestation est influencé par la taille de la portée : ainsi plus la portée est grande, plus la note d’état corporel et la leptinémie diminuent. Une leptinémie élevée au milieu de la gestation est associée à un risque plus élevée pour la mère d’avoir des chiots de faible poids à la naissance (6% contre 2%). Le taux de mortalité est augmenté pour des notes d’état corporel et pour des leptinémies élevées lors de la 4ème semaine de gestation et lors de la mise-bas.
- Published
- 2015
16. Segregation of a major gene influencing ovulation in progeny of Lacaune meat sheep
- Author
-
Bernard Bibé, D. Lajous, Jean-Michel Elsen, Jean-Pierre Belloc, Magali SanCristobal, Frédéric Lecerf, Loys Bodin, Y. Amigues, Philippe Mulsant, and F. Eychenne
- Subjects
Litter (animal) ,Male ,Litter Size ,Breeding ,ovin ,méthode statistique ,sélection ,Genetics(clinical) ,gène majeur ,lcsh:SF1-1100 ,media_common ,major gene ,Genes, Dominant ,Genetics ,taille de la portee ,General Medicine ,Major gene ,Breed ,Pedigree ,descendant ,Female ,Ovulation ,sheep ,lcsh:QH426-470 ,mouton ,media_common.quotation_subject ,Biology ,prolificite ,race ovine lacaune ,taux d'ovulation ,Animal science ,Weaning ,Animals ,Selection, Genetic ,Ecology, Evolution, Behavior and Systematics ,Crosses, Genetic ,GENETIQUE ANIMALE ,VARIABILITE ,RACE A VIANDE ,Models, Statistical ,Research ,Sire ,Quantitative genetics ,allèle ,DNA ,Heritability ,insémination ,lcsh:Genetics ,Fertility ,Animal Science and Zoology ,lcsh:Animal culture - Abstract
Inheritance of the ovulation rate (OR) in the Lacaune meat breed was studied through records from a small nucleus of 36 hyper-prolific ewes screened on farms on the basis of their natural litter size, and from progeny data of three selected Lacaune sires. These sires were chosen at the AI centre according to their breeding values estimated for the mean and the variability of their daughters' litter size. Non-carrier Lacaune dairy ewes were inseminated to produce 121 F1 daughters and 27 F1 sons. Twelve sons (four from each sire) were used in turn to inseminate non-carrier Lacaune dairy ewes providing 260 BC progeny ewes. F1 and BC progeny were brought from private farms and gathered after weaning on an experimental farm where ovulation rates were recorded in the first and second breeding seasons. With an average of 6.5 records each, the mean OR of hyper-prolific ewes was very high (5.34), and 38.4% of records showed a rate of 6 or more. F1 data showed high repeatability of OR (r = 0.54) within ewe, with significant variability among ewes. High OR (≥ 4) were observed in each family. A segregation analysis provided a significant likelihood ratio and classified the three founders as heterozygous. BC ewes also displayed high repeatability of OR (r = 0.47) and the mean OR varied considerably between families (from 1.24 to 1.78). Seven of the 12 BC families presented high-ovulating ewes (at least one record ≥ 4) and segregation analysis yielded a highly significant likelihood ratio as compared to an empirical test distribution. The high variability of the mean ovulation rate shown by a small group of daughters of BC ewes inseminated by putative carrier F1 rams, and the very high ovulation rate observed for some of these ewe lambs, confirmed the segregation of a major gene with two co-dominant alleles borne by an autosome. The difference between homozygous non-carriers and heterozygous ewes was about one ovulation on the observed scale and 2.2 standard deviations on the underlying scale.
- Published
- 2002
17. Héritabilité de la fécondance de la semence de lapin utilisée en insémination artificielle
- Author
-
Brun, Jean- Michel, Ailloud, Eliot, Balmisse, Elodie, Sanchez, Amélie, Bolet, Gerard, Theau Clément, Michèle, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and Pôle d'Expérimentation Cunicole TOULousain (PECTOUL )
- Subjects
héritabilité ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,prolificité ,[INFO]Computer Science [cs] ,lapin ,monospermie ,insémination artificielle ,génétique - Abstract
National audience; L’objectif de cette étude est d’estimer l’héritabilité de la fécondance, définie comme la contribution du mâle à la fertilité (F), à la prolificité (nés vivants, NV) et à leur combinaison (productivité), en insémination artificielle (IA). La semence est sélectionnée (absence d’urine, volume >0,4ml, motilité massale >5), diluée au 1/20ème dans du Galap et utilisée en monospermie. L’étude utilise 5 cohortes successives de mâles et 3 cohortes successives de lapines pour tester la fécondance. Les résultats concernent 2019 inséminations réalisées sur 674 lapines à partir de 236 éjaculats provenant de 128 mâles de la souche INRA1001. La fertilité moyenne est de 66,4%, la taille de portée moyenne de 8,8 nés vivants et la productivité de 5,9 nés vivants par insémination. Nous utilisons un modèle linéaire mixte (méthode REML) incluant entre autres, l’effet fixé de l’état physiologique de la lapine (parité x réceptivité x état de lactation) et 4 effets aléatoires : effet génétique additif du mâle, effet d’environnement permanent du mâle, effet éjaculat (un seul éjaculat par mâle à une série d’IA, permettant 8 AI en moyenne) et l’effet de la lapine. L’héritabilité de la fécondance est inférieure à 1%, quel que soit le critère considéré. L’effet d’environnement permanent lié au mâle semble plus élevé pour NV (4%) que pour F (
- Published
- 2013
18. Analyse du gène Lacaune d'hyperprolificité dans la population Lacaune Viande Ovi-Test
- Author
-
Martin, Pauline, AGROCAMPUS OUEST, Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro), and Jérôme Raoul
- Subjects
Lacaune viande ,[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,gêne majeur ,Élevage ovin ,prolificité ,zootechnie ,Ovi-Test ,hyper-prolificité - Abstract
The major gene of prolificacy FecL (or Lacaune gene) has been discovered in the Lacaune Ovi-Test meat sheep population in the beginning of the 2000's. The cooperative Ovi-test chose to manage this gene at heterozygous state in its selection nucleus and, since 2010, every replacement ewe lamb is genotyped for FecL. The large accumulated amount of data allowed to better estimate the genotypic frequencies and the gene effect on prolificacy, so as testing potential gene effect on other traits. The heterozygous ewes (L+) have a prolificacy higher by 0.5 and a higher litter size variability than the homozygous wild ewes (++). Their AI fertility is higher too for some categories of animals. On the contrary, lambs from ++ dams are heavier at 30 days (+300 g) than lambs from L+ dams and have a smaller mortality rate for the twin lambs category. Such effects have never already been observed for other major genes of prolificacy. A bias due to the major gene has been evidenced too in the calculation of the prolificacy EBV and this problem may disturb the selection process. Moreover, an analysis of the inseminations made since 2010 led to the identification of a software problem. With all these results, the FecL gene effects are better known, even if lots of them are not explicated for the moment. This can lead to changes in the strategies or ways of working of the cooperative.; Le gène majeur d'hyperprolificité FecL (aussi appelé gène Lacaune) a été découvert dans la population Lacaune viande Ovi-Test au début des années 2000. La coopérative Ovi-Test a fait le choix de gérer ce gène à l'état hétérozygote dans son noyau de sélection et, depuis 2010, toutes les femelles de renouvellement sont génotypées. Le nombre de données accumulées a permis d'établir précisément les fréquences génotypiques des différentes cohortes et de mieux estimer l'effet du gène, ainsi que de tester un éventuel effet sur d'autres caractères. Les brebis hétérozygotes (L+) ont une prolificité supérieure de 0.5 agneaux et une distribution des tailles de portée plus étalée que les homozygotes sauvages (++). Leur taux de réussite à l'IA est aussi plus important pour certaines catégories d'animaux. En revanche, les agneaux de brebis ++ ont un poids à 30 jours plus important (+300 g) que les agneaux de brebis L+ et une mortalité plus faible parmi les agneaux nés doubles. De tels effets n'avaient encore jamais été observés pour un gène majeur de prolificité. Un biais dû au gène majeur a également pu être mis en évidence dans le calcul actuel de l'index de prolificité, ce qui peut gêner le processus de sélection. Une analyse des accouplements réalisés sur IA a par ailleurs débouché sur l'identification d'un problème logiciel dans l'attribution des semences. Tous ces résultats permettent de mieux connaître les effets du gène FecL, même si beaucoup restent encore inexpliqués, et pourraient avoir des conséquences sur le fonctionnement et les stratégies de la coopérative.
- Published
- 2013
19. Facteurs influençant les paramètres de reproduction des brebis Ouled Djellal
- Author
-
Arbouche, R., Arbouche, H.S., Arbouche, F., and Arbouche, Y.
- Subjects
Fertilité ,Ovin ,Fertility ,Sheep ,Fecundity ,Livestock system ,Fécondité ,Système d'élevage ,Prolificité ,Prolificity - Abstract
L'étude des paramètres de reproduction des brebis Ouled Djellal (n=269), menée en semiintensif dans un milieu semi- aride, fait ressortir un taux de fertilité de 88 %, un taux de fécondité de 95 % et un taux de prolificité de 111 %. L'influence des différents facteurs sur les paramètres de reproduction, fait ressortir sur la fertilité, une influence significative (p
- Published
- 2013
20. Genetic parameters of rabbit weight at birth in a female line selected on reproductive
- Author
-
Loussouarn, Vincent, Garreau, Herve, Eurolap, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), and Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)
- Subjects
lapereau ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,sélection ,prolificité ,génétique ,indexation ,insémination - Abstract
National audience; La lignée Hyla C est sélectionnée pour produire des mâles Grand-Parentaux C à destination des centres d’insémination. Cette lignée est sélectionnée depuis 2001 grâce au BLUP modèle animal sur le nombre de lapereaux vivants à la naissance. Mais l’augmentation de la prolificité a un effet négatif sur le poids des lapereaux à la naissance. Ainsi, depuis 2007, tous les lapereaux sont pesés individuellement à la naissance afin d’estimer la valeur génétique de ce critère. L’indexation sur le poids du lapereau à la naissance a démarré en 2009. Au premier trimestre 2013, la valeur génétique a été améliorée de 1,85 g. L’héritabilité est de 0,102. La méthode est contraignante pour une mise en application dans un schéma de sélection commercial, mais la sélection est efficace et le progrès génétique est satisfaisant dans l’objectif de conserver une bonne qualité de lapereau à la naissance
- Published
- 2013
21. Paramètres génétiques du poids du lapereau à la naissance dans une lignée sélectionnée sur les performances de reproduction
- Author
-
Loussouarn, Vincent, Garreau, Herve, Eurolap, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), and Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)
- Subjects
lapereau ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,sélection ,prolificité ,indexation ,insémination ,génétique - Abstract
National audience; La lignée Hyla C est sélectionnée pour produire des mâles Grand-Parentaux C à destination des centres d’insémination. Cette lignée est sélectionnée depuis 2001 grâce au BLUP modèle animal sur le nombre de lapereaux vivants à la naissance. Mais l’augmentation de la prolificité a un effet négatif sur le poids des lapereaux à la naissance. Ainsi, depuis 2007, tous les lapereaux sont pesés individuellement à la naissance afin d’estimer la valeur génétique de ce critère. L’indexation sur le poids du lapereau à la naissance a démarré en 2009. Au premier trimestre 2013, la valeur génétique a été améliorée de 1,85 g. L’héritabilité est de 0,102. La méthode est contraignante pour une mise en application dans un schéma de sélection commercial, mais la sélection est efficace et le progrès génétique est satisfaisant dans l’objectif de conserver une bonne qualité de lapereau à la naissance
- Published
- 2013
22. Héritabilité de la fécondance de la semence de lapin utilisée en insémination artificielle
- Author
-
Brun, Jean- Michel, Ailloud, Eliot, Balmisse, Elodie, Sanchez, Amélie, Bolet, Gerard, and Theau Clement, Michele
- Subjects
lapin ,insémination artificielle ,héritabilité ,génétique ,monospermie ,prolificité - Abstract
L’objectif de cette étude est d’estimer l’héritabilité de la fécondance, définie comme la contribution du mâle à la fertilité (F), à la prolificité (nés vivants, NV) et à leur combinaison (productivité), en insémination artificielle (IA). La semence est sélectionnée (absence d’urine, volume >0,4ml, motilité massale >5), diluée au 1/20ème dans du Galap et utilisée en monospermie. L’étude utilise 5 cohortes successives de mâles et 3 cohortes successives de lapines pour tester la fécondance. Les résultats concernent 2019 inséminations réalisées sur 674 lapines à partir de 236 éjaculats provenant de 128 mâles de la souche INRA1001. La fertilité moyenne est de 66,4%, la taille de portée moyenne de 8,8 nés vivants et la productivité de 5,9 nés vivants par insémination. Nous utilisons un modèle linéaire mixte (méthode REML) incluant entre autres, l’effet fixé de l’état physiologique de la lapine (parité x réceptivité x état de lactation) et 4 effets aléatoires : effet génétique additif du mâle, effet d’environnement permanent du mâle, effet éjaculat (un seul éjaculat par mâle à une série d’IA, permettant 8 AI en moyenne) et l’effet de la lapine. L’héritabilité de la fécondance est inférieure à 1%, quel que soit le critère considéré. L’effet d’environnement permanent lié au mâle semble plus élevé pour NV (4%) que pour F (
- Published
- 2013
23. Les effets de la lactation sur les performances de reproduction chez la lapine
- Author
-
G. Bolet, L. Fortun-Lamothe, Revues Inra, Import, Station de recherches cunicoles, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA)
- Subjects
PROGRES GENETIQUE ,030219 obstetrics & reproductive medicine ,sevrage ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,technique d'élevage ,0402 animal and dairy science ,lactation ,04 agricultural and veterinary sciences ,Biology ,prolificite ,040201 dairy & animal science ,oryctolagus cuniculus ,performance de reproduction ,03 medical and health sciences ,productivité ,0302 clinical medicine ,gestation ,ovulation ,[SDV.SA.SPA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences/Animal production studies ,[INFO]Computer Science [cs] ,lapin ,[SDV.SA.SPA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences/Animal production studies ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,production laitière - Abstract
La lapine peut être fécondée aussitôt après la mise bas ou tout au long de la lactation, et être simultanément gravide et allaitante. Néanmoins, la réceptivité des femelles est variable au cours de la lactation : elle est maximale aussitôt après la mise bas (proche de 100 %) et minimale 3-5 jours après (40-65 %). Bien que les résultats expérimentaux concernant les effets de la lactation sur le taux d’ovulation et la mortalité embryonnaire soient parfois contradictoires, la fertilité et la prolificité des lapines allaitantes sont globalement plus faibles que celles des lapines non allaitantes. En effet, la lactation a, d’une manière générale, un effet négatif sur le pourcentage de femelles ovulant (- 26 %), le taux de gestation (- 33 %), et la viabilité foetale (- 10 %). De plus, la lactation entraîne une diminution de la croissance pondérale des foetus (- 20 %). L’hyperprolactinémie et la faible progestéronémie chez les lapines simultanément gravides et allaitantes, ainsi que le déficit nutritionnel engendré par la production laitière, semblent être les principaux facteurs responsables des effets observés., Rabbit does could be fertilized soon after parturition and all over lactation, and be concurrently pregnant and lactating. Nevertheless, receptivity of the females varies during lactation: it is maximal after parturition (near 100 %) and minimal 3- 5 days later (40-65 %). Studies of the effects of lactation on ovulation rate and embryonic mortality lead to conflicting results. However, fertility and litter size are lower for lactating rabbits than for non lactating ones. Indeed, lactation decreases the percentage of females wich ovulates (- 26 %), gestation rate (- 33 %) and foetal viability rate (- 10 %). Moreover, lactation leads to an impaired foetal growth (- 20 %). Hyperprolactinemia and hypoprogesteronemia in concurrently pregnant and lactating rabbits and nutritional deficicency due to milk production seem to be the main factors involved in these effects
- Published
- 1995
24. Evolution des performances et de la robustesse des animaux en élevage porcin
- Author
-
Armelle Prunier, Hélène Gilbert, Elodie Merlot, Hélène Quesnel, Jean-Yves Dourmad, L. Canario, Systèmes d'élevage, nutrition animale et humaine (SENAH), AGROCAMPUS OUEST-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Génétique Animale et Biologie Intégrative (GABI), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-AgroParisTech, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-AGROCAMPUS OUEST, Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro), AgroParisTech-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Daniel Sauvant, and Jean-Marc Perez
- Subjects
2. Zero hunger ,[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,0402 animal and dairy science ,système d'élevage ,04 agricultural and veterinary sciences ,truie ,prolificite ,040201 dairy & animal science ,Agricultural sciences ,élevage porcin ,040103 agronomy & agriculture ,croissance animale ,0401 agriculture, forestry, and fisheries ,porcin ,porcelet ,Sciences agricoles - Abstract
L’analyse de l’évolution des performances des élevages porcins français indique une amélioration nette de la productivité numérique des truies, sans qu’il y ait eu de détérioration de leur longévité, et bien que la mortalité des porcelets se soit légèrement accrue. Cette amélioration des performances s’explique à la fois par l’obtention de progrès génétiques et par la sophistication des pratiques d’élevage. La question est toutefois posée de la capacité des truies et des porcelets à faire face aux nombreux changements biologiques qui sous-tendent l’amélioration de ces performances. Chez la truie, on a ainsi pu identifier deux problèmes essentiels : la faiblesse des aplombs et la difficulté accrue des animaux à couvrir leurs besoins nutritionnels. Chez les porcelets, la question de la compétition pour les nutriments entre les individus d’une même portée, in utero et durant la lactation, se pose de façon marquée dans les grandes portées, conduisant à un accroissement de la variabilité du développement et de la mortalité. Les performances d’engraissement des porcs se sont également améliorées, mais on note toujours, pour certains caractères, un écart important entre les résultats des élevages et le potentiel génétique, ce qui semble indiquer des problèmes d’adaptation. La sensibilité des porcs aux maladies d’origine multifactorielle constitue sûrement aujourd’hui l’un des facteurs les plus limitants dans les élevages. En termes de perspectives, les questions liées à la robustesse doivent être appréhendées à la lumière des évolutions attendues des systèmes d’élevage et des réglementations. La recherche d’animaux plus autonomes, résistant mieux aux maladies et capables de valoriser des ressources alimentaires plus diversifiées et moins en compétition avec l’alimentation humaine, fait partie des pistes à envisager, The evolution of animal performance levels on French pig farms indicates a significant improvement of sow productivity, without any degradation of their longevity but with a tendency to a slight increase in piglet mortality. This improvement in performance results both from the genetic gains realised and the improved control of the environment of swine. However, such high performance levels imply high physiological demands for the sows and piglets, and it may be questioned whether the animals are able to face these changes. In sows, the problems of leg weakness and the increased risk of occurrence of nutritional deficit during lactation were identified. With a greater prolificacy, competition among piglets for nutrients, either in utero or during lactation, is enhanced. Although on-farm performance of fattening pigs has been improved, it still remains below the genetic potential for certain traits, indicating some problems of adaptation. In this context, the sensitivity of pigs to multifactorial diseases remains an important problem. In the future, animal robustness has to be considered while taking into account the expected evolution of pig production systems and changes in regulations. Getting more autonomous pigs, having improved resistance to diseases and higher ability to make use of more diversified feeding resources, could be perspectives for future research.
- Published
- 2010
25. Mutations in two genes are associated with increased ovulation rate and litter size in progeny of Lacaune meat sheep
- Author
-
Drouilhet, Laurence, Lecerf, Frédéric, BODIN, Loys, Mulsant, Philippe, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Génétique Animale (GARen), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-AGROCAMPUS OUEST, Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Rennes, IFR140-Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Rennes-AGROCAMPUS OUEST-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Laboratoire de Génétique Cellulaire (LGC), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), and Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées
- Subjects
PROLIFICITE ,[SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,PROLIFICACY ,MAJOR GENE ,GENE MAJEUR ,RACE OVINE LACAUNE ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,LACAUNE SHEEP BREED ,OVULATION - Abstract
A new autosomal major gene affecting ovulation has been evidenced by a statistical approach in the Lacaune population. A full genome scan localized this autosomal prolificacy gene (FecL) on sheep chromosome 11. Further investigations allowed the reduction of the localization interval between markers BM17132 and FAM117A, corresponding to one synteny block of human chromosome 17 of 1.1 megabases, containing 20 genes. This fine mapping is still going on. The expression of those 20 genes was tested by qPCR and no difference was found in homozygous mutants versus wild type, in four tissues (granulosa and theca cells, hypothalamus and pituitary gland). A particular haplotype was associated with the FecL mutation, which allowed marker associated classification of animals as carriers or non-carriers of the mutation. In addition, ewes with extreme ovulation rate have been isolated in the Lacaune population and it was hypothesized that another mutation was segregating in the population. A new mutation has been evidenced in the Bmp15 coding sequence (chromosome X). This mutation is a non conservative substitution (C53Y) that prevents the processing of the protein. Synergic action of the two mutations (in FecL and Bmp15 genes) on both ovulation rate and litter size was demonstrated.
- Published
- 2008
26. Factors associated with stillborn and mummified piglets in high prolific sows
- Author
-
Xavier Pichodo, Pierre-Yves Quinio, Claudie Guyomarc'h, Yannick Le Cozler, and Hervé Pellois
- Subjects
Litter (animal) ,Veterinary medicine ,040301 veterinary sciences ,Live weight ,[SDV.SA.ZOO]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences/Zootechny ,Biology ,Body weight ,Crossbreed ,prolificite ,0403 veterinary science ,mummies ,sow ,risk factors ,facteurs de risques ,parturition ,mort-nés ,2. Zero hunger ,stillbirth ,supervision ,0402 animal and dairy science ,Large white ,04 agricultural and veterinary sciences ,truie ,040201 dairy & animal science ,facteur de risque ,supervision---truie ,Herd ,mise bas ,surveillance ,Animal Science and Zoology ,porcelet ,mortalité ,porcelets momifiés - Abstract
Stillbirth concerns about 2.5 million piglets each year in France and is expected to worsen in the coming years, due to hyperprolific sows. The present study was performed to determine the risk factors of the presence of stillborn piglets or mummies in the litter using data from three experimental herds. From June 1999 until June 2000, sow, stillborn and mummy characteristics were closely recorded around farrowing. Information was recorded on 455 litters, from 308 sows. After selection, a total of 447 litters, originating from 302 crossbred (Large White $\times$ Landrace) sows were used. Two hundred and fifty-five litters had no stillborn. Neither individual piglet body weight nor variability of piglet body weight within litters were found to influence stillbirth. A reduction in the average litter or sow live weights increased the probability of having a stillbirth. When a full litter was born with a human presence, the proportion of litters without a stillborn was higher than in cases of partial supervision (65.7 vs. 4.5 to 45.6%). At the same time, the number of litters with two or more stillborn piglets was lower (11.2 vs. 23.6 to 30.9%). Only 46% of the litters had no stillborn when no supervision was performed. These results indicate that good supervision (more than 75% of births with a human presence) decreased stillbirth in pigs, while individual piglet weight did not alter it. A reduction in litter live weight decreased the risk of having mummies, whereas an increased litter size had the opposite effect., La mortinatalité touche chaque année 2,5 millions de porcelets en France et devrait augmenter encore dans les années à venir, à cause de l'introduction des truies hyperprolifiques dans les troupeaux. L'objectif de cette étude est de déterminer les facteurs de risques liés à la présence de porcelets mort-nés et momifiés dans une portée, à partir d'observations réalisées dans trois stations expérimentales. De juin 1999 à juin 2000, les informations autour de la mise bas concernant les truies, les porcelets mort-nés et momifiées sont enregistrées. Ces informations sont disponibles sur 455 portées, issues de 308 truies. Après sélection, 447 portées provenant de 302 truies croisées (Large White X Landrace) sont utilisées. Au total, 255 portées n'ont pas de porcelets mort-nés. Le poids individuel du porcelet et la variabilité du poids individuel intra-portée n'ont pas d'influence sur la mortinatalité. La réduction du poids de la portée ou de la truie augmente la probabilité d'avoir des porcelets mort-nés. Lorsque toutes les naissances se déroulent en présence humaine, la proportion de portée sans mort-né est plus élevée que dans le cas d'une présence partielle (65,7 % contre 4,5 à 45,6 %). Dans ce cas, le nombre de portée avec deux porcelets mort-nés ou plus, est plus faible (11,2 % contre 23,6 à 30,9 %). En absence de surveillance, seulement 46 % des portées n'ont pas de porcelets mort-nés. Ces résultats indiquent également qu'une bonne surveillance des mises bas (plus de 75 % des naissances en présence humaine) permet de diminuer la mortinatalité chez le porc, et que le poids individuel n'a pas d'effet. Une diminution du poids moyen de la portée entraîne une baisse du risque de présence de porcelets momifiés, la taille de la portée a, quant à elle, un effet inverse.
- Published
- 2002
27. Mutation in bone morphogenetic protein receptor-IB is associated with increased ovulation rate in Booroola Mérino ewes
- Author
-
Juliette Riquet, Yves Cognié, Isabelle Callebaut, Claudine Pisselet, Isabelle Lanneluc, Philippe Mulsant, Philippe Monget, Laurent Schibler, Edmond P. Cribiu, Stéphane Fabre, Nour Chitour, Loys Bodin, J. Thimonier, Danielle Monniaux, Jean-Michel Elsen, J. Teyssier, and Frédéric Lecerf
- Subjects
Male ,Models, Molecular ,race bovine booroola ,cellule de granulosa ,Litter Size ,Bone Morphogenetic Protein 4 ,follicule ovarien ,ovin ,Growth Differentiation Factor 5 ,Bone morphogenetic protein receptor ,Growth Substances ,media_common ,Multidisciplinary ,Biological Sciences ,Physical Chromosome Mapping ,phénotype ,Phenotype ,Bone morphogenetic protein 4 ,Bone Morphogenetic Proteins ,Female ,Chromosomes, Human, Pair 4 ,récepteur ,medicine.medical_specialty ,Heterozygote ,media_common.quotation_subject ,Molecular Sequence Data ,Locus (genetics) ,Receptors, Cell Surface ,Biology ,prolificite ,reproduction ,taux d'ovulation ,femelle ,Internal medicine ,medicine ,Animals ,Humans ,Receptors, Growth Factor ,Amino Acid Sequence ,RNA, Messenger ,Allele ,race ovine merinos ,Ovulation ,Granulosa Cells ,Sheep ,Bone morphogenetic protein 15 ,Base Sequence ,gène ,ovaire ,Australia ,Heterozygote advantage ,Bone Morphogenetic Protein Receptors ,GENETIQUE ,BMPR1B ,Endocrinology ,Fertility ,Amino Acid Substitution ,ovulation ,Mutation ,Sequence Alignment - Abstract
Ewes from the Booroola strain of Australian Mérino sheep are characterized by high ovulation rate and litter size. This phenotype is due to the action of the FecB B allele of a major gene named FecB , as determined by statistical analysis of phenotypic data. By genetic analysis of 31 informative half-sib families from heterozygous sires, we showed that the FecB locus is situated in the region of ovine chromosome 6 corresponding to the human chromosome 4q22–23 that contains the bone morphogenetic protein receptor IB ( BMPR-IB ) gene encoding a member of the transforming growth factor-β (TGF-β) receptor family. A nonconservative substitution (Q249R) in the BMPR-IB coding sequence was found to be associated fully with the hyperprolificacy phenotype of Booroola ewes. In vitro , ovarian granulosa cells from FecB B / FecB B ewes were less responsive than granulosa cells from FecB + / FecB + ewes to the inhibitory effect on steroidogenesis of GDF-5 and BMP-4, natural ligands of BMPR-IB. It is suggested that in FecB B / FecB B ewes, BMPR-IB would be inactivated partially, leading to an advanced differentiation of granulosa cells and an advanced maturation of ovulatory follicles.
- Published
- 2001
28. Genetic components of litter size variability in sheep
- Author
-
Magali SanCristobal-Gaudy, Jean-Michel Elsen, Claude Chevalet, Loys Bodin, Laboratoire de Génétique Cellulaire (LGC), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), and Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)
- Subjects
Litter (animal) ,Litter Size ,Twins ,modèle ,variance ,ovin ,Pregnancy ,méthode statistique ,Genetics(clinical) ,Gene–environment interaction ,race ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,lcsh:SF1-1100 ,Genetics ,0303 health sciences ,sélection génétique ,taille de la portee ,GENETIQUE ANIMALE ,Data Collection ,VARIABILITE ,canalising selection ,04 agricultural and veterinary sciences ,General Medicine ,Breed ,threshold trait ,Female ,Monte Carlo Method ,sheep ,lcsh:QH426-470 ,mouton ,Biology ,prolificite ,03 medical and health sciences ,Animal science ,Quantitative Trait, Heritable ,Predictive Value of Tests ,Genetic variation ,Animals ,Computer Simulation ,Genetic variability ,Selection, Genetic ,Ecology, Evolution, Behavior and Systematics ,030304 developmental biology ,FREQUENCE ,[SDV.GEN]Life Sciences [q-bio]/Genetics ,Models, Genetic ,Research ,Domestic sheep reproduction ,0402 animal and dairy science ,Genetic Variation ,Bayes Theorem ,Quantitative genetics ,Heritability ,heterogeneous variances ,040201 dairy & animal science ,portee ,élevage ,[SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,lcsh:Genetics ,Animal Science and Zoology ,lcsh:Animal culture ,Mathematics - Abstract
International audience; Classical selection for increasing prolificacy in sheep leads to a concomitant increase in its variability, even though the objective of the breeder is to maximise the frequency of an intermediate litter size rather than the frequency of high litter sizes. For instance, in the Lacaune sheep breed raised in semi-intensive conditions, ewes lambing twins represent the economic optimum. Data for this breed, obtained from the national recording scheme, were analysed. Variance components were estimated in an infinitesimal model involving genes controlling the mean level as well as its environmental variability. Large heritability was found for the mean prolificacy, but a high potential for increasing the percentage of twins at lambing while reducing the environmental variability of prolificacy is also suspected. Quantification of the response to such a canalising selection was achieved.
- Published
- 2001
29. Genetic parameters of body weight and prolificacy in pigeons
- Author
-
Catherine Beaumont, Sandrine Mignon-Grasteau, and Léa Lescure
- Subjects
0106 biological sciences ,lcsh:QH426-470 ,media_common.quotation_subject ,prolificité ,Best linear unbiased prediction ,Biology ,paramètre génétique ,Body weight ,010603 evolutionary biology ,01 natural sciences ,animal à viande ,prolificacy ,03 medical and health sciences ,pigeon ,Animal science ,poids corporel ,Genetic variation ,Genetics ,genetic parameters ,Weaning ,Genetics(clinical) ,genetic parameters---pigeon ,Ecology, Evolution, Behavior and Systematics ,030304 developmental biology ,media_common ,lcsh:SF1-1100 ,0303 health sciences ,taille de la portee ,Research ,weight ,General Medicine ,Heritability ,Fecundity ,Total variability ,lcsh:Genetics ,paramètres génétiques ,[SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,Animal Science and Zoology ,lcsh:Animal culture ,Reproduction ,poids - Abstract
International audience; Genetic parameters of body weight at weaning and of prolificacy were estimated in three commercial lines of pigeons selected by BLUP (Best Linear Unbiased Prediction) on both traits. The model of analysis took into account the direct genetic effects for both traits and the effect of parental permanent environment for body weight. Depending on the line considered, body weight varied from 556.7 g to 647.6 g and prolificacy ranged from 12.5 to 16.8 pigeons weaned per couple of parents per year. Heritability of body weight was high, varying between 0.46 and 0.60, and permanent environment was responsible for 6% to 9% of the total variability. On the contrary, prolificacy was poorly heritable (0.04 to 0.12). They were highly and negatively correlated ($-0.77$ to $-0.82$). Body weight showed significant genetic trends in lines B and C. No significant genetic difference could be observed between males and females for both traits.; Estimation des paramètres génétiques du poids et de la prolificité chez le pigeon. Les paramètres génétiques du poids au sevrage et de la prolificité ont été estimés dans trois lignées commerciales de pigeons sélectionnés sur ces deux caractères. Le modèle d'analyse prenait en compte les effets génétiques directs pour les deux caractères et l'effet d'environnement permanent du couple parental pour le poids. Suivant la lignée considérée, le poids variait de 556,7 g à 647,6 g et la prolificité de 12,5 à 16,8 pigeonneaux sevrés annuellement par couple de parents. L'héritabilité du poids était élevée (de 0,46 à 0,60 selon la lignée) et l'effet d'environnement permanent responsable de 6% à 9% de la variabilité totale. À l'opposé, la prolificité était peu héritable (0,04 à 0,12). Les deux caractères présentaient une corrélation génétique fortement négative (-0,77 à -0,82). Une évolution significative de la valeur génétique a été observée pour le poids des lignées B et C. Aucune différence génétique significative n'a pu être mise en évidence entre mâles et femelles pour ces deux caractères.
- Published
- 2000
30. Contrôle du taux d'ovulation chez la truie : l'apport des modèles hyperprolifiques
- Author
-
Driancourt, Marc Antoine, MARTINAT-BOTTE, F., TERQUI, M., Unité de recherche Physiologie de la reproduction des mammifères domestiques, Nouzilly, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and ProdInra, Migration
- Subjects
reproduction ,taux d'ovulation ,[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,[SDV.SA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,race hyperprolifique ,ovulation ,porcin ,truie ,prolificite ,Sciences agricoles ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,Agricultural sciences - Abstract
Cet article fait partie du dossier : L’augmentation de la prolificité des truies : acquis, progrès envisageables et conséquences; National audience
- Published
- 1998
31. Nouvelles perspectives d'amélioration génétique de la prolificité des truies
- Author
-
Jean-Pierre Bidanel, Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and ProdInra, Migration
- Subjects
animal hyperprolifique ,amélioration génétique ,[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,locus ,[SDV.SA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,héritabilité ,taille de la portee ,qtl ,survie foetale ,truie ,prolificite ,Agricultural sciences ,performance de reproduction ,sélection ,porcin ,génotype ,Sciences agricoles ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS - Abstract
2 tables. Cet article fait partie du dossier : L’augmentation de la prolificité des truies : acquis, progrès envisageables et conséquences; National audience
- Published
- 1998
32. La prolificité des truies françaises en 1995-1996 : un spectaculaire bond en avant
- Author
-
A. Aumaitre, S. Boulot, J. Dagorn, Y. Le Cozler, Institut Technique du Porc (ITP), Station de recherches porcines, and Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)
- Subjects
[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,taille de la portee ,0402 animal and dairy science ,04 agricultural and veterinary sciences ,Biology ,truie ,prolificite ,040201 dairy & animal science ,Agricultural sciences ,performance de reproduction ,porcin ,europe ,france ,Sciences agricoles - Abstract
1 tables 4 graph. Cet article fait partie du dossier : L’augmentation de la prolificité des truies : acquis, progrès envisageables et conséquences; National audience
- Published
- 1998
33. Mortalité embryonnaire et prolificité chez la truie
- Author
-
F. Martinat-Botté, M. Terqui, Unité de recherche Physiologie de la reproduction des mammifères domestiques, Nouzilly, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and ProdInra, Migration
- Subjects
[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,[SDV.SA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,030219 obstetrics & reproductive medicine ,0402 animal and dairy science ,04 agricultural and veterinary sciences ,Biology ,truie ,040201 dairy & animal science ,prolificite ,Agricultural sciences ,mortalité embryonnaire ,reproduction ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,embryon ,ovulation ,porcin ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,Sciences agricoles - Abstract
Cet article fait partie du dossier : L’augmentation de la prolificité des truies : acquis, progrès envisageables et conséquences; National audience
- Published
- 1998
34. Conséquences de l'augmentation de la prolificité des truies sur la survie et la croissance du porcelet
- Author
-
J. Le Dividich, Patrick Herpin, Station de recherches porcines, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and ProdInra, Migration
- Subjects
animal hyperprolifique ,[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,[SDV.SA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,survie postnatale ,taille de la portee ,poids à la naissance ,0402 animal and dairy science ,04 agricultural and veterinary sciences ,gestation multiple ,Biology ,prolificite ,croissance ,040201 dairy & animal science ,Agricultural sciences ,performance de reproduction ,03 medical and health sciences ,0302 clinical medicine ,porcin ,030211 gastroenterology & hepatology ,porcelet ,mortalité ,Sciences agricoles ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS - Abstract
Cet article fait partie du dossier : L’augmentation de la prolificité des truies : acquis, progrès envisageables et conséquences; National audience
- Published
- 1997
35. Problèmes liés à l'accroissement de la productivité chez la lapine reproductrice
- Author
-
Bolet, Gerard, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and ProdInra, Migration
- Subjects
[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,[SDV.SA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,variabilité génétique ,prolificite ,Agricultural sciences ,oryctolagus cuniculus ,reproduction ,[SDV] Life Sciences [q-bio] ,femelle ,sélection ,lapin ,poids ,Sciences agricoles ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS - Abstract
Cet article fait partie du dossier : L’augmentation de la prolificité des truies : acquis, progrès envisageables et conséquences; National audience
- Published
- 1997
36. L'augmentation de la prolificité des truies : Acquis, progrès envisageables et conséquences
- Author
-
Bonneau, M., Bidanel, Jean Pierre, Station de recherches porcines, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), and ProdInra, Migration
- Subjects
amélioration génétique ,[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,[SDV.SA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,physiologie animale ,taille de la portee ,truie ,prolificite ,croissance ,Agricultural sciences ,performance de reproduction ,survie ,ovulation ,sélection ,porcin ,nutrition animale ,porcelet ,parturition ,Sciences agricoles ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS - Abstract
Après avoir longtemps stagné, la prolificité des truies enregistre depuis quelques années des progrès remarquables et l’introduction des lignées sino-européennes laisse entrevoir que cette augmentation des performances de reproduction va se poursuivre. L’augmentation de la taille des portées peut cependant avoir un certain nombre de conséquences sur la survie et les performances des porcelets ou sur la carrière des reproductrices. La Commission spécialisée des recherches porcines de l’INRA a organisé deux journées de réflexion sur ce sujet, dont nous vous proposons les grandes lignes sous forme d’articles courts résumant les communications qui y ont été présentées. Après un constat de l’évolution des performances de reproduction au cours des dernières années (J. Dagorn et al), les principales voies d’amélioration de la prolificité, aussi bien celles qui sont mises en œuvre à l’heure actuelle, que celles que l’on peut envisager pour le futur, ont été exposées. Les possibilités offertes par la sélection (C. Legault, J.-P. Bidanel) ou par une meilleure connaissance de la physiologie de l’ovulation (M.-A. Driancourt et al) et du développement embryonnaire (M. Terqui et F. Botté) ont été présentées, ainsi que les développements envisageables à partir de l’identification de gènes impliqués dans la croissance folliculaire (F. Hatey). Le deuxième volet de la réflexion a porté sur l’examen des conséquences de l’augmentation de la prolificité sur les truies elles-mêmes ou sur les porcelets, que ces conséquences aient déjà été constatées ou qu’elles soient envisageables en cas de poursuite de la tendance actuelle à l’augmentation de la production annuelle de porcelets par truie. Les problèmes déjà rencontrés en élevage cunicole ont d’abord été présentés (G. Bolet). Les conséquences possibles de l’augmentation de la prolificité ont ensuite été envisagées sous l’angle génétique (J.-P. Bidanel), en termes de nutrition de la truie et des foetus (A. Prunier et H. Quesnel, J.-Y. Dourmad et al, N. Quiniou et al, M. Etienne et M.-C. Père) ou de survie et croissance des porcelets (P. Herpin et J. Le Dividich)., Prolificacy in sows is currently increasing very rapidly. The use of synthetic lines of pigs, derived from crossbred between Chinese and European breeds, will result in a further elevation of the number of piglets produced per sow and per year. However, the increase in litter size may have a number of consequences on the survival and performance of the piglets and on the longevity of sows. The INRA Commission on Pig Research organised a meeting on the topic. The communications that were given during the meeting are summarised in a number of short papers that are presented here. The improvement in sow performance during the last ten years in the French pig herds was first assessed (J. Dagorn et al). The main possible ways of increasing sow prolificacy were then presented, considering both those that are currently applied and the ones that can be envisaged for the future. The possible improvements that have resulted or could result from selection (C. Legault, J.-P. Bidanel), from a better knowledge of the physiology of ovulation (M.-A. Driancourt et al) and embryonic development (M. Terqui and F. Botté) were presented, as well as the developments that can be envisaged from the identification of genes involved in follicular growth (F. Hatey). In a second part, the consequences of increased prolificacy on the sows themselves or on the piglets were examined. Some consequences have already been observed as a result of the currently achieved elevation of prolificacy. Possible further consequences that may be expected if the present tendency to increased litter size is maintained, have also been envisaged. The problems encountered in rabbit production have been presented as an example of what could happen in swine production (G. Bolet). The possible consequences of increased prolificacy were then considered under different perspectives including genetics (J.-P. Bidanel), nutrition of the sow and of the foetuses (A. Prunier and H. Quesnel, J.-Y. Dourmad et al, N. Quiniou et al, M. Etienne and M.-C. Père), survival and growth of the piglets (P. Herpin and J. Le Dividich).
- Published
- 1997
37. Génétique et prolificité chez la truie : La voie hyperprolifique et la voie sino-européenne
- Author
-
C. Legault, Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and ProdInra, Migration
- Subjects
animal hyperprolifique ,amélioration génétique ,[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,0303 health sciences ,[SDV.SA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,taille de la portee ,race porcine landrace ,0402 animal and dairy science ,race porcine large white ,04 agricultural and veterinary sciences ,Biology ,truie ,prolificite ,040201 dairy & animal science ,croisement ,Agricultural sciences ,performance de reproduction ,03 medical and health sciences ,race porcine chinoise ,porcin ,génotype ,Sciences agricoles ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,030304 developmental biology - Abstract
1 tables 3 graph. Cet article fait partie du dossier : L’augmentation de la prolificité des truies : acquis, progrès envisageables et conséquences; National audience
- Published
- 1997
38. Genetic improvement of litter size in sheep. A comparison of selection methods
- Author
-
Miguel Pérez-Enciso, Jean-Louis Foulley, Jean-Paul Poivey, Jean-Michel Elsen, Loys Bodin, Revues Inra, Import, Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA)
- Subjects
Litter (animal) ,PROGRES GENETIQUE ,lcsh:QH426-470 ,schema de sélection ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,[SDV.GEN.GA] Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,Biology ,prolificite ,GENETIQUE ,MODELE A SEUILS ,taux d'ovulation ,03 medical and health sciences ,ovin ,Genetics ,Genetics(clinical) ,Selection (genetic algorithm) ,Ecology, Evolution, Behavior and Systematics ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,030304 developmental biology ,lcsh:SF1-1100 ,0303 health sciences ,Research ,0402 animal and dairy science ,Forestry ,04 agricultural and veterinary sciences ,General Medicine ,040201 dairy & animal science ,lcsh:Genetics ,[SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,ovulation ,Animal Science and Zoology ,Selection method ,lcsh:Animal culture ,survie prénatale - Abstract
The objectives of this work were to examine the usefulness of measuring ovulation rate (OR) in order to improve genetic progress of litter size (LS) in sheep and to study different selection criteria combining OR and prenatal survival (ES) performance. Responses to selection for 5 generations within a population of 20 male and 600 female parents were compared using Monte-Carlo simulation techniques with 50 replicates per selection method. Two breeds with low (Merino) and medium (Lacaune) prolificacy were considered. Records were generated according to a bivariate threshold model for OR and ES. Heritabilities of OR and ES in the underlying scale were assumed constant over breeds and equal to 0.35 and 0.11, respectively, with a genetic correlation of -0.40 between these traits. Four methods of genetic evaluation were compared: univariate best linear unbiased prediction (BLUP) using LS records only (b-LS); univariate BLUP on OR records (b-OR); bivariate BLUP using OR and LS records (b-ORLS); and a maximum a posteriori predictor of a generalised linear model whereby OR was analysed as a continuous trait and ES as a binary threshold trait (t-ORES). Response in LS was very similar with b-LS, b-ORLS and t-ORES, whereas it was significantly lower with b-OR. Response in OR was maximum with b-OR and minimum with b-LS. In contrast, response in ES was maximum with b-LS. This study raised the question as to why selection based on indices combining information from both OR and ES did not perform better than selection using LS only., Cet article discute l’intérêt du taux d’ovulation (OR) pour accroître le progrès génétique sur la taille de portée (LS) et étudie à cet effet divers critères de sélection combinant OR et le taux de survie embryonnaire (ES). On a examiné par simulation les réponses à la sélection en 5 générations dans une population de 20 et 600 reproducteurs mâles et femelles avec 50 réplications par méthode. On a considéré 2 races, de prolificité faible (Mérinos) et moyenne (Lacaune). Les performances ont été générées à partir d’un modèle bicaractère à seuils. Les héritabilitiés d’OR et ES ont été supposées constantes sur l’échelle sous-jacente dans les 2 races et prises égales respectivement à 0,35 et 0,11 avec une corrélation génétique entre ces 2 caractères de - 0,40. Quatre méthodes d’évaluation génétiques ont été comparées : i) Blup unicaractère basé sur LS (b-LS) ; ii) Blup unicaractère basé sur OR (b-OR) ; iii) Blup bicaractère basé sur OR et LS (b-ORLS) ; iv) Prédicteur du maximum a posteriori bicaractère d’un modèle linéaire généralisé où OR est traité comme un caractère continu et ES comme un caractère à seuils (t-ORES). Les réponses observées étaient très voisines avec b-LS, b-ORLS et t-ORES, alors que b-OR donne une réponse significativement inférieure. La réponse sur OR était maximum avec b-OR et minimum avec b-LS, tandis que la réponse sur ES était maximum avec b-LS. Cette étude pose la question de savoir pourquoi la sélection basée sur des indices combinant OR et ES ne donne pas de résultats significativement supérieurs à la sélection sur LS.
- Published
- 1995
39. Les objectifs et les critères de sélection. Sélection de la fécondité dans les espèces domestiques
- Author
-
L. Bodin, G. Bolet, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), and Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)
- Subjects
fertilité ,[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,bovin ,ovin ,fécondite ,sélection ,porcin ,lapin ,prolificite ,Sciences agricoles ,monogastrique ,Agricultural sciences ,oryctolagus cuniculus - Abstract
Pour toutes les espèces et pratiquement quel que soit leur type de production, l’amélioration de la reproduction fait partie des objectifs de sélection. Fertilité et prolificité (composantes de la fécondité), mais aussi rythme de mise-bas et durée de carrière sont les principaux caractères qui se combinent, de manière spécifique à chaque espèce du fait d’interactions entre rythmes biologiques et facteurs de milieu, pour former la carrière reproductive de la femelle, évaluée par la productivité numérique. Une sélection basée sur une mesure de la taille de portée est la méthode la plus classique, dans les élevages expérimentaux ou à partir d’un programme de contrôle de performances en ferme, pour l’amélioration génétique de la fécondité. Mais la faible héritabilité de la taille de portée et la faible intensité de sélection praticable ont le plus souvent limité son efficacité, qui peut être améliorée par l’ouverture de la population fermée à une base de sélection la plus large possible, grâce au contrôle de performances en élevage, et à l’utilisation de modèles statistiques permettant de prendre en compte toute l’information disponible dans la population. Des méthodes de sélection alternatives sont en cours d’expérimentation : sélection sur un critère "global", prenant en compte à la fois la fertilité et la prolificité, sélection sur les composantes de la taille de portée, soit en combinant le taux d’ovulation et de survie embryonnaire en un index additif "optimum", soit en sélectionnant sur une des composantes de la taille de portée, sélection sur d’autres critères indirects liés plus ou moins directement à la fécondité de la femelle, recherches de gènes majeurs. En ce qui concerne les travaux expérimentaux en cours, on notera que l’utilisation du contrôle de performances en ferme pour détecter des génotypes extrêmes et constituer des noyaux de sélection est une démarche assez générale. Dans les différentes espèces considérées, à des degrés divers, des programmes de contrôle de performances, en ferme et / ou en station, permettent d’enregistrer des données de productivité numérique avec différentes applications, allant d’un simple appui technique aux éleveurs à un programme collectif d’amélioration génétique.
- Published
- 1992
40. Conséquences de l'augmentation de la prolificité sur l'élevage des agneaux et sur la production de viande
- Author
-
Theriez, M. and Revues Inra, Import
- Subjects
taille de la portee ,composition chimique ,poids à la naissance ,[SDV.SA.SPA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences/Animal production studies ,carcasse ,production de viande ,[SDV.SA.SPA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences/Animal production studies ,élevage ovin ,prolificite ,Sciences agricoles ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,Agricultural sciences - Abstract
L’accroissement de la taille de la portée entraîne une réduction du poids de chacun des agneaux produits. Cette diminution est de l’ordre de 20 % par agneau supplémentaire dans les races "classiques" et voisine de 15 % pour les races prolifiques. La composition chimique des nouveau-nés évolue également avec la prolificité: leurs teneurs en protéines et en lipides diminuent avec leur poids à la naissance. Les agneaux de faible poids ont plus de difficultés à s’adapter à l’environnement et leur taux de mortalité au cours des premières 48 heures est très supérieur à celui des agneaux plus lourds. Au cours de la période d’allaitement (6-8 semaines), la consommation de lait des agneaux multiples et leur croissance sont inférieures en valeur absolue (g/j) à celles des simples, mais identiques en valeur relative (g/kg PV/j). Il en résulte, à6-7 semaines, une différence de poids vif d’environ 2,4 kg par kg d’écart de poids à la naissance, quel que soit le mode d’allaitement. Ces différences s’accentuent si les agneaux sont placés en conditions difficiles (pâturage) après sevrage, elles se maintiennent si les conditions d’élevage sont très favorables (bergerie). A partir de 10-12 kg de poids vif, la composition corporelle des agneaux, et plus particulièrement leur teneur en lipides, dépend de leur poids à la naissance. Plus l’agneau est léger à la naissance et plus sa teneur en lipides à un poids déterminé sera élevée. Cette différence est due à la réduction du potentiel de croissance du squelette par suite de la sous-nutrition in utero. Il est indispensable de réduire le poids à l’abattage des agneaux multiples, pour produire des carcasses à état d’engraissement constant. Un kg de moins à la naissance entraîne une diminution de 0,6 à 1 kg du poids de la carcasse., Increasing litter size induces a reduction inbirth weight of new born lambs. This reduction,close to 20 % for « classical » breeds, is limited to 15 % for the prolific ones. Body composition of lambs at birth varies with their weight ; their protein and fat contents decreasing with birth weight. The small sized lambs have more difficulty in adapting to the external environment and their neonatal mortality is much higher than that of heavy lambs.During the suckling period (6 to 8 weeks),daily milk consumption and growth rate of multiples are lower those of singles when expressed in absolute values (g/d) but identical on a relative basis (g/kg body weight/d). A one kg difference on birth weight induces a 2.4 kg body weight variation at 6-7 weeks of age. This discrepancy may increase after weaning when lambs are kept in an unfavorable environment (pasture) or remain constant when conditions are good (indoors). From 10-12 kg live weight onwards, body composition of lambs, and particularly their body fat content, varies with birth size: the smaller the size at birth, the higher the animals fat contentat a certain weight; this is a consequence of the reduction in skeleton growth potential due to in utero under nutrition. Production of carcasses to a constant fatscore necessitates a reduction of the slaughter weight of multiple lambs, one less kg at birth reduces carcass weight by 0.6 to 1 kg.
- Published
- 1991
41. A comparison of genetic data from New Zealand and France on twin calving in cattle
- Author
-
CA Morris, JL Foulley, Ministry of agriculture and fisheries, Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and Revues Inra, Import
- Subjects
lcsh:QH426-470 ,040301 veterinary sciences ,naissance gémellaire ,Ice calving ,[SDV.GEN.GA] Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,Biology ,prolificite ,performance de reproduction ,0403 veterinary science ,03 medical and health sciences ,Genetics ,sélection ,Genetics(clinical) ,10. No inequality ,reproductive and urinary physiology ,Ecology, Evolution, Behavior and Systematics ,Selection (genetic algorithm) ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,030304 developmental biology ,lcsh:SF1-1100 ,0303 health sciences ,[SDV.GEN]Life Sciences [q-bio]/Genetics ,Research ,Nouvelle zelande ,food and beverages ,Genetic data ,04 agricultural and veterinary sciences ,General Medicine ,Full article ,lcsh:Genetics ,[SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,Evolutionary biology ,Animal Science and Zoology ,nouvelle zélande ,lcsh:Animal culture ,europe ,france ,cee - Abstract
Data on twin calvings were compared from New Zealand (1559 cows in 3 selected private herds; two Milking Shorthorn and one Friesian) and France (216 cows in 11 Maine Anjou pedigree herds). Twin calving rates (France only) and cumulative numbers of twin calvings per lifetime (both countries) were obtained for all cows, classified according to their sire and dam groups. Dam groups were defined according to the number of twin calvings in the dam’s lifetime. In New Zealand, the 2 sire groups were defined as follows : (1) no daughter producing 2 or more sets of twins; (2) at least one such daughter. In France, the discrimination was based on the twin calving rate of daughters recorded in the whole population with group 1 below 6% and group 2 over that value. The mean frequencies of cows with at least one set of twins were 0.112 in the New Zealand herds and 0.125 in France. In both countries, there were significant effects of sire and dam groups, but no interaction on a logit scale. In addition, the 2 data sets showed a similar increase (x 1.9 to x 2.5) in frequency of cows producing at least 1 twin set comparing those from dams with twins and those from dams with no twin set. Resultats demonstrated the opportunity of sire selection to improve twin calving performance. The efficiency of selection would also be enhanced by a joint choice of sires dams from prolific groups., Cet article compare des données de vêlages gémellaires obtenues en Nouvelle-Zélande (1559 vaches de 3 élevages privés dont 2 de race laitières Shorthorn et 1 de race Frisonne) et en France (216 vaches provenant de 11 élevages de sélection de race Maine Anjou). On disposait du taux de vêlages gémellaires (en France seulement) et du nombre cumulé de vêlages gémellaires dans la carrière d’une vache et de leur répartition par groupe de pères et de mères. Les groupes de mères étaient définis selon le nombre de vêlages gémellaires observés au cours de la carrière de la vache. En Nouvelle-Zélande, les 2 groupes de pères étaient définis selon que le père comportait (groupe 2) ou non (groupe 1) au moins une fille ayant produit au moins 2 fois des jumeaux. En France, la discrimination était basée sur le taux de vêlages gémellaires observés sur les filles contrôlées dans toute la population, le seuil entre les deux groupes se situant à 6%. La fréquence de vaches ayant eu au moins une fois des jumeaux était de 0,112 en Nouvelle- Zélande et 0,125 en France. Dans les 2 pays, on a mis en évidence des effets significatifs des groupes de pères et de mères, mais pas d’interaction sur une échelle logit. De plus, les 2 fichiers indiquaient des accroissements relatifs similaires des performances de gémellité entre filles issues de mères n’ayant eu aucun vêlage gémellaire et celles issues de mères avec au moins un vêlage gémellaire. Ces résultats prouvent l’intérêt d’une sélection des mâles pour améliorer le taux de vêlages gémellaires ainsi que celui d’un choix simultané de parents parmi les groupes les plus prolifiques.
- Published
- 1991
42. Sélection sur la prolificité chez le porc. I. Résultats d'une expérience de sélection sur onze générations
- Author
-
L. Ollivier, P. Dando, G. Bolet, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), and Revues Inra, Import
- Subjects
lcsh:QH426-470 ,[SDV.GEN.GA] Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,Biology ,paramètre génétique ,prolificite ,race porcine ,fertilité ,03 medical and health sciences ,expérience de sélection ,Genetics ,Ecology, Evolution, Behavior and Systematics ,Selection (genetic algorithm) ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,030304 developmental biology ,lcsh:SF1-1100 ,0303 health sciences ,[SDV.GEN]Life Sciences [q-bio]/Genetics ,0402 animal and dairy science ,04 agricultural and veterinary sciences ,General Medicine ,040201 dairy & animal science ,Full article ,[SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,lcsh:Genetics ,Animal Science and Zoology ,lcsh:Animal culture ,Article De Recherche ,Humanities - Abstract
Une expérience de sélection a été entreprise par l’INRA en 1965 en vue d’évaluer la possibilité d’augmenter la prolificité du porc, en utilisant comme critère de sélection le nombre total (NT) de porcelets nés dans les deux premières portées de la truie. A partir d’une population de base de 10 mâles et 120 femelles de race Large White, 2 lignées ont été constituées, une lignée sélectionnée sur la prolificité maternelle intra-famille de père et une lignée témoin maintenue sans sélection. Une réponse faible et non significative de 0,024 ± 0,077 porcelet par génération pour NT a été obtenue sur les 11 générations de l’expérience avec une héritabilité réalisée pour NT de 0,04 ± 0,13. L’estimation obtenue par régression mère-fille (0,03 ± 0,08) est nettement inférieure à l’estimation obtenue à partir des covariances entre demi-soeurs (0,20 ± 0,14). Cette différence suggère l’existence d’effets maternels défavorables ayant pu réduire la réponse à la sélection, puisque les portées n’étaient pas uniformisées à la naissance. La faible sélection pratiquée par la voie mère-fille atténue cependant l’importance de ces effets. Une autre explication possible résulte du dispositif expérimental (faible intensité de sélection et effectif réduit des lignées), qui rendait le succès de l’expérience peu probable a priori. Une réponse indirecte significative de 0,12 ± 0,07 corps jaunes par génération est cependant obtenue en troisième gestation, sans réduction de la survie embryonnaire à 30 jours. L’ensemble des résultats suggère que l’efficacité de la sélection peut augmenter avec la parité., A selection experiment was initiated in i965 at INRA in order to evaluate the possibilities of increasing pig prolificacy, using the total number (NT) of piglets born in the first 2 litters of a sow as a selection criterion. Starting from a Large White foundation stock of 10 males and 120 females, 2 lines were derived, a line selected on matemal prolificacy within-sire family, and a control line. A low and not significant response of 0.024 ± 0.077 piglet per generation was obtained for NT over 11 generations with a realized heritability for NT of 0.04 ± 0.13. The daughter-dam regression heritabifity (0.03 ± 0.08) is markedly lower than the half-sib heritability (0.20 ± 0.14). This suggests the existence of unfavourable maternal effects, which might have reduced the selection response, as litters were not standardized at birth. However the low contribution of the dam-daughter path in the selection applied reduces those effects. The a priori low chance of success of the experiment is also to consider, because of inadequacies of the design, namely regarding selection intensity and size of the 2 lines. A significant correlated response was however obtained for ovulation rate 0.12 ± 0.07 corpus luteum) in the third gestation, without reduction in embryo survival at 30 days. A general tendency to an increase in selection efficiency over parities was observed in this experiment.
- Published
- 1989
43. Teneurs plasmatiques en FSH et LH des agneaux males et femelles issus de beliers Lacaune prolifiques et non prolifiques
- Author
-
RICORDEAU, G., Blanc, Michel, Bodin, Loys, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and Unité de recherche Physiologie de la reproduction des mammifères domestiques, Nouzilly
- Subjects
race ovine lacaune ,taux d'ovulation ,ovin ,race ovine romanov ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,agneau ,taille testiculaire ,prolificite ,gonadotropine - Abstract
Cette étude a pour but de mesurer les teneurs en FSH et LH plasmatique des produits mâles et femelles et la croissance testiculaire des mâles issus de 16 pères Lacaune sélectionnés d’après leur index de prolificité en fermes (8 prolifiques H et 8 non prolifiques B) et de mères Romanov et F1 Lacaune X Romanov. Elle porte sur 161 agneaux dont 100 mâles et 61 femelles. Les taux de FSH et de LH sont mesurés sur un seul prélèvement de sang à 3, 5, 7, 9 et 11 semaines ; le diamètre testiculaire est mesuré à 7, 10 et 14 semaines. Chez les mâles, le taux de FSH est maximum à 5 semaines (3,6 ng/ml) ; il est indépendant du type de naissance, du type génétique des agneaux et de l’index de prolificité de leur père. Intra-type génétique, le diamètre testiculaire est indépendant de l’index du père. Chez les femelles, le maximum de FSH est plus élevé (8,2 ng) et atteint dès 3 semaines. L’effet de l’index du père est très significatif à 3 et 5 semaines et l’effet du type génétique très significatif à 3 semaines, alors que les effets du type de naissance et du poids vif ne sont jamais significatifs. Le taux de FSH à 5 semaines des 58 agnelles croisées est corrélé de façon significative avec leur taux d’ovulation mesuré à 9-10 mois. Ces résultats indiquent que le taux de FSH des agnelles pourrait constituer un critère précoce pour indexer les béliers. En ce qui concerne les concentrations en LH plasmatique des agneaux mâles et femelles, tous les effets (type de naissance, type génétique et index père) sont non significatifs., The purpose of this study was to examine the plasma FSH and LH levels of male and female lambs and the testicular growth of males issued from 16 Lacaune rams selected on their prolificacy index in farms (8 prolific and 8 non prolific rams) and from Romanov and F1 Lacaune X Romanov ewes. A total of 161 lambs (100 males and 61 females) was observed. Plasma FSH and LH were measured on single blood samples collected at 3, 5, 7, 9 and 11 weeks of age. The testicular diameter was measured at 7, 10 and 14 weeks. In males, plasma FSH reached a maximum at 5 weeks (3,6 ng/ml) ; it was independent of birth type, lamb genotype and sire prolificacy index. Within a genotype, testicular diameter was independent of the sire’s index. In females, the maximum concentration of plasma FSH was higher than that of males (8.2 ng/ml) and was reached as early as 3 weeks of age. The effect of sire prolificacy index was very significant (P < 0.01) at 3 and 5 weeks, when effects of birth-type and liveweight are never significant. At 5 weeks of age, FSH plasma concentration of the 58 crossbred ewe lambs was related to their ovulation rate observed at 10 months of age. These results show that plasma FSH levels in ewelambs could constitute an early criterion of ram selection. Plasma LH in males and females was independent of birth type, lamb genotype and sire prolificacy index.
- Published
- 1984
44. Une nouvelle translocation réciproque t, rcp (7 q- ; 15 q+) chez un verrat ' hypoprolifique '
- Author
-
POPESCU, C.P., Boscher, J., Tixier, Marie-Stéphane, Revues Inra, Import, Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA)
- Subjects
[SDV.GEN]Life Sciences [q-bio]/Genetics ,anomalie chromosomique ,porcin ,[SDV.GEN.GA] Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,verrat ,prolificite ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS - Abstract
Une nouvelle translocation réciproque t, rcq (7 q- 15 q+) a été identifiée chez un verrat dont la prolificité apparaît réduite de 45 p. 100. Les conséquences zootechniques et économiques de cette anomalie sont discutées., A new type of reciprocal translocation t, rcp (7 q- ; 15 q+) was found in a boar with a 45 p. 100 apparent reduction of his prolificacy. Some zootechnical and economic consequences of this abnormality are discussed.
- Published
- 1983
45. Composantes de la prolificité de truies Large White hyperprolifiques en comparaison avec des truies de races Meishan et Large White
- Author
-
M. Terqui, Françoise Martinat Botte, J. Gruand, Françoise Berthelot, A. Locatelli, G. Bolet, Revues Inra, Import, Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Unité de recherche Physiologie de la reproduction des mammifères domestiques, Nouzilly, and Unité de selection porcine
- Subjects
lcsh:QH426-470 ,animal diseases ,[SDV.GEN.GA] Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,Biology ,prolificite ,mortalité embryonnaire ,taux d'ovulation ,03 medical and health sciences ,Genetics ,Genetics(clinical) ,porcin ,Ecology, Evolution, Behavior and Systematics ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,030304 developmental biology ,lcsh:SF1-1100 ,2. Zero hunger ,0303 health sciences ,[SDV.GEN]Life Sciences [q-bio]/Genetics ,Research ,0402 animal and dairy science ,Large white ,04 agricultural and veterinary sciences ,General Medicine ,040201 dairy & animal science ,Full article ,lcsh:Genetics ,Evolutionary biology ,Animal Science and Zoology ,lcsh:Animal culture - Abstract
We identified the most prolific sows in French Large White herds and 17 hyperprolific sows (HLW) were bought whose average litter size on 3 farrowings was 16.5 piglets born alive, i.e. a superiority of 5.3 piglets per litter over their contemporaries. In 1 to 3 subsequent pregnancies we compared ovulation and embryonic mortality rates of 10 HLW with those of 10 Large White (LW) and 7 Meishan (MS) sows. The ovulation rate of HLW was significantly higher than that of LW (+ 5.3) and MS (+ 5.7). The ovulation rate of HLW daughters was higher by 2.1 corpora lutea compared to that of LW gilts at the 3rd oestrus after puberty, which occurred at the same age in the 2 genotypes (228 days) ; MS gilts were pubescent significantly earlier (88 days) and had a significantly lower ovulation rate than both Large White groups. The embryonic mortality rate was high in HLW sows (41 p. 100), whereas that of MS sows was low (16 p. 100), compared to that of LW sows (26 p. 100). Regression of embryonic mortality rate on ovulation rate was significantly positive (+ 2.5), and embryonic mortality rate remained significantly higher in both Large White groups than in MS sows when corrected for ovulation rate. It is concluded that the improvement of embryonic survival in Large White sows should be a high priority to improve the efficiency of the hyperprolific line and that the Meishan breed which is prolific owing to a low embryonic mortality may be an appropriate experimental model., Les truies les plus prolifiques des élevages français de race Large White ont été recherchées. Dix-sept truies hyperprolifiques (LWH) ont ainsi été achetées, dont la taille de portée moyenne, sur 3 mises bas, était de 16,5 porcelets nés vivants, soit une supériorité de 5,3 sur leurs contemporaines. Sur 1 à 3 gestations ultérieures nous avons comparé les taux d’ovulation et de mortalité embryonnaire de 10 truies LWH à ceux de 10 truies Large White (LW) et de 7 truies de race Meishan (MS). Le taux d’ovulation des LWH est significativement supérieur à celui des LW (+ 5,3) et des MS (+ 5,7). Chez leurs filles, il est supérieur de 2,1 corps jaunes à celui des LW dès le 3e cycle après la puberté, qui a lieu à un âge identique (228 jours). Les jeunes truies MS sont pubères plus tôt (à 88 jours) et ovulent significativement moins que les LW aux 1er et 3e cycles. Le taux de mortalité embryonnaire des LWH est très élevé (41 p. 100), alors que celui des .MS est faible (16 p. 100) par rapport à celui des LW (26 p. 100). La régression du taux de mortalité embryonnaire sur le taux d’ovulation est significativement positive (+ 2,5). Le taux de mortalité embryonnaire corrigé pour le taux d’ovulation reste significativement plus élevé dans les 2 groupes de Large White que chez les MS. Il apparaît donc que l’amélioration génétique du taux de survie embryonnaire chez les truies Large White est un objectif prioritaire pour accroître l’efficacité de la lignée hyperprolifique et que la race Meishan prolifique grâce à une faible mortalité embryonnaire constitue un modèle expérimental privilégié.
- Published
- 1986
46. Influence du poids et de la densite des plantations des bulbes d'echalote sur les caracteristiques de la recolte et la prolificite des bulbes-fils
- Author
-
Cohat, J.
- Subjects
allium cepa ,compétition ,bulbe ,culture legumiere ,multiplication végétative ,échalote ,prolificite ,Sciences agricoles ,Agricultural sciences - Abstract
Des bulbes d’échalote de Jersey (variété « Demi-longue ») de poids variable sont plantés à diverses densités. Le rendement augmente légèrement lorsque le poids planté par unité de surface augmente. La répartition de la récolte selon la grosseur des bulbes dépend du nombre de pousses et en conséquence de celui des bulbes formés à l’unité de surface. Ce nombre est fonction à la fois du poids de la semence et de la densité de plantation. La compétition plus ou moins forte entre pousses dans les cultures influence légèrement le rendement, mais surtout la prolificité des bulbes-fils quand ceux-ci sont utilisés pour une nouvelle plantation., Shallot bulbs (Jersey variety « Demi-longue ») of various weights were planted at different densities. Yield increased slightly with weight of bulbs planted per unit area. The size distribution of harvested bulbs depended on the number of bulbs harvested per unit area, which in turn depended on both the weight of planted bulb and the planting density. The level of competition within the mother bulb crops slightly influenced yield and more clearly the rate of multiplication of daughter bulbs.
- Published
- 1986
47. Etude de la prolificite en epis du mais dans le premier cycle de selection de deux populations precoces
- Author
-
Yves Montalant, Patrick Vincourt, Yves Barrière, Revues Inra, Import, Unité de recherche Génétique et Amélioration des Plantes Fourragères (UGAPF), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), and Unité de recherche Génétique et amélioration des plantes (GAP)
- Subjects
[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,[SDV.SA] Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,maïs ,Forestry ,Biology ,prolificite ,Zea mays ,Agricultural sciences ,plante fourragère ,[SDV.EE] Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment ,précocité ,ensilage ,sélection ,grain ,Agronomy and Crop Science ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,Sciences agricoles - Abstract
Deux populations de maïs précoces prolifiques en épis, à grains respectivement cornés et dentés, ont été constituées en croisement pyramidal entre des lignées précoces non prolifiques et des lignées plus tardives prolifiques, suivi de deux inter croisements. L’étude a porté sur les descendances demi-frères des plantes So prolifiques et précoces sélectionnées dans chacune des deux populations, avec une densité de culture de 80 000 plantes par hectare. Le niveau de prolificité moyen des familles obtenues est de 1,4 épi par plante, avec une variabilité plus élevée pour la population « cornée ». Les plantes prolifiques se caractérisent par la présence d’une feuille supplémentaire située sous l’épi supérieur, caractère lié à la tardiveté chez les familles « cornées » seulement. L’héritabilité (au sens strict) de la prolificité, calculée pour la population « dentée », n’est pas très élevée (h2 = 0,25). Toutefois, une sélection épi-ligne pratiquée avec un effectif de 20 plantes par familles peut permettre un tri relativement efficace, avec un gain génétique attendu voisin de 0,12 épi/plante par cycle pour un taux de sélection voisin de 30 p. 100. La limite actuelle à l’utilisation de ce matériel est liée à sa sensibilité à la verse en végétation, défaut qui devra être corrigé au cours des cycles ultérieurs de sélection., Two synthetics of early prolific maize, one flint and one dent, were constructed by crossing early nonprolific inbreds and mid-late prolific inbreds (tabl. 1), and intercrossing the complex hybrids obtained twice in isolation. This study deals with the half-sib progenies of early prolific So plants selected in the second intercrossing of each synthetic. The population density was 80 000 plants per ha. The average prolificacy of each synthetic was 1.4 ear per plants with a higher variability of the flint material (tabl. 2). Prolific plants (fig. 1) had one leaf more than non-prolific ones, this leaf being situated below the first ear. The number of leaves above the first ears was about the same in non-prolific and prolific materials, with a tendency for 0.25 leaf less in prolific dent material. PHILIPPE (1980) obtained similar results with later families, and SORRELS et al. (1979), observed a significant positive correlation between prolificacy and number of nodes below the first ear, and a negative one with the number of nodes above the first ear. Prolificacy was negatively correlated with earliness only for the flint synthetic. The narrow-sense heritability of prolificacy, computed for dent material, was not very high, about 0.25. Nevertheless an ear-to-row selection, with about 20 plants per family, could lead to efficient breeding with a genetic gain of about 0.12 ear/plant per cycle for a selection rate of 30 %. Both synthetics used were susceptible to lodging, which must be corrected during further breeding cycles.
- Published
- 1984
48. Répétabilité de la fertilité des canes Rouen et Pékin (Anas platyrynchos) en croisement interspécifique avec le Barbarie (Cairina moschata) par insémination artificielle
- Author
-
B. Poujardieu, R. Rouvier, A. Auvergne, R. Babilé, F. Salzmann, Revues Inra, Import, Station d'Amélioration Génétique des Animaux (SAGA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Ecole Nationale Supérieure Agronomique d'Alger, Centre de Sélection des Palmipèdes Gras, and Partenaires INRAE
- Subjects
lcsh:QH426-470 ,sperme ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,medicine.medical_treatment ,Zoology ,[SDV.GEN.GA] Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,Biology ,prolificite ,reproduction ,fertilité ,03 medical and health sciences ,Genetics ,medicine ,sélection ,Genetics(clinical) ,canard ,Ecology, Evolution, Behavior and Systematics ,Selection (genetic algorithm) ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,lcsh:SF1-1100 ,030304 developmental biology ,2. Zero hunger ,fécondation ,0303 health sciences ,Research ,Artificial insemination ,0402 animal and dairy science ,Cairina moschata ,04 agricultural and veterinary sciences ,General Medicine ,insémination artificielle ,biology.organism_classification ,040201 dairy & animal science ,3. Good health ,Full article ,lcsh:Genetics ,[SDV.GEN.GA]Life Sciences [q-bio]/Genetics/Animal genetics ,anser domesticus ,hérédité ,Animal Science and Zoology ,lcsh:Animal culture - Abstract
Dans le but d’obtenir les répétabilités des taux de fertilité des canes communes en production de mulards par insémination artificielle, 2 expériences ont été conduites. Les inséminations avaient lieu 2 fois par semaine avec un mélange de sperme frais de 3 mâles Barbarie. Cinquante-trois canes Rouen, 83 et 62 canes Pékin ont été contrôlées individuellement pour tous leurs œufs pondus pour des durées respectives de 49, 38, 47 jours et des intensités moyennes de ponte pendant ces périodes respectivement de 0,83 ; 0,79 et 0,91. Les taux moyens d’oeufs fécondés sont respectivement de 0,69 ; 0,52 et 0,61. La moyenne générale est de 0,60 pour 7 338 œufs mis à incuber. Les répétabilités du taux de fertilité dues à l’effet « cane » sont très significatives : 0,70 ; 0,89 et 0,88 respectivement. Il est confirmé que le taux d’oeufs fécondés moyen dépend principalement de la maitrise de la technique d’insémination artificielle. Il est conclu qu’il n’y a pas de barrière gamétique ou génétique entre les 2 espèces, mais qu’une barrière comportementale peut exister en accouplement naturel ; que l’insémination artificielle pourrait être utilisée dans les programmes d’amélioration génétique de la cane commune pour améliorer la production de mulards, et que la transmission héréditaire de la fertilité de la cane commune en production d’embryons hybrides devra être étudiée., In order to estimate the repeatability values for fertility rate of common duck for producing mule duck by artificial insemination, 2 experiments were made. The artificial inseminations occurred twice weekly with mixed fresh semen from 3 Muscovy drakes. The eggs laid by 53 Rouen ducks. 83 and 62 Pekin ducks were individually recorded for 49, 38 and 47 consecutive days respectively. The average egg laying intensities were 0.83 ; 0.79 and 0.91. The average proportions of fertile eggs among the incubated eggs were respectively 0.69 ; 0.52 and 0.61. The general mean is 0.60 for 7 338 eggs set. Repeatability values are highly significant, varying from 0.70 to 0.89. It is confirmed that the average fertility rate depends primarily on the mastering of the artificial insemination technique. It is concluded that there is no gametic or genetical barrier between the 2 species, but that a behavioral one may exist in natural matirg ; that artificial insemination could be used in breeding programs to improve mule duck production from common duck and that hereditary transmission of fertility of the common duck for hybrid embryos has to be studied.
- Published
- 1987
49. Ovulation rate and embryo survival in the pig : genetic aspects
- Author
-
Bidanel, Jean Pierre, Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), and Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)
- Subjects
[SDV.SA]Life Sciences [q-bio]/Agricultural sciences ,déterminisme génétique ,amélioration de la race ,ovulation ,porcin ,survie prénatale ,prolificite ,Sciences agricoles ,monogastrique ,Agricultural sciences - Abstract
National audience; Cet article fait le point des connaissances actuelles sur la variabilité génétique du taux d’ovulation (TO) et de la survie embryonnaire (SE). Les 2 caractères présentent une forte étendue de variation entre races (8 à 10 ovules et 20 à 25 points de pourcentage pour TO et SE respectivement). Les effets d’hétérosis direct sont peu importants (2 à 3 % pour TO ; 1 à 2 % pour SE). Par contre, la survie embryonnaire présente un effet d’hétérosis maternel important (environ 8 %). L’héritabilité du taux d’ovulation est relativement élevée (0,30). Celle de la survie embryonnaire est moins bien connue, mais semble comparable ou légèrement supérieure à celle de la prolificité (environ 0,15). La corrélation génétique entre TO et SE est négative, les liaisons avec la prolificité étant par contre positives. Les quelques estimations disponibles ne permettent malheureusement pas de préciser l’importance de ces relations. Des liaisons avec le système majeur d’histocompatibilité et la présence de translocations réciproques ont par ailleurs été mises en évidence. D’autres sont suspectées avec le groupe sanguin H et le locus de la transferrine. Les possibilités d’utilisation de ces composantes pour l’amélioration génétique de la prolificité sont ensuite discutées. Des perspectives semblent exister, mais l’imprécision de nos connaissances sur la variabilité génétique de TO et SE et les problèmes de modélisation de la survie embryonnaire ne permettent pas, pour l’instant, de conclure.
- Published
- 1989
50. Application of the theory of selection indices to repeated characters. Example of the selection on prolificacy in pigs
- Author
-
Tartar, M., Bolet, Gerard, Station de Génétique Quantitative et Appliquée (SGQA), and Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)
- Subjects
index de sélection ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,porcin ,prolificite ,corrélation génétique ,porc - Abstract
Pour des caractères répétés (production laitière, prolificité...), l’indice de sélection (Im.) classiquement utilisé est basé sur la moyenne des n observations et ne dépend que de l’héritabilité et la répétabilité du caractère ; nous lui comparons un indice combiné (Ic) où chaque observation est pondérée par un coefficient calculé à partir de la théorie de HAZEL prenant en compte les corrélations génétiques (rG) entre répétitions, éventuellement inférieures à 1. Pour un objectif de sélection H constant, nous faisons varier le nombre d’observations dans l’indice (1 à 5), l’héritabilité (0,10 et 0,60) et les corrélations génétiques rG (de 0 à 1 par pas de 0,1). Pour une même valeur de ces paramètres, la précision (corrélation entre H et I) et l’efficacité (espérance de progrès génétique sur H par unité d’intensité de sélection) de Im et Ic sont pratiquement identiques ; la perte de précision de Im par rapport à Ic est au maximum de 9 p. 100 ; elle est d’autant plus élevée que rG est faible et que le nombre de mesures augmente. Le gain de précision et d’efficacité de Im ou Ic lié à la multiplication des mesures est d’autant plus important que rG est élevé ; il est plus important pour h2 = 0,10 que pour h2 = 0,60. L’hypothèse d’identité génétique entre observations (rG = 1), si elle est fausse, conduit à surestimer la précision et l’efficacité de la sélection ; cette surestimation est d’autant plus importante que le nombre de mesures est élevé ; elle varie également avec l’héritabilité. Ainsi, dans le cas de la sélection sur la prolificité chez le porc (h2 = 0,10), la surestimation de l’espérance de progrès génétique peut aller jusqu’à 300 p. 100 ; le cas de ce caractère est discuté en fonction des estimations de rG obtenues dans la littérature, elles sont variables mais inférieures à 1, ce qui permet d’expliquer en partie le désaccord entre les estimations théoriques et les résultats pratiques des expériences de sélection., The selection index (Im) which is classically used for repeated characteristics (e.g. milk production, prolificacy) is based on an average of n measurements and depends only on the coefficients of heritability (h2) and repeatability (r) of the trait concerned. As an alternative, a combined index (Ic) is suggested in which each observation is weighted by a coefficient calculated according to HAZEL'S theory ; this takes into account genetic correlations (rG) between repeated performances. For a desired breeding goal (H), this index is compared to the conventional one by varying the number of observations made (1 to 5), the values of h2 (0.1 to 0.6) and rG (0 to 1 in steps 0.1). For a given value of these parameters, the accuracy (correlation between H and I) and the efficiency (expected genetic improvement on H by selecting on Im and Ic respectively) of Im and Ic are almost the same. The greatest loss of accuracy of Im relative to Ic is 9 p. 100 ; the difference being more marked as rG is lower and n greater. The accuracy and efficiency of both Im and Ic are improved with increasing n and this is amplified by increasing ro and decreasing h2 values. If the hypothesis of rG = 1 is wrong, the accuracy and the efficiency of selection may be overestimated ; this overestimation is all the larger as the number of measures is higher ; it also varies with heritability. For example, in the case of selection on prolificacy in pigs (h2 = .10), overestimation of the expected genetic progress may be 300 p. 100. This character is discussed according to estimations of rG made in the literature ; these estimations are variable but lower than 1 and this may partly explain the discrepancies between theoretical expectations and the actual results obtained in selection experiments.
- Published
- 1984
Catalog
Discovery Service for Jio Institute Digital Library
For full access to our library's resources, please sign in.