32 results on '"Argemi X"'
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2. Sputum smear-positive pulmonary tuberculosis: Is sputum smear examination required to discontinue airborne precautions?
- Author
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Argemi, X., Albrecht, M., Hansmann, Y., Jaulhac, B., Koebel, C., and Schramm, F.
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TUBERCULOSIS diagnosis , *TUBERCULOSIS treatment , *SPUTUM examination , *AIRBORNE infection , *UNIVERSITY hospitals , *RETROSPECTIVE studies - Abstract
Objective Our aim was to evaluate the criteria required to discontinue airborne precautions for patients presenting with sputum smear-positive pulmonary tuberculosis as the need for sputum smear examinations is still a matter of debate. Method We conducted a retrospective study in the University Hospitals of Strasbourg (France) from July 2011 to July 2013. Our aim was to describe the results of sputum smear examinations and cultures obtained from treated patients presenting with drug-sensitive pulmonary tuberculosis. We included 97 patients in the study. Conclusion Nearly half of patients for whom a sputum smear examination was performed had a negative sputum direct examination but a positive culture. According to the literature, those patients are still likely to be contagious. This questions the safety of discontinuing airborne precautions in this situation. We also observed a great disparity in physicians’ behaviors. Only half of them waited to get a negative sputum direct examination before discontinuing airborne precautions. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2015
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3. Fièvre et syndrome inflammatoire inexpliqué chez le sujet âgé, impact thérapeutique de la TEP-TDM au 18F-FDG.
- Author
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Greuez, C., Argemi, X., Giorgiutti, S., Goichot, B., Hannedouche, T., Kaltenbach, G., Lefebvre, N., Lenormand, C., Lescuyer, S., Moulin, B., Rondeau-Lutz, M., Schmitt, E., Sibilia, J., Imperiale, A., and Andres, E.
- Abstract
Les situations de fièvre ou de syndrome inflammatoire biologique inexpliqué sont un défi diagnostique. Il existe de très nombreuses étiologies possibles, réparties en causes infectieuses, inflammatoires non infectieuses, néoplasiques ou diverses. Dans certains cas le diagnostic reste indéterminé. La Tomographie à Emissions de Positons au 18 F-Fluorodésoxyglucose couplée à la Tomodensitométrie (TEP-TDM au 18F-FDG) permet d'orienter le diagnostic, de cibler la réalisation de biopsie et in fine d'orienter la prise en charge thérapeutique [1]. Il existe des données limitées concernant les étiologies chez les sujets âgés [2]. Il n'y a pas d'élément dans la littérature concernant la place de la TEP-TDM au 18F-FDG dans cette population. Le but était de déterminer de façon pragmatique, quelle était la prise en charge thérapeutique mise en place au sein d'une cohorte de sujets âgés explorés par TEP-TDM au 18F-FDG présentant une fièvre ou un syndrome inflammatoire inexpliqué. Cette étude rétrospective a été menée dans un centre hospitalo-universitaire, incluant des patients de 75 ans et plus, pris en charge entre 2013 et 2018, en médecine interne, maladies infectieuses, immunologie, rhumatologie, dermatologie, néphrologie ou gériatrie. Tous avaient eu une TEP-TDM au 18F-FDG, pour l'exploration d'une fièvre ou d'un syndrome inflammatoire biologique inexpliqué, quelle qu'en soit la durée d'évolution. Nous avons recherché la présence d'une modification thérapeutique dans les 6 mois (introduction ou arrêt d'un traitement préalablement introduit pour la fièvre ou le syndrome inflammatoire). Sur les 3351 TEP-TDM au 18F-FDG réalisées dans cette tranche d'âge pendant cette période, 93 patients remplissaient les critères de sélection. Environ la moitié était des hommes et l'âge médian était de 82 [78–85] ans. La plupart vivait à domicile (94,6 %) et était hospitalisée (92,4 %). Environ 20 % étaient immunodéprimés (n = 19). Le délai médian entre la demande et réalisation de l'examen était de 20 [6–35] jours. La quasi-totalité des patients (96,7 %) avait un syndrome inflammatoire biologique et 33 patients (35,9 %) avaient de la fièvre. Aucun diagnostic n'avait pu être identifié chez 38 patients (41,8 %). Les causes infectieuses et inflammatoires concernaient chacune le même nombre de patients (n = 18 soit 19,8 %). Une cause néoplasique était retrouvée chez 13 patients (14,3 %). Un nouveau traitement a été introduit chez 27 patients (33,3 %). Huit patients (10 %) étaient concernés par un arrêt de traitement. Pour la moitié de ces derniers, il y avait une introduction concomitante d'un nouveau traitement. Quatre patients (5 %) nécessitaient une prise en charge palliative. Une modification de la prise en charge thérapeutique a donc été retrouvée chez 31 patients (38,8 %). Le fait d'avoir de la fièvre était significativement lié à la présence d'une modification thérapeutique (OR 3,77 ; IC95 % 1,39 ; 10,77 ; p = 0,001). Près de 40 % des patients avaient eu au moins un examen complémentaire supplémentaire ciblé par des anomalies visibles à la TEP-TDM au 18F-FDG (n = 33). Un examen histologique était disponible chez 28 patients (35 %), pour 18 d'entre eux la biopsie était ciblée par le résultat de la TEP-TDM au 18F-FDG. Pour 12 patients (15,2 %), la TEP-TDM au 18F-FDG avait orienté vers une fausse piste. La place de la TEP-TDM au 18F-FDG semble importante en cas de fièvre ou de syndrome inflammatoire biologique inexpliqué chez le sujet âgé. Nous avons noté un impact thérapeutique chez près de 40 % des patients de notre cohorte, soit par l'arrêt d'une thérapeutique jugée inutile et/ou l'introduction d'un nouveau traitement à visée curative. Il est nécessaire de prendre en compte le niveau de fragilité de ces patients qui conditionne les possibilités de prise en charge. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2021
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4. Streptococcus pneumoniae appendicitis and bacteremia in an immunocompetent adult.
- Author
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Argemi, X., Lefebvre, N., Baldeyrou, M., Douiri, N., and Hansmann, Y.
- Subjects
- *
STREPTOCOCCUS pneumoniae , *APPENDICITIS , *BACTEREMIA , *IMMUNOCOMPETENT cells , *COMMUNICABLE diseases - Published
- 2016
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5. Un nouvel antigène bactérien à incriminer dans la sarcoïdose : Bartonella henselae. À propos d’un cas de maladie des griffes du chat suivie d’une sarcoïdose.
- Author
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Cavée, L., Argemi, X., Lecoq, C., Weber, J.C., and Rondeau-Lutz, M.
- Abstract
Introduction Les granulomatoses systémiques sont un diagnostic fréquent en médecine interne et la recherche d’une cause infectieuse en est souvent l’enjeu initial. La maladie des griffes du chat (MGC) ou infection à Bartonella henselae est une cause d’adénite granulomatose avec nécrose pyogène. Nous présentons un cas clinique de survenue successive d’une maladie des griffes du chat localisée et d’une sarcoïdose. Observation Une patiente de 37 ans vivant avec 2 chats, 2 chiens et 1 lapin, consulte fin 2016 pour une asthénie inhabituelle. En mars 2017, il s’y associe une baisse d’acuité visuelle unilatérale transitoire : l’examen ophtalmologique et l’IRM cérébrale sont normaux. En mai, des douleurs cervicales amènent à la découverte de multiples adénopathies sous-angulo-maxillaires dont la biopsie révèle d’importants remaniements nécrotiques avec granulomes épithélioïdes, sans BAAR à l’examen direct, sans mycobactérie à la culture avec PCR B . henselae positive et sérologie B . henselae positive au 1/256 e , la CRP à 4 mg/L. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien est sans anomalie. Une antibiothérapie d’un mois par azithromycine permet une amélioration clinique après une phase évolutive de fistulisation nécessitant plusieurs ponctions. En juillet 2017, un nouvel épisode de baisse d’acuité visuelle conduit la patiente à une hospitalisation en neurologie. Les investigations neurologiques (scanner cérébral, ponction lombaire, examen ophtalmologique, IRM cérébrale et médullaire) sont sans particularité tout comme le bilan biologique standard. On découvre toutefois de multiples adénopathies médiastino-hilaires au scanner et on note une élévation de l’enzyme de conversion de l’angiotensine à 97 U (N = 20–70). Le Quantiferon est négatif. La biopsie de ces adénopathies met en évidence un granulome épithélioïde sans nécrose. Le diagnostic de sarcoïdose est évoqué. Le TEP-TDM montre un hypermetabolisme glucidique intense caractérisant de multiples adénopathies centimétriques et supracentimétriques au niveau cervical et surtout un volumineux paquet ganglionnaire médiastinal (SUV max 23) avec également un amas ganglionnaire intensément hypermétabolique du hile hépatique. Il n’y a pas d’adénopathie périphérique, ni d’atteinte parenchymateuse pulmonaire, cardiaque, ophtalmologique ou rénale. La patiente est adressée en médecine interne fin octobre : elle se plaint d’arthromyalgies, d’anorexie, de fièvre maximale à 38,5 °C, de sueurs nocturnes. La sérologie B . henselae est au 1/128 e en IgG. Il n’y a pas d’hypercalcémie ni d’hypergammaglobulinemie, les LDH sont normales. Une corticothérapie à 0,5 mg/kg est débutée en novembre 2017 et l’évolution est favorable sur le plan clinique (avec amélioration des symptômes) et scannographique (diminution de 50 % de la taille des adénopathies médiastino-hilaires bilatérales). Discussion La MGC atteint plus souvent les enfants et les jeunes adultes, et évolue le plus souvent spontanément favorablement sans que les antibiotiques ne soient toujours nécessaires. Les formes systémiques atteignent les enfants (non immunodéprimés) ou des adultes immunodéprimés. Le granulome est un fait histologique classique. La sarcoïdose est une maladie systémique dont la physiopathologie fait intervenir une activation antigénique des lymphocytes CD4, une accumulation de macrophages et la formation d’un granulome. On s’interroge toujours sur la nature de l’antigène déclenchant : l’association avec l’exposition aux insecticides, moisissures, air conditionné, béryllium a été décrite. Des antigènes bactériens ont aussi été incriminés : mycobactéries, Propionibacterium acnes . L’hypothèse d’une dysfonction immunitaire en réponse à un stimulus antigénique est la plus probable. L’histoire de notre patiente commence par une bartonellose localisée typique évoluant favorablement, suivie de la survenue d’un tableau de sarcoïdose ganglionnaire. Lors de cette 2 e phase, l’hypothèse d’une bartonellose systémique n’a pas été retenue sur les arguments suivants : traitement efficace d’une bonne durée de la MGC, granulome sans nécrose au sein des adénopathies (toutefois, la PCR bartonella n’a pas été effectuée sur ce prélèvement), sérologie bartonella à taux stable voire en diminution. L’évolution favorable sous corticothérapie est également un argument en faveur de la sarcoïdose. Conclusion Dans ce contexte, il nous semble qu’il s’agit du premier cas de sarcoïdose déclenchée par une infection à B . henselae , qui doit être considérée comme un trigger possible de granulomatose systémique. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2018
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6. Facteurs de risque d’échec de prise en charge après un « avis infectieux » en services de médecine et chirurgie.
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Martin, A., Argemi, X., Douiri, N., Christmann, D., Hansmann, Y., and Lefebvre, N.
- Abstract
Introduction L’activité de conseil en antibiothérapie est une composante importante de l’activité des services d’infectiologie. Si plusieurs études démontrent l’impact favorable du conseil en antibiothérapie dans certaines situations cliniques ciblées (ex. bactériémie à Staphylococcus aureus ), peu d’études se sont attaché à l’identification des risques d’échec une fois l’avis donné. L’objectif de notre travail était d’identifier ces facteurs, afin d’améliorer nos pratiques. Matériels et méthodes Les patients hospitalisés, en secteurs de médecine ou de chirurgie, ayant bénéficié d’un « avis infectieux » dans les 14 jours après leur admission dans une UF à dossier informatisé (DX-care) ont été inclus. L’échec de prise en charge était définit par un décès intra-hospitalier ou un transfert en réanimation. Résultats Au total, 112 patients étaient hospitalisés en secteur de médecine, 128 en secteur chirurgical. Sans différence selon les secteurs, l’âge moyen était de 62,5 ans (±18,3), 161 patients (67,1 %) étaient des hommes. Le motif d’hospitalisation était une infection pour 130 (54,2 %), communautaire dans 49,8 % des cas. Le score moyen de comorbidité de Charlson était de 4,4 (±3). Sur 240 avis, 167 (69,7 %) étaient téléphoniques, 181 (75,4 %) pour un problème thérapeutique, 118 donnés (49,2 %) dans les 3 jours. Les principaux diagnostics étaient : infections intra-abdominales 42 (17,5 %), pulmonaires 30 (12,5 %), sur KT 20 (8,3 %), ostéoarticulaires 19 (7,9 %), vasculaires 19 (7,9 %). Après l’avis, le diagnostic était modifié pour 64 patients (26,7 %). Parmi, 50 patients étaient en échec (dont 27 décès). Le score de Charlson à l’admission (OR = 1,24 IC95 % [1,03–1,50]), une infection à BMR (OR = 8,27 IC95 % [1,37–49,80]), le respect des modifications thérapeutiques proposées (OR = 0,09 IC95 % [0,01–0,67]) et la dégradation de l’état clinique au 3 e jour après l’avis (OR = 12,50 IC95 % [3,16–49,46]) étaient indépendamment associés à l’échec (analyse multivariée). Conclusion Notre étude montre que des éléments simples à recueillir au moment de l’avis (score de Charlson, infection à BMR) associés à des éléments simples de suivi (état clinique au 3 e jour, non respect de l’avis donné) sont associés au risque d’échec de prise en charge. Dans une perspective d’amélioration de nos pratiques, la réévaluation de nos conseils pourrait être envisagée pour des patients ciblés, à l’image d’une réévaluation d’antibiothérapie. Toutefois, elle génèrerait un surplus d’activité difficile à absorber par les équipes d’infectiologie aux effectifs souvent très limités et sur-sollicitées. Un travail complémentaire devrait être entrepris pour identifier précisément les patients qui doivent en bénéficier. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2017
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7. VISLISI trial, a prospective clinical study allowing identification of a new metalloprotease and putative virulence factor from Staphylococcus lugdunensis.
- Author
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Argemi, X., Prévost, G., Riegel, P., Keller, D., Meyer, N., Baldeyrou, M., Douiri, N., Lefebvre, N., Meghit, K., Ronde Oustau, C., Christmann, D., Cianférani, S., Strub, J.M., and Hansmann, Y.
- Subjects
- *
STAPHYLOCOCCUS , *METALLOPROTEINASES , *MICROCOCCACEAE , *METALLOENZYMES , *BLOOD coagulation - Abstract
Objective Staphylococcus lugdunensis is a coagulase-negative staphylococcus that displays an unusually high virulence rate close to that of Staphylococcus aureus . It also shares phenotypic properties with S. aureus and several studies found putative virulence factors. The objective of the study was to describe the clinical manifestations of S. lugdunensis infections and investigate putative virulence factors. Method We conducted a prospective study from November 2013 to March 2016 at the University Hospital of Strasbourg. Putative virulence factors were investigated by clumping factor detection, screening for proteolytic activity, and sequence analysis using tandem nano-liquid chromatography-mass spectrometry. Results In total, 347 positive samples for S. lugdunensis were collected, of which 129 (37.2%) were from confirmed cases of S. lugdunensis infection. Eighty-one of these 129 patients were included in the study. Bone and prosthetic joints (PJI) were the most frequent sites of infection ( n = 28; 34.6%) followed by skin and soft tissues ( n = 23; 28.4%). We identified and purified a novel protease secreted by 50 samples (61.7%), most frequently associated with samples from deep infections and PJI ( pr 0.97 and pr 0.91, respectively). Protease peptide sequencing by nano-liquid chromatography-mass spectrometry revealed a novel protease bearing 62.42% identity with ShpI, a metalloprotease secreted by Staphylococcus hyicus . Conclusion This study confirms the pathogenicity of S. lugdunensis , particularly in bone and PJI. We also identified a novel metalloprotease called lugdulysin that may contribute to virulence. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2017
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8. 18F-FDG PET/CT for invasive fungal infection in immunocompromised patients.
- Author
-
Leroy-Freschini, B, Treglia, G, Argemi, X, Bund, C, Kessler, R, Herbrecht, R, and Imperiale, A
- Subjects
- *
DRUG therapy , *ASPERGILLUS , *MEDICAL care , *ALCOHOLISM relapse , *CANCER chemotherapy - Abstract
Background Opportunistic invasive fungal infections (IFIs) comprise a heterogeneous spectrum of pathogens, whose early diagnosis remains challenging. Candida spp. and Aspergillus spp, the most frequent pathogens in immunocompromised patients, frequently affect lungs, liver, bone and skin. Aim To evaluate the impact of 18F-FDG PET/CT in the management of immunocompromised patients with IFI. Design A single-center retrospective study included 51 immunocompromised patients with IFI diagnosis undergoing 83 18F-FDG PET/CTs. Methods Twenty-nine 18F-FDG PET/CTs were performed for primary work-up in 29 treatment-naïve patients. Fifty-four PET/CTs were performed during follow-up to confirm IFI suspicion in 22 patients who had anti-fungal drug therapy before PET/CT. When available, histological and/or microbiological criteria were used to assess IFI diagnosis. Results Aspergillus spp. and Candida spp. were the most frequent microorganisms responsible for IFI in our population. 18F-FDG PET/CT sensitivity, specificity, positive and negative predictive values, and global accuracy were 93%, 81%, 95%, 72% and 90%, respectively. 18F-FDG PET/CT influenced the diagnostic work-up at primary staging in 16/29 patients (55%) by assessing the extent of infection and targeting the diagnostic procedure. 18F-FDG PET/CT results during treatment induced anti-fungal drugs dosage increase and/or new drugs addition in 8/54 cases (15%) and contributed to the reduction of anti-fungal drugs dosage or treatment withdraws in 17 cases (31%). Conclusions We recommend the utilization of 18F-FDG PET/CT to improve the primary staging work-up of immunocompromised patients with IFI and to assess treatment effectiveness or disease relapse. Both 18F-FDG PET/CT and conventional imaging should be integrated into a well-defined imaging diagnostic algorithm considering the clinical context and both strengths and limitations of each diagnostic modality. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2018
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9. E-12: Infections à S. lugdunensis : une bactérie virulente ?
- Author
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Argemi, X., Keller, D., Hansmann, Y., Riegel, P., Prévost, G., and Masseron, A.
- Abstract
Introduction – objectifs S. lugdunensis est un staphylocoques à coagulase négative (SCN) responsable d’infections sévères évocatrices de celles observées avec S. aureus faisant suspecter la présence de facteurs de virulence. Objectif établir le profil clinique/microbiologique des infections à S. lugdunensis sur un échantillon de 21 patients. Matériels et méthodes Étude rétrospective. Comparaison de 2 groupes : groupe infection (I) VS groupe contamination (C). Analyse spectrométrique pour l’identification et le typage bactérien (recherche de clusters). Recherche d’une coagulase libre, liée et d’une activité hémolytique synergique. Résultats Vingt souches analysées issues de : 4 septicémies, 1 arthrite, 5 abcès et 10 contaminations : âge moyen des patients : 61 ans, principale comorbidité : cancer solide (3/10), 100 % de guérisons. Identification spectrométrique de 100 % avec des scores supérieurs à 2. Absence de clusters identifiables. Tests de virulence : 6/10 du groupe I produisent une coagulase liée, contre 1/10 du groupe C. Aucune souche ne produit de coagulase libre. 21/21 souches produisent une hémolyse synergique avec S. intermedius , mais aucune avec un streptocoque du groupe B. 19/21 souches induisent une hémolyse de GR humains et 10/21 sur GR de moutons. Conclusion Notre étude décrit la présentation clinique de 10 tableaux d’infections à S. lugdunensis et la présence de facteurs de virulence potentiels chez S. lugdunensis comme la coagluase (protéine de liaison au fibrinogène chez S. aureus et probable facteur de virulence dans les endocardites infectieuses). Toutes les souches expriment une toxine apparentée à la β-hémolysine, mais pas de δ-hémolysine. Elles sont presque toutes hémolytiques sur GR humains, ce qui est très inhabituel pour un SCN sans différence pourtant entre les groupes I et C. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
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10. H-05: Méningo-encéphalites herpétiques : étude rétrospective de 32 cas survenus au CHU de Strasbourg entre 2003 et 2013.
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Argemi, X., Hansmann, Y., Baldeyrou, M., Lefebvre, N., and Christmann, D.
- Abstract
Introduction – objectifs L’objectif de notre étude est de décrire le tableau clinique, paraclinique et l’évolution des malades présentant une méningite ou une méningo-encéphalite à HSV. Matériels et méthodes Étude rétrospective de tous les cas d’infections neurologiques centrales à HSV identifiés au CHU de Strasbourg entre 2003 et 2013. Ont été inclus, tous les malades présentant une PCR HSV, HSV-1 ou HSV-2 positive dans le LCR et des signes méningés ou méningo-encéphalitiques, ainsi que les malades présentant une synthèse intra-thécale d’Ig anti HSV ou un test IFN positif avec des signes de méningo-encéphalite sans autre diagnostic virologique. Résultats 32 malades inclus : 30 avec une PCR HSV positive, 1 avec une synthèse intra-thécale d’Ig et 1 avec un test IFN positif. Moyenne d’âge : 57 ans. Durée moyenne de séjour : 27 jours. Principales co morbidités : cancer solide (13 %), éthylisme (13 %). Signes cliniques initiaux : fièvre (69 %), troubles de la conscience (59 %), troubles du langage (48 %). Anomalies biologiques : hyponatrémie (50 %), lymphopénie (48 %), absence d’hypogammabglobulinémie. Anomalies du LCR : hyperprotéinorachie (83 %), hypoglycorachie (4 %). Cellularité moyenne : 265 cellules/mm 3 dont 249 lymphocytes. Anomalies d’imagerie : IRM pathologiques (80 %, 56 % des anomalies de signal au niveau temporal). La totalité des malades était traitée par aciclovir, responsable d’une insuffisance rénale dans 19 % des cas. 61 % des patients présentaient des anomalies neurologiques en fin d’hospitalisation et 9 % sont décédés. Conclusion Notre étude met en avant les principales anomalies cliniques, biologiques et à l’imagerie initialement rencontrées chez ces malades et objective la gravité de cette atteinte dont le diagnostic et le traitement précoce reste le seul élément permettant d’améliorer le pronostic neurologique. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
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11. COL06-05 : Problématique de la classification des infections de prothèses vasculaires (IPV) : Intérêt de la classification de Bunt.
- Author
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Baldeyrou, M., Argemi, X., Georg, Y., Christmann, D., Chakfé, N., and Thaveau, F.
- Abstract
Introduction – objectifs Les IPV diffèrent dans leur localisation, leur présentation clinique et microbiologique et dans leur pronostic. La morbi-mortalité élevée et l’hétérogénéité des montages chirurgicaux imposent de choisir une classification optimale pour identifier secondairement les facteurs pronostiques. Le but de notre étude était de comparer 2 classifications au sein d’une cohorte de patient. Matériels et méthodes Étude rétrospective descriptive de 78 patients pris en charge entre le 1 er janvier 2006 et le 31 mars 2012 pour IPV sous diaphragmatique. Comparaison de 2 classifications, l’une différenciant les infections « aortiques » et « infra-inguinales », l’autre (classification de Bunt) différenciant les IPV en infections « intra-cavitaires exclusives » (P0), « extra-cavitaires exclusives » (P1), « de la partie extra-cavitaire d’une prothèse dont l’origine se situe en intra-cavitaire » (P2), et de type « fistules digestives » (P4). Résultats Étaient inclus 59/78 (76 %) hommes, d’âge moyen de 70,6 (+/– 12) ans. Trente-sept (47 %) patients présentaient une infection « aortique » et 41 (53 %) une infection « infra-inguinale ». Les infections « aortiques » correspondaient au regroupement de P0, P2, P4 de la classification de Bunt ; les infections « infra-inguinales » à P1.La classification de Bunt permettait de dégager 4 tableaux cliniques aux pronostics différents (taux de mortalité à 12 mois : 43,7 %, 37,8 %, 26,7 %, et 50 % pour les infections P0, P1, P2, P4 respectivement). Conclusion Le choix d’une classification plus précise semble déterminant pour limiter les biais de classement de situations cliniques hétérogènes et pouvoir ainsi comparer la prise en charge des IPV. La classification de Bunt semble répondre à cet objectif. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
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12. Lupus érythémateux systémique et lymphopénie : aspects cliniques et physiopathologiques.
- Author
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Martin, M., Guffroy, A., Argemi, X., and Martin, T.
- Abstract
Résumé La lymphopénie est très fréquente au cours du lupus érythémateux systémique (LES), et profonde (< 500/mm 3 ) dans 10 % des cas. Elle touche principalement les lymphocytes T, notamment CD4 + . Les mécanismes physiopathologiques sont complexes, faisant intervenir des anticorps lymphocytotoxiques, un excès d’apoptose, une sensibilité accrue à la lyse par le complément, de même qu’une répression de la lymphopoïèse et des phénomènes de séquestration lymphocytaire. La lymphopénie dans le LES est indépendante des autres cytopénies et des immunosuppresseurs reçus. Elle est associée à l’activité de la maladie, au risque de poussée lupique et aux séquelles viscérales. Le risque infectieux est principalement bactérien, et une lymphopénie < 1 G/L est un facteur de risque indépendant de survenue d’infections sévères bactériennes. Le déficit immunitaire cellulaire T est associé à un moindre contrôle de la réplication virale, mais les infections sévères symptomatiques restent rares. Bien qu’exceptionnelle dans le LES, la pneumocystose y est plus sévère que chez les patients infectés par le VIH, et le risque de leuco-encéphalopathie multifocale progressive semble augmenté comparativement aux autres rhumatismes inflammatoires. À ce jour, il n’existe pas de recommandations spécifiques de prise en charge des LES avec lymphopénie. La prophylaxie anti-infectieuse doit rester exceptionnelle et à discuter au cas par cas. Des études complémentaires sont nécessaires afin d’évaluer précisément les caractéristiques cliniques et évolutives des patients lupiques avec lymphopénie chronique profonde (< 500/mm 3 ), qui constituent très probablement un sous-groupe de LES avec déficit immunitaire primitif associé et nécessitant une prise en charge spécifique. Lymphopenia is frequent in systemic lupus erythematosus (SLE) and profound (< 500/mm 3 ) in 10% of cases. T lymphocytes, especially CD4+, are more affected than B cells. The pathophysiological mechanisms are complex, involving lymphocytotoxic antibodies, excess of apoptosis, increased susceptibility of T cells to complement mediated cytolysis, as well as lymphopoiesis impairment and lymphocyte sequestration. Lymphopenia in SLE is independent from other cytopenia and immunosuppressive drug regiments, and associated with disease activity, risk of flare and damage scores. Infectious risk is mostly bacterial, and lymphopenia < 1 G/L is an independent risk factor for severe bacterial infections occurrence. The T cellular deficiency is associated with less control of viral replication, but severe and symptomatic infections are scarce. Although exceptional in SLE, pneumocystis is more severe than in HIV+ patients, and risk of progressive multifocal leukoencephalopathy seems increased compared to other rheumatic diseases. To date, there are no specific recommendations for management of SLE with lymphopenia. Infectious prophylaxis should remain exceptional and discussed on a case by case basis. Further studies are needed to assess the clinical characteristics and outcomes of patients with SLE and profound lymphopenia (< 500/mm 3 ), which are probably a subset of SLE with primary immunodeficiency and require specific management. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2017
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13. Quand maladie cœliaque et lymphome T ne font plus qu’un
- Author
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Federici, L., Argemi, X., Imperiale, A., Blaison, G., Coumaros, D., and Andres, E.
- Published
- 2008
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14. Microscopic detection of bacillus Calmette–Guérin mycobacteria in bladder biopsy using fluorescence in situ hybridization: Détection microscopique des Bacilles biliés de Calmette et Guérin (BCG) dans une biopsie vésicale par hybridation in situ en fluorescence
- Author
-
Loukil, A., Baron, S.A., Argemi, X., Maubon, T., and Eldin, C.
- Subjects
- *
FLUORESCENCE in situ hybridization , *MYCOBACTERIA , *MYCOBACTERIUM bovis , *MYCOBACTERIUM tuberculosis , *BLADDER , *INTERSTITIAL cystitis - Abstract
Intravesical instillation of Bacilli Calmette Guérin (BCG) as a superficial bladder cancer treatment is generally well tolerated, but local or systemic complications may occur, some of which may be life-threatening. Following the suspicion of post-BCG cystitis in a 72-year-old man with a history of urothelial carcinoma treated by intravesical BCG instillation, we used fluorescence in situ hybridization (FISH) targeting the rpoB gene of the Mycobacterium tuberculosis complex to detect Mycobacterium bovis BCG in paraffin-embedded bladder biopsy sections. FISH yielded specific detection of BCG mycobacteria in the bladder biopsy section, appearing as red-fluorescent bacilli. Treatment with rifampicin, ethambutol and isoniazid is then initiated in combination with corticosteroid therapy. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2021
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15. Factors associated with treatment failure after advice from infectious disease specialists.
- Author
-
Martin, A., Ruch, Y., Douiri, N., Boyer, P., Argemi, X., Hansmann, Y., and Lefebvre, N.
- Subjects
- *
COMMUNICABLE diseases , *ADVICE , *PATIENT compliance , *FAILURE analysis , *EMERGING infectious diseases , *MULTIVARIATE analysis - Abstract
• The present study focuses on an interdisciplinary infectious disease subject. • We assessed the impact of infectious disease advice given in our university hospital, mainly risk factors for treatment failure after infectious disease advice. • We identified at-risk patient populations requiring particular attention from infectious disease specialists. • The present study revealed that the Charlson comorbidity score at admission (OR = 1.24, 95%CI [1.03–1.50]), a history of infection or colonization with multidrug-resistant bacteria (OR = 8.27, 95%CI [1.37–49.80]), compliance with suggested treatment modifications (OR = 0.09, 95%CI [0.01–0.67]), and deterioration of the patient's status on Day 3 after the infectious disease specialist's advice (OR = 12.50, 95%CI [3.16–49.46]) were associated with treatment failure after infectious disease advice in the multivariate analysis. Risk factors associated with treatment failure after the infectious disease specialist's (IDS) advice remain unknown. We aimed to identify these risk factors. We included patients hospitalized in our tertiary care center who consulted an infectious disease specialist between January 2013 and April 2015. Treatment failure was defined by a composite criterion: signs of sepsis beyond Day 3, ICU admission, or death. Treatment success was defined by the patient's sustained clinical improvement. A total of 240 IDS recommendations were made. Diagnosis was changed for 64 patients (26.7%) and 50 patients experienced treatment failure after the IDS advice. In multivariate analysis, compliance with the IDS advice was associated with a higher rate of success (OR = 0.09, 95%CI [0.01–0.67]). Variables associated with treatment failure in the multivariate analysis were Charlson comorbidity score at admission (OR = 1.24, 95%CI [1.03–1.50]), a history of infection or colonization with multidrug-resistant bacteria (OR = 8.27, 95%CI [1.37–49.80]), and deterioration of the patient's status three days after the IDS advice (OR = 12.50, 95%CI [3.16–49.46]). Reassessing IDS recommendations could be interesting for specific patients to further adapt and improve them. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2020
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16. Michaela était un bonhomme...
- Author
-
Herber, M., Kaeuffer, C., Martin, A., Averous, G., Nguimpi-Tambou, M., Klipfel, A., Hansmann, Y., Lefebvre, N., Argemi, X., Ruch, Y., and Prendki, V.
- Published
- 2020
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17. Bacillus Calmette-Guerin infection following intravesical instillation: Does the strain matter?
- Author
-
Levi, L.I., Schlemmer, F., de Castro, N., Brun, O., Veziris, N., Argemi, X., Roupret, M., Launay, O., Bergeron, A., and Groh, M.
- Subjects
- *
SEPTIC shock , *THERAPEUTICS , *BACILLUS (Bacteria) , *INFECTION , *BLADDER cancer , *PATIENT surveys - Abstract
• Several strains of BCG are used for intravesical instillations in the treatment of non-muscle-invasive bladder cancer. • No difference has yet been reported in the safety profiles of the various BCG strains. • In this French nationwide retrospective survey of 40 patients, those treated with the RIVM strain were less severely ill with fewer occurrences of septic shock and ICU admission (but more pulmonary miliaries) than those instilled with other strains. Hence, the type of BCG strain and/or the instillation device used could impact the frequency and severity of subsequent BCG infections. • The batch number was reported in <50% of cases of the present series, thereby underlying the opacity of our current drug traceability system, which should be considerably improved. Intravesical BCG is the standard treatment of non-muscle invasive bladder cancer. No difference has yet been reported in the safety profiles of the various BCG strains. A nationwide multidisciplinary retrospective survey was conducted between January 2013 and December 2016 to identify cases of BCG infection and differentiate them based on the type of BCG strain used. Forty patients were identified (BCG RIVM 28; other strains 8; unknown 4). Patients treated with BCG RIVM were less severely ill, with fewer occurrences of septic shock (3.6% vs. 50%, P = 0.003) and ICU admission (7.1% vs. 62.5%, P = 0.003). A higher frequency of pulmonary miliaries (71.4% vs. 12.5%, P = 0.005) but lower transaminase levels (mean AST 65 vs. 264 U/L, P = 0.001) were observed in these patients. No difference in terms of recovery was reported. The type of BCG strain could correlate with the frequency and severity of subsequent BCG infections. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2019
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18. Le syndrome de cavitation ganglionnaire mésentérique, complication rare de la maladie cœliaque de l'adulte : à propos de quatre cas et revue de la littérature.
- Author
-
Ruch, Y., Labidi, A., Martin, A., Weingertner, N., Hansmann, Y., Lefebvre, N., Andres, E., Argemi, X., and Dieudonné, Y.
- Abstract
La cavitation ganglionnaire mésentérique est une complication exceptionnelle de la maladie cœliaque. Nous rapportons ici quatre observations originales de ce syndrome, ainsi qu'une revue complète de la littérature. L'analyse de 38 cas révélait que cette complication survenait exclusivement chez des adultes, avec un âge moyen de 54 ans. Elle était révélatrice de la maladie cœliaque dans la majorité des cas. Un hyposplénisme était quasi-systématiquement associé. Le risque de lymphome semblait majoré, notamment de type T intestinal associé aux entéropathies. Le pronostic était sombre avec près de 50 % de mortalité et paraissait corrélé à la réponse clinique au régime sans gluten. La sévérité de cette complication mérite d'être connue et doit amener à sa recherche chez les patients atteints de maladie cœliaque, notamment en cas de diagnostic à l'âge adulte ou de pathologie réfractaire. Mesenteric lymph node cavitation is an exceptional complication of celiac disease. We report four original observations of this syndrome, completed by a literature review. The analysis of 38 cases showed that this complication occurred exclusively in adults, with a mean age at diagnosis of 54 years. It revealed the celiac disease in the majority of cases. Hyposplenism was almost systematically associated. The risk of lymphoma appeared higher, especially enteropathy-associated T-cell lymphoma. The prognosis was poor with nearly 50% mortality and seemed related to the clinical response to the gluten-free diet. The severity of this complication deserves to be known and should lead to its research in celiac patients, especially in cases diagnosed in adulthood or in case of refractory disease. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2019
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19. First case of Robinsoniella peoriensis endocarditis.
- Author
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Ursenbach, A., Ruch, Y., Von Hunolstein, J.-J., Lefebvre, N., Argemi, X., Hansmann, Y., and Schramm, F.
- Subjects
- *
FALSE aneurysms , *INFECTIVE endocarditis , *SWINE manure - Published
- 2020
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20. Ne ratez pas cette grande mode !
- Author
-
Ruch, Y., Weingertner, N., Hansmann, Y., Douiri, N., Lefebvre, N., Martin, A., Chenard, M.-P., D’Urso, A., Argemi, X., and Ranque, B.
- Published
- 2018
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21. Prediction of unfavorable outcomes in cryptococcal meningitis: results of the multicenter Infectious Diseases International Research Initiative (ID-IRI) cryptococcal meningitis study.
- Author
-
Hakyemez, I. N., Erdem, H., Beraud, G., Lurdes, M., Silva-Pinto, A., Alexandru, C., Bishop, B., Mangani, F., Argemi, X., Poinot, M., Hasbun, R., Sunbul, M., Akcaer, M., Alp, S., Demirdal, T., Angamuthu, K., Amer, F., Ragab, E., Shehata, G. A., and Ozturk-Engin, D.
- Subjects
- *
CRYPTOCOCCUS neoformans , *COMMUNICABLE diseases , *IMMUNOCOMPROMISED patients , *HIV-positive persons , *HEALTH outcome assessment - Abstract
Cryptococcal meningitis (CM) is mostly seen in immunocompromised patients, particularly human immunodeficiency virus (HIV)-positive patients, but CM may also occur in apparently immunocompetent individuals. Outcome analyses have been performed in such patients but, due to the high prevalence of HIV infection worldwide, CM patients today may be admitted to hospitals with unknown HIV status, particularly in underdeveloped countries. The objective of this multicenter study was to analyze all types of CM cases in an aggregate cohort to disclose unfavorable outcomes. We retrospectively reviewed the hospitalized CM patients from 2000 to 2015 in 26 medical centers from 11 countries. Demographics, clinical, microbiological, radiological, therapeutic data, and outcomes were included. Death, neurological sequelae, or relapse were unfavorable outcomes. Seventy (43.8%) out of 160 study cases were identified as unfavorable and 104 (65%) were HIV infected. On multivariate analysis, the higher Glasgow Coma Scale (GCS) scores (p = 0.021), cerebrospinal fluid (CSF) leukocyte counts > 20 (p = 0.038), and higher CSF glucose levels (p = 0.048) were associated with favorable outcomes. On the other hand, malignancy (p = 0.026) was associated with poor outcomes. Although all CM patients require prompt and rational fungal management, those with significant risks for poor outcomes need to be closely monitored. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2018
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22. First case of Comamonas aquatica bacteremia complicated by septic shock.
- Author
-
Kaeuffer, C., Schramm, F., Meyer, A., Hansmann, Y., Guffroy, A., and Argemi, X.
- Subjects
- *
BACTEREMIA , *SEPTIC shock , *CEFOTAXIME , *NUCLEOTIDE sequence , *IMMUNOCOMPROMISED patients - Published
- 2018
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23. The features of infectious diseases departments and anti-infective practices in France and Turkey: a cross-sectional study.
- Author
-
Erdem, H., Stahl, J., Inan, A., Kilic, S., Akova, M., Rioux, C., Pierre, I., Canestri, A., Haustraete, E., Engin, D., Parlak, E., Argemi, X., Bruley, D., Alp, E., Greffe, S., Hosoglu, S., Patrat-Delon, S., Heper, Y., Tasbakan, M., and Corbin, V.
- Subjects
- *
COMMUNICABLE diseases , *ANTI-infective agents , *CROSS-sectional method , *TERTIARY care , *HOSPITAL wards - Abstract
The aim of this study was to assess the infectious diseases (ID) wards of tertiary hospitals in France and Turkey for technical capacity, infection control, characteristics of patients, infections, infecting organisms, and therapeutic approaches. This cross-sectional study was carried out on a single day on one of the weekdays of June 17-21, 2013. Overall, 36 ID departments from Turkey ( n = 21) and France ( n = 15) were involved. On the study day, 273 patients were hospitalized in Turkish and 324 patients were followed in French ID departments. The numbers of patients and beds in the hospitals, and presence of an intensive care unit (ICU) room in the ID ward was not different in both France and Turkey. Bed occupancy in the ID ward, single rooms, and negative pressure rooms were significantly higher in France. The presence of a laboratory inside the ID ward was more common in Turkish ID wards. The configuration of infection control committees, and their qualifications and surveillance types were quite similar in both countries. Although differences existed based on epidemiology, the distribution of infections were uniform on both sides. In Turkey, anti-Gram-positive agents, carbapenems, and tigecycline, and in France, cephalosporins, penicillins, aminoglycosides, and metronidazole were more frequently preferred. Enteric Gram-negatives and hepatitis B and C were more frequent in Turkey, while human immunodeficiency virus (HIV) and streptococci were more common in France ( p < 0.05 for all significances). Various differences and similarities existed in France and Turkey in the ID wards. However, the current scene is that ID are managed with high standards in both countries. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
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24. Positron emission tomography to diagnose chronic Q fever.
- Author
-
Simon, L., De Martino, S., Garnon, J., Imperiale, A., Argemi, X., Raoult, D., and Hansmann, Y.
- Subjects
- *
Q fever , *COXIELLA burnetii , *BACTERIAL diseases , *POSITRON emission tomography , *CHRONIC diseases , *DIAGNOSIS , *THERAPEUTICS - Published
- 2015
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25. Encéphalites chez les patients âgés en France, 2016–2019.
- Author
-
Mailles, A., Martinot, M., Piet, E., Biron, C., Gagneux-Brunon, A., Gueit, I., Argemi, X., Patrat-Delon, S., Tattevin, P., and Stahl, J.
- Subjects
- *
ENCEPHALITIS - Abstract
Les infections sont fréquentes et potentiellement graves chez les personnes âgées en raison de l'immunosénescence et de la prévalence des comorbidités chroniques. De plus, les patients âgés peuvent souffrir de troubles cognitifs liés à l'âge et de signes d'infections moins spécifiques rendant la détection et la prise en charge des encéphalites plus tardives et compliquées que chez les patients plus jeunes. Nous décrivons les patients âgés atteints d'encéphalite inclus dans la cohorte ENCEIF, cohorte prospective multicentrique des encéphalites prises en charge en France de 2016 à 2019. Les patients ont été inclus de façon prospective selon la définition de cas de l'International Encephalitis Consortium (Venkatessan et al., CID 2013). Les informations démographiques, cliniques et diagnostiques ont été recueillies de façon standardisée. Les patients âgés étaient définis par un âge de 65 ans ou plus. L'analyse statistique pour comparer les patients âgés aux plus jeunes a utilisé le test du Chi2 de Pearson, le test de Student et, si nécessaire, des tests non-paramétriques. Au 16 octobre 2019, parmi les 476 patients inclus, 251 (52 %) étaient âgés, 120 (25 %) avaient 75 ans ou plus et 29 (6 %) avaient 85 ans ou plus. Parmi les 251 patients âgés, 82 (32 %) étaient traités pour une autre pathologie au moment de l'encéphalite, vs 27 chez les patients plus jeunes (12 %, p < 10−4). Les étiologies les plus fréquentes chez les patients âgés étaient HSV (26 %), VZV (18 %) et L. monocytogenes (8 %). En comparaison aux patients plus jeunes, les patients âgés étaient plus souvent traités pour une autre pathologie au moment de l'encéphalite (32 % vs 12 %, p < 10−4), ont été moins admis en soins intensifs (37 % vs 47 %, p = 0,03), avec une mortalité intra-hospitalière globalement plus élevée (12 % vs 2 %, p < 10−4), s'élevant à 14 % pour les patients de 75 ans ou plus, et à 18 % pour les patients de 85 ans ou plus. Parmi les 204 patients âgés sortis d'hospitalisation, 122 (60 %) présentaient des séquelles mineures ou pas de séquelles, évaluées selon le Glasgow Outcome Scale, mais 29 (14 %) avaient un handicap grave ou un état végétatif. Enfin, 108/204 (53 %) ont regagné leur lieu de vie antérieur et 85/203 (42 %) ont été admis en secteur de rééducation. Les patients âgés de plus de 65 ans représentent plus de la moitié des encéphalites en France. Comme pour les plus jeunes, les étiologies les plus fréquentes sont HSV et VZV, mais les listérioses sont plus représentées. Les patients âgés ont une mortalité intra-hospitalière élevée (12 %), mais la majorité des survivants présente un pronostic favorable à la sortie d'hôpital. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2020
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26. Correction to: Prediction of unfavorable outcomes in cryptococcal meningitis: results of the multicenter infectious Diseases International Research Initiative (ID-IRI) cryptococcal meningitis study.
- Author
-
Hakyemez, I. N., Erdem, H., Beraud, G., Lurdes, M., Silva-Pinto, A., Alexandru, C., Bishop, B., Mangani, F., Argemi, X., Poinot, M., Hasbun, R., Sunbul, M., Akcaer, M., Alp, S., Demirdal, T., Angamuthu, K., Amer, F., Ragab, E., Shehata, G. A., and Ozturk-Engin, D.
- Subjects
- *
CRYPTOCOCCUS neoformans , *COMMUNICABLE diseases , *MEDICAL microbiology , *THERAPEUTICS - Abstract
In the original version of this article, Mustafa Sunbul was not included in the list of authors for this article. The name has been added accordingly. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2018
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27. A non-fatal pneumonia due to Legionella longbeachae in a patient with systemic lupus erythematosus.
- Author
-
Martin, M., Keller, N., Martin, A., Twizeyimana, E., Argemi, X., Hansmann, Y., and Martin, T.
- Subjects
- *
SYSTEMIC lupus erythematosus , *IMMUNODEFICIENCY , *SPIRAMYCIN , *SMOKING , *AMOXICILLIN , *CEFOTAXIME , *PNEUMONIA , *LYMPHOPENIA - Abstract
The article presents a case study of a 34-year-old woman having systemic lupus erythematosus (SLE) with a history of active smoking and pneumonia. Topics discussed include her treatment with prednisone, mycophenolate mofetil and hydroxychloroquine, switching off from amoxicillin to cefotaxime along with spiramycin due to persistent sepsis and lymphopenia and its association with primary immunodeficiency.
- Published
- 2016
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28. Staphylococcus lugdunensis: a virulent pathogen causing bone and joint infections.
- Author
-
Douiri, N., Hansmann, Y., Lefebvre, N., Riegel, P., Martin, M., Baldeyrou, M., Christmann, D., Prevost, G., and Argemi, X.
- Subjects
- *
STAPHYLOCOCCUS , *BONE diseases - Abstract
A letter to the editor is presented regarding a retrospective study of Staphylococcus lugdunensis (S. lugdunensis), a virulent pathogen that causes infections on bone and joints.
- Published
- 2016
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29. Épidémiologie et prévention de l’encéphalite à tique en 2017.
- Author
-
Velay, A., Paz, M., Cesbron, M., Argemi, X., Lohmann, C., Kieffer, P., de Briel, D., Martinot, M., Hansmann, Y., and Fafi-Kremer, S.
- Abstract
Introduction Le virus TBE (Tick-Borne Encephalitis) est responsable de l’encéphalite à tique. Cette zoonose est transmise à l’homme surtout par piqûre de tiques du genre Ixodes. Elle est endémique en Europe Centrale et de l’Est où une augmentation du nombre de cas a été rapportée ces 30 dernières années. L’infection symptomatique dans 30 % des cas, peut se compliquer de signes neurologiques. Le diagnostic repose selon la définition de l’ECDC sur des critères biologiques et cliniques. En France, environ 10 cas par an sont rapportés, en 2016, une recrudescence des cas TBE a été observée avec 29 cas confirmés. Matériels et méthodes En 2017, des échantillons sériques ou de LCR ( n = 688) issus de la France entière ont été testés (Serion Classic TBE Virus Kit). Les données cliniques ont été recueillies pour classer les cas confirmés. Les données épidémiologiques ont été comparées aux données antérieures. Pour 3 patients, l’ARN viral a été recherché par RT-PCR (région E-NS1) sur du sérum et du LCR. Les profils sérologiques correspondant à une infection ancienne ou une immunité vaccinale ont été étudiés. Résultats Dix-sept cas confirmés ont été diagnostiqués entre avril et octobre 2017 dont 8 (47 %) cas importés (Allemagne, Sibérie, Roumanie) contre 1 seul l’an passé. La majorité des cas autochtones étaient situés en Alsace, mais un cas a été confirmé en Auvergne. Les cas sont survenus entre avril et octobre avec un pic d’incidence en juillet. Douze sur 17 (70 %) patients ont rapporté une piqûre de tiques (65 % en 2016). Onze patients ont présenté des tableaux de méningo-encéphalite (65 %) et 6 patients (35 %) des tableaux de méningites. La durée moyenne d’hospitalisation était de 14 jours (3 à 60 jours) et la sérologie TBE prescrite en moyenne 2,5 jours après l’hospitalisation. Seul 0,6 % des échantillons testés au laboratoire correspondait à des contrôles d’immunité vaccinale. Conclusion En 2017, nous avons diagnostiqué 17 cas confirmés de TBE. L’Alsace reste la zone de plus forte prévalence en France avec une répartition ubiquitaire. La TBE est une pathologie peu connue en France et probablement insuffisamment diagnostiquée. D’autres zones géographiques pourraient être concernées comme le montre le premier cas autochtone identifié en 2017 en Auvergne. La vaccination pourtant efficace est rarement prescrite en cas de voyage dans les pays à risque comme le montre la proportion élevée de cas importés en 2017. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2018
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30. Quelle est la meilleure méthode pour le diagnostic d’anaplasmose humaine granulocytaire ?
- Author
-
Hansmann, Y., De Martino, S., Martinot, M., Kieffer, P., Lefebvre, N., Douiri, N., Argemi, X., and Jaulhac, B.
- Abstract
Introduction L’anaplasmose granulocytaire humaine est une infection transmise par les tiques. Les critères diagnostiques reposent sur l’identification de la bactérie par visualisation d’inclusions bactériennes intragranulocytaire (morulae), soit sur la présence d’anticorps à titre significatif (≥ 1/256) ou la présence d’une séroconversion (critère sérologique) ou la mise en évidence d’ Anaplasma phagocytophilum par PCR. Notre objectif est d’évaluer les valeurs diagnostiques de ces différents tests. Matériels et méthodes Lors d’une étude prospective, nous avons inclus sur une durée de 2 ans des patients présentant soit une manifestation clinique survenant au cours des 4 semaines suivant une piqûre de tique, soit un tableau clinique et biologique évocateur d’anaplasmose (fièvre et au moins une anomalie biologique : leucopénie, thrombopénie, cytolyse hépatique). Pour ces patients, la recherche d’ A. phagocytophilum par PCR et sur frottis sanguins et sérologie à S0 et S6 a été réalisée de façon systématique. Résultats Au total, 130 dossiers ont pu être analysés. Les patients ont été classés en trois groupes : le groupe témoin ayant une autre cause identifiée pouvant expliquer les symptômes (25 patients), le groupe Anaplasma avec un diagnostic confirmé selon les critères habituels (17 patients) et un groupe chez qui aucun diagnostic clair n’a pu être identifié (88 patients). Dans le groupe Anaplasma , le frottis était positif chez 4 patients, la sérologie chez 13 patients et la PCR chez 14 patients. Dans le groupe témoin, le frottis et la PCR étaient toujours négatifs et la sérologie était positive chez 2 patients. Pour la PCR, la sensibilité était de 0,82, la spécificité était de 1. Pour le critère sérologique, la sensibilité était de 0,76, la spécificité était de 0,92. Pour le frottis, la sensibilité était de 0,23 et la spécificité était de 1. Cinq patients ont présenté une séroconversion, les autres patients avaient une sérologie positive dès la phase aiguë. Conclusion La PCR apparaît comme ayant la meilleure valeur diagnostique, mais elle doit être associée à la sérologie pour pouvoir établir un diagnostic dans un nombre maximum de cas. La sérologie seule manque de spécificité avec un risque de faux positif chez 3/113 patients. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2017
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31. Excel® : un outil très simple et efficace pour la quantification et la valorisation des avis infectieux.
- Author
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Lefebvre, N., Boyer, P., Douiri, N., Ronde-Oustau, C., Baldeyrou, M., Christmann, D., Hansmann, Y., and Argemi, X.
- Abstract
Introduction Le conseil en antibiothérapie est une composante essentielle de l’activité des services d’infectiologie dont la valorisation auprès de l’administration est difficile. Cette valorisation est d’autant plus complexe que le nombre d’avis donné est important et que l’effectif de l’équipe est réduit. Nous présentons comment nous avons pu quantifier et valoriser notre activité en utilisant un « questionnaire » incorporé dans un tableur Excel ® . Matériels et méthodes En quelques heures, nous avons développé un « questionnaire » très simple de recueil de données en utilisant le langage VBA dans Excel ® . Ce questionnaire a ensuite été utilisé par les infectiologues de notre service, pour permettre de décrire précisément tous les avis donnés par téléphone ou au sein des unités cliniques. Résultats Le questionnaire, comportant 24 items renseignés en 20 à 30 secondes (cases à cocher) a été utilisé sur une période de 4 mois (février–mai). Sur 1495 avis donnés, 364 (24,3 %) étaient un problème d’échec thérapeutique, 545 (36,5 %) une infection nosocomiale, 416 (27,8 %) une infection à BMR, 266 (17,8 %) une infection sur matériel, 47 (3,1 %) un problème allergique. Le type d’infections était très varié : 225 (15,4 %) intra-abdominale, 171 (11,7 %) pulmonaire, 162 (11,1 %) ostéoarticulaire, 140 (9,6 %) urogénitale. La prise en charge en cours, ne suivant pas les recommandations, était identifiée comme engageant le pronostic vital pour 46 patients (3,1 %), surtout en cas de bactériémie. Pour 142 (9,5 %), l’avis était considéré comme trop tardif. Seuls 158 avis (13,6 %) étaient tracés dans DX-care. L’exhaustivité du recueil par les cliniciens a été de 80 % permettant d’évaluer à 6000 le nombre d’avis donnés chaque année (20 à 30/jours). Conclusion Grace à un formulaire dans un tableur Excel ® nous avons pu préciser et quantifier rapidement le volume important de notre activité. Nous avons ainsi identifié que 20 à 30 % de nos interventions portaient sur des problématiques à fort risque médicolégal (infections sur matériel, infections à BMR ou nosocomiales) ou que l’avis était clairement sollicité trop tardivement. Malgré cela, la traçabilité de nos avis dans le dossier du patient reste faible, en raison d’un sous-effectif très net de notre équipe par rapport à la taille de notre établissement. Ces données sont désormais utilisées pour soutenir nos demandes de prêts ou de création de postes. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2017
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32. Managing atypical and typical herpetic central nervous system infections: results of a multinational study.
- Author
-
Cag, Y., Erdem, H., Leib, S., Defres, S., Kaya, S., Larsen, L., Poljak, M., Ozturk-Engin, D., Barsic, B., Argemi, X., Sørensen, S.M., Bohr, A.L., Tattevin, P., Gunst, J.D., Baštáková, L., Jereb, M., Johansen, I.S., Karabay, O., Pekok, A.U., and Sipahi, O.R.
- Subjects
- *
CENTRAL nervous system injuries , *SPINAL cord injuries , *THERAPEUTICS , *DIAGNOSTIC virology , *MEDICAL virology , *DIAGNOSTIC use of polymerase chain reaction - Abstract
There have been many studies pertaining to the management of herpetic meningoencephalitis (HME), but the majority of them have focussed on virologically unconfirmed cases or included only small sample sizes. We have conducted a multicentre study aimed at providing management strategies for HME. Overall, 501 adult patients with PCR-proven HME were included retrospectively from 35 referral centres in 10 countries; 496 patients were found to be eligible for the analysis. Cerebrospinal fluid (CSF) analysis using a PCR assay yielded herpes simplex virus (HSV)-1 DNA in 351 patients (70.8%), HSV-2 DNA in 83 patients (16.7%) and undefined HSV DNA type in 62 patients (12.5%). A total of 379 patients (76.4%) had at least one of the specified characteristics of encephalitis, and we placed these patients into the encephalitis presentation group. The remaining 117 patients (23.6%) had none of these findings, and these patients were placed in the nonencephalitis presentation group. Abnormalities suggestive of encephalitis were detected in magnetic resonance imaging (MRI) in 83.9% of the patients and in electroencephalography (EEG) in 91.0% of patients in the encephalitis presentation group. In the nonencephalitis presentation group, MRI and EEG data were suggestive of encephalitis in 33.3 and 61.9% of patients, respectively. However, the concomitant use of MRI and EEG indicated encephalitis in 96.3 and 87.5% of the cases with and without encephalitic clinical presentation, respectively. Considering the subtle nature of HME, CSF HSV PCR, EEG and MRI data should be collected for all patients with a central nervous system infection. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2016
- Full Text
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