Search

For many years the Diffusion Decision Model (DDM) has successfully accounted for behavioral data from a wide range of domains. Important contributors to the DDM’s success are the between-trial variability parameters, which allow the model to account for the various shapes of response time distributions encountered in practice. However, several researchers have pointed out that estimating the variability parameters can be a challenging task. Moreover, the numerous fitting methods for the DDM each come with their own associated problems and solutions. This often leaves users in a difficult position. In this collaborative project we invited researchers from the DDM community to apply their various fitting methods to simulated data and provide advice and expert guidance on estimating the DDM’s between-trial variability parameters using these methods. Our study establishes a comprehensive reference resource and describes methods that can help to overcome the challenges associated with estimating the DDM’s between-trial variability parameters.

Huit laboratoires ont analysé par leurs méthodes habituelles les teneurs en N, P, K, Ca, Mg des poudres foliaires de neuf plantes : arachide, bananier, caféier, cotonnier, hévéa, maïs olivier, palmier, riz. Ces échantillons ont été répartis entre les participants à l'enquête, après homogénéisation. Les teneurs ne sont pas très divergentes entre laboratoire, les plus fortes divergences portant sur les teneurs en Mg. Cependant, ces faibles différences sont significatives, ce qui résulte vraisemblablement de causes systématiques provenant des techniques analytiques. A signaler qu'à la suite de l'enquête, le laboratoire D a constaté que sa solution d'étalonnage pour le potassium était trop faible d'environ 14 %- On peut également noter que les laboratoires D et G, utilisant pour la minéralisation en vue du dosage de l'azote une méthode avec réduction préalable des nitrates, obtiennent des résultats plus élevés pour cet élément. Pour l'ensemble des laboratoires, la précision des dosages est satisfaisante, le coefficient global de variation n'étant que de 3 %- L ' étude des corrélations N-P confirme cette conclusion.

Depuis sa création en 1949 et devant le succès rencontré par l'application de la méthode du diagnostic foliaire à l'étude des carences et des besoins en engrais de l'arachide, puis du palmier et du cocotier, la demande d'analyses et le nombre des éléments à déterminer n'ont cessé de croître, ce qui a conduit le laboratoire spécialisé de l'I. R. H. O. à modifier à plusieurs reprises ses techniques analytiques. Un article publié en 1952 (1] a donné sommairement le principe des méthodes utilisées alors, ainsi que l'organisation adoptée pour réaliser en 1951environ3500 déterminations de N, P, K, Ca et Mg. En 1972, le laboratoire a traité plus de 8 500 échantillons sur lesquels il a effectué environ 35 000 dosages d'éléments majeurs, Na compris, et près de 15 000 déterminations de Cl et de S et des oligoéléments suivants : Fe, Cu, Mn, Zn, Al, B, Mo. Le, présent article se propose de décrire dans les grandes lignes l'organisation actuelle de cette section des laboratoires de l'I. R. H. O., qui comprend essentiellement, outre des salles de broyage et de stockage, une salle des balances, des laboratoires spécialisés, l'un pour les éléments majeurs, l'autre pour les oligoéléments, S et Cl, et un laboratoire pour la photométrie de flamme et la spectrophotométrie d'absorption atomique. Il a semblé intéressant de suivre pour cela le cheminement de l'échantillon depuis sa réception par le laboratoire jusqu'à l'envoi des résultats des mesures au service de calcul du Département Statistique de l'I. R. H. O., dont le fonctionnement et en particulier l'intervention dans le calcul et le contrôle des analyses ont été récemment décrits [2].

Huit laboratoires ont analysé par leurs méthodes habituelles les teneurs en N, P, K, Ca, Mg des poudres foliaires de neuf plantes : arachide, bananier, caféier, cotonnier, hévéa, maïs olivier, palmier, riz. Ces échantillons ont été répartis entre les participants à l'enquête, après homogénéisation. Les teneurs ne sont pas très divergentes entre laboratoire, les plus fortes divergences portant sur les teneurs en Mg. Cependant, ces faibles différences sont significatives, ce qui résulte vraisemblablement de causes systématiques provenant des techniques analytiques. A signaler qu'à la suite de l'enquête, le laboratoire D a constaté que sa solution d'étalonnage pour le potassium était trop faible d'environ 14 %- On peut également noter que les laboratoires D et G, utilisant pour la minéralisation en vue du dosage de l'azote une méthode avec réduction préalable des nitrates, obtiennent des résultats plus élevés pour cet élément. Pour l'ensemble des laboratoires, la précision des dosages est satisfaisante, le coefficient global de variation n'étant que de 3 %- L ' étude des corrélations N-P confirme cette conclusion.

Depuis sa création en 1949 et devant le succès rencontré par l'application de la méthode du diagnostic foliaire à l'étude des carences et des besoins en engrais de l'arachide, puis du palmier et du cocotier, la demande d'analyses et le nombre des éléments à déterminer n'ont cessé de croître, ce qui a conduit le laboratoire spécialisé de l'I. R. H. O. à modifier à plusieurs reprises ses techniques analytiques. Un article publié en 1952 (1] a donné sommairement le principe des méthodes utilisées alors, ainsi que l'organisation adoptée pour réaliser en 1951environ3500 déterminations de N, P, K, Ca et Mg. En 1972, le laboratoire a traité plus de 8 500 échantillons sur lesquels il a effectué environ 35 000 dosages d'éléments majeurs, Na compris, et près de 15 000 déterminations de Cl et de S et des oligoéléments suivants : Fe, Cu, Mn, Zn, Al, B, Mo. Le, présent article se propose de décrire dans les grandes lignes l'organisation actuelle de cette section des laboratoires de l'I. R. H. O., qui comprend essentiellement, outre des salles de broyage et de stockage, une salle des balances, des laboratoires spécialisés, l'un pour les éléments majeurs, l'autre pour les oligoéléments, S et Cl, et un laboratoire pour la photométrie de flamme et la spectrophotométrie d'absorption atomique. Il a semblé intéressant de suivre pour cela le cheminement de l'échantillon depuis sa réception par le laboratoire jusqu'à l'envoi des résultats des mesures au service de calcul du Département Statistique de l'I. R. H. O., dont le fonctionnement et en particulier l'intervention dans le calcul et le contrôle des analyses ont été récemment décrits [2].