3 results on '"champ du pouvoir"'
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2. Les transitions politiques comme moments de conflits : quelles interactions entre champ des mobilisations et champ du pouvoir ?
- Author
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Hmed, Choukri, Institut de Recherche Interdisciplinaire en Sciences Sociales (IRISSO), Université Paris Dauphine-PSL, and Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)
- Subjects
conflits ,Mobilisations ,transitions politiques ,Printemps arabes ,Tunisie ,champ du pouvoir ,[SHS]Humanities and Social Sciences - Abstract
La conception dominante des transitions politiques dans la science politique contemporaine a récemment été bousculée par le cycle de mobilisations ouvert dans les mondes arabes depuis la fin de l’année 2010, lequel a conduit, dans certains cas, à des changements de régimes protéiformes. Si on a mieux pensé l’émergence des « situations révolutionnaires » et l’enchaînement des processus de mobilisation, l’analyse des « issues révolutionnaires » est restée quant à elle le parent pauvre de ces sciences sociales en révolution. La plupart des recherches ont ainsi entériné l’apparente évidence du changement de régime, de la rupture institutionnelle et de la normalisation progressive de l’activité politique. D’un côté, la sociologie des mouvements sociaux et des mobilisations, très occidentalocentrée et mouvemento-centrée, rechigne souvent à penser « l’après » des protestations. De l’autre, les études qui relèvent de la transitologie sont tout entières focalisées sur le changement de régime et tend à ignorer d’autres acteurs que « l’élite restreinte » des professionnels de la politique. En prenant appui sur l’exploration du cas tunisien depuis 2010, la communication interrogera autrement les processus de transition, en considérant les interactions entre champ du pouvoir et champ des mouvements sociaux.
- Published
- 2021
3. Social capital in the field of power: the case of Norway
- Author
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Johs. Hjellbrekke, Frédéric Lebaron, Olav Korsnes, François Denord, Brigitte Le Roux, Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-École des hautes études en sciences sociales (EHESS)-Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1), Department of sociology, University of Bergen (UiB), Centre universitaire de recherches sur l'action publique et le politique. Epistémologie et Sciences sociales (CURAPP-ESS), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université de Picardie Jules Verne (UPJV), Mathématiques Appliquées Paris 5 (MAP5 - UMR 8145), Université Paris Descartes - Paris 5 (UPD5)-Institut National des Sciences Mathématiques et de leurs Interactions (INSMI)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF), Sciences Po (Sciences Po)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre de recherches politiques de Sciences Po (Sciences Po, CNRS) (CEVIPOF), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-École des hautes études en sciences sociales (EHESS)-Université Panthéon-Sorbonne (UP1), University of Bergen (UIB), Université de Picardie Jules Verne (UPJV)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Sciences Po (Sciences Po), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (UP1)-École des hautes études en sciences sociales (EHESS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre européen de sociologie et de science politique ( CESSP ), Université Panthéon-Sorbonne ( UP1 ) -École des hautes études en sciences sociales ( EHESS ) -Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS ), University of Bergen ( UIB ), Centre universitaire de recherches sur l'action publique et le politique. Epistémologie et Sciences sociales ( CURAPP-ESS ), Université de Picardie Jules Verne ( UPJV ) -Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS ), Mathématiques Appliquées à Paris 5 ( MAP5 - UMR 8145 ), Université Paris Descartes - Paris 5 ( UPD5 ) -Institut National des Sciences Mathématiques et de leurs Interactions-Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS ), Centre de Recherches Politiques de Sciences Po ( CEVIPOF ), and Sciences Po-Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS )
- Subjects
050402 sociology ,Sociology and Political Science ,classification euclidienne ,[SHS]Humanities and Social Sciences ,Social reproduction ,0504 sociology ,[MATH.MATH-ST]Mathematics [math]/Statistics [math.ST] ,050602 political science & public administration ,[ MATH.MATH-ST ] Mathematics [math]/Statistics [math.ST] ,Sociology ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS ,[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,Champ du pouvoir ,Individual capital ,Field (Bourdieu) ,05 social sciences ,[ SHS.SOCIO ] Humanities and Social Sciences/Sociology ,[STAT.TH]Statistics [stat]/Statistics Theory [stat.TH] ,16. Peace & justice ,Social mobility ,[ STAT.TH ] Statistics [stat]/Statistics Theory [stat.TH] ,0506 political science ,Economy ,Political economy ,Capital (economics) ,Analyse des correspondances multiples ,8. Economic growth ,Elite ,Social status ,Social capital - Abstract
International audience; This paper offers an analysis of social capital structures in the field of power, based on data from the Norwegian Power and Democracy Survey on elites, conducted in 2000. Separating between objectified, institutionalised, embodied and inherited social capital, we argue in favor of a Bourdieu-inspired approach, which necessitates an analysis of the relations between social capital and the other forms of capital. In order to explore these relations, and also patterns of homogeneity and heterogeneity in the field, we use specific multiple correspondence analysis and ascending hierarchical cluster analysis. This allows us to combine the description of network relations with a more finegrained analysis of capital structures. Firstly, we find that the level of institutionalised social capital varies from one fraction of the Norwegian elite to another. Political parties and business leaders are the most connected to other sectors, while church leaders are the least connected. Secondly, the range of networks established through previous work experiences is related to field seniority. The global volume of institutionalised social capital is, however, related to the opposition between political/organisational positions and judicial/military positions. Thirdly, the figurations of highest endogamy are situated in the religious field, and to a lesser extent, in the scientific fields, and in the police and the judicial sector. Finally, the 'core of the core' is defined by actors who are strongly interconnected inside what is called "the tripartite system", with a high level of multipositionality and intersectorial connections. The paper concludes by emphasising the need to examine the familial and historical dimensions of various social capital accumulation patterns, capital compositions and conversion strategies, claiming that this will help us to better understand the long term formation of stable elite positions and elite dynasties.
- Published
- 2011
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