Search

In the last few years, a significant amount of work has aimed to characterize maturational trajectories of cortical development. The role of pericortical microstructure putatively characterized as the gray-white matter contrast (GWC) at the pericortical gray-white matter boundary and its relationship to more traditional morphological measures of cortical morphometry has emerged as a means to examine finer grained neuroanatomical underpinnings of cortical changes. In this work, we characterize the GWC developmental trajectories in a representative sample (n = 394) of children and adolescents (~4 to ~22 years of age), with repeated scans (1–3 scans per subject, total scans n = 819). We tested whether linear, quadratic, or cubic trajectories of contrast development best described changes in GWC. A best-fit model was identified vertex-wise across the whole cortex via the Akaike Information Criterion (AIC). GWC across nearly the whole brain was found to significantly change with age. Cubic trajectories were likeliest for 63% of vertices, quadratic trajectories were likeliest for 20% of vertices, and linear trajectories were likeliest for 16% of vertices. A main effect of sex was observed in some regions, where males had a higher GWC than females. However, no sex by age interactions were found on GWC. In summary, our results suggest a progressive decrease in GWC at the pericortical boundary throughout childhood and adolescence. This work contributes to efforts seeking to characterize typical, healthy brain development and, by extension, can help elucidate aberrant developmental trajectories.

Le présent dossier invite à franchir les seuils de divers lieux d’enclavement volontaire. Qu’ils soient représentés dans des oeuvres littéraires, des films, des téléséries, voire même des émissions de téléréalité, ces parcs manifestent toujours un caractère d’irréalité qui renforce leur isolement par rapport au monde extérieur : ils ouvrent un espace-temps qui leur est propre.

Cet article est consacré à l’essai « Un truc soi-disant super auquel on ne me reprendra pas », dans lequel David Foster Wallace rend compte de son expérience de croisiériste à bord d’un méga-paquebot. Il analyse plus particulièrement les liens que Wallace tisse entre le navire de croisière et le parc, pensé à la fois comme un lieu clos aménagé à des fins de divertissement, et comme un espace flottant mortifère où s’opère un contrôle insidieux des touristes.

Cet article est consacré aux représentations de l’hypermarché dans les poèmes « Sur les supermarchés » de Jacques Réda et « Hypermarché — Novembre » de Michel Houellebecq. Ces textes poétiques, qui insistent sur le caractère sinistre de l’hypermarché, le déréalisent en l’assimilant à un lieu fantastique ou imaginaire. Ils développent aussi la figure du «poète-client» qui se singularise par rapport à la foule environnante tout en se montrant sensible à la dynamique marchande propre au lieu.